4242 shaares
C'est peut-être un peu léger, mais on est d'accord sur l'essentiel.
« Petit à petit, cette maladie est en train de devenir endémique, c'est-à-dire que le virus ne va pas disparaître et que nous allons donc devoir vivre avec, comme nous le faisons depuis des siècles avec d'autres maladies respiratoires telle que la grippe. Cela signifie que les mesures que nous prenons maintenant contre le virus doivent être des mesures que nous sommes prêts à voir devenir pérennes. »
« Dans ce contexte, entretenir un climat de peur est une faute politique majeure. C'est même pire que cela : j'accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d'instrumentaliser la crise sanitaire, en mettant par exemple sur la table des mesures aujourd'hui inutiles comme le passe sanitaire ou vaccinal, pour de seules fins politiciennes. Coûte que coûte il cherche à imposer ces sujets qu'il sait clivants (sauf pour son propre électorat) dans la campagne. Rarement un tel niveau de cynisme n'aura été atteint par un président de la République. »
Effectivement, le chef de l'État et son gouvernement nous ont donné l'impression de provoquer à dessein les plus réticents à se faire vacciner. Comment expliquer autrement les railleries d'Emmanul Macron qui ne croit pas « qu'il y ait grande efficacité à manifester contre le virus » ? Ou le chantage au vaccin obligatoire, fatalement contre-productif, mis en scène par Olivier Véran avant de l'imposer au personnel soignant ? Visiblement, leur objectif n'est pas de convaincre les hésitants, mais de radicaliser les réfractaires – dont Jean Castex, désormais, fait explicitement des boucs-émissaires. Ce qui permettra de flatter une partie de l'électorat. Mais à quel prix ?
« Petit à petit, cette maladie est en train de devenir endémique, c'est-à-dire que le virus ne va pas disparaître et que nous allons donc devoir vivre avec, comme nous le faisons depuis des siècles avec d'autres maladies respiratoires telle que la grippe. Cela signifie que les mesures que nous prenons maintenant contre le virus doivent être des mesures que nous sommes prêts à voir devenir pérennes. »
« Dans ce contexte, entretenir un climat de peur est une faute politique majeure. C'est même pire que cela : j'accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d'instrumentaliser la crise sanitaire, en mettant par exemple sur la table des mesures aujourd'hui inutiles comme le passe sanitaire ou vaccinal, pour de seules fins politiciennes. Coûte que coûte il cherche à imposer ces sujets qu'il sait clivants (sauf pour son propre électorat) dans la campagne. Rarement un tel niveau de cynisme n'aura été atteint par un président de la République. »
Effectivement, le chef de l'État et son gouvernement nous ont donné l'impression de provoquer à dessein les plus réticents à se faire vacciner. Comment expliquer autrement les railleries d'Emmanul Macron qui ne croit pas « qu'il y ait grande efficacité à manifester contre le virus » ? Ou le chantage au vaccin obligatoire, fatalement contre-productif, mis en scène par Olivier Véran avant de l'imposer au personnel soignant ? Visiblement, leur objectif n'est pas de convaincre les hésitants, mais de radicaliser les réfractaires – dont Jean Castex, désormais, fait explicitement des boucs-émissaires. Ce qui permettra de flatter une partie de l'électorat. Mais à quel prix ?