4243 shaares
« Les défenseurs des libertés font valoir depuis longtemps que le concept d'association de malfaiteurs terroriste érige en crimes des idées. La France n'a jamais pris ce genre de critiques très au sérieux, de même qu'elle a refusé de prendre en considération les remises en cause de sa loi contre la négation de l'Holocauste. […] Les Français, dont la liberté d'expression n'a jamais été trop protégée, n'ont pas de scrupules à interdire les opinions les plus répugnantes. »