4243 shaares
344 résultats
taggé
industrie
Peut-être les arguments présentés ici doivent-ils être nuancés ? À première vue, ils semblent convaincants. Réduire la consommation de pétrole est une chose ; s'interdire toute production domestique en est une autre.
Dans la série des voitures à destination des marchés occidentaux fabriquées dans l'empire du Milieu, il convient de mentionner également les Chevrolet Cavalier et Buick Envision vendues outre-Atlantique.
En effet, « si les véhicules électriques demandent un énorme effort de recherche-développement, ils sont plus simples à fabriquer et requièrent donc moins d'heures de travail en usine ». De toute façon, c'était mieux avant.
Apologie du "décrassage" par hydrogène : « Plutôt qu'une prime de 400 euros pour l'achat d'un vélo à assistance électrique, pourquoi ne pas prendre en charge le coût d'un décalaminage ? » Sans parler des primes à la casse !
BMW n'est pas le seul à s'engager sur cette voie : Volkswagen va apporter des modifications à des moteurs diesel répondant à la norme Euro 5, lesquels équipent apparemment des véhicules commercialisés entre 2011 à 2015.
PSA vient de signer un accord avec Dongfeng pour importer dans l'Hexagone des moteurs produits dans l'empire du Milieu. « Il s'agit avant tout pour PSA d'augmenter le taux d'activité de son usine de production en Chine », rapporte Caradisiac.
Des automobiles mises en circulation il y a quelques années vont bénéficier d'une révision censée réduire leurs émissions polluantes. Une démarche à l'opposé de la politique d'obsolescence programmée mise en œuvre par la ville de Paris.
Un reportage vidéo de France 3 : l'assemblage à Mérignac est rapide, mais ensuite il faut compter plusieurs mois d'essais – y compris au sol, d'abord moteur coupé.
Le Soir se montre compréhensif : « garantir un support de plusieurs années force Apple à limiter le déploiement de nouvelles fonctionnalités », est-il expliqué dans cet article. Peut-être y aurait-il matière à discussion.
La patron de Tesla ne serait-il qu'un excellent vendeur – et rien de plus ? C'est ce que semble suggérer celui de l'Alliance Renault-Nissasn : « nous sommes les plus gros joueurs », martèle Carlos Ghosn.
Ces voitures sont donc acheminées en Europe par le rail. En bateau, le voyage serait deux fois plus long (presque trois semaines de plus).
Renault va produire la Kwid au Brésil. En ne s'appuyant que partiellement sur des fournisseurs locaux, dont la compétitivité pâtit peut-être du bouclier fiscal censé les protéger.
De fait, « il n'y a jamais d'urgence à faire car cela ne crée pas de valeur pour l'exploitant ». Outre les risques d'accident, jamais réduits à zéro, le gestion bien incertaine de l'"après" donne quand même à réfléchir.
Un rappel opportun : « Il est aujourd'hui reproché aux constructeurs de communiquer des chiffres fondés sur la norme NEDC, alors qu'ils en ont l'obligation […] et que tout le monde sait depuis le départ que cette norme est viciée. »
Selon le CCFA, « les marques japonaises contrôlent leur marché intérieur à hauteur de 95 % ». Au sens strict, le protectionnisme n'est pourtant pas en cause. Explications.
S'agirait-il de prendre une revanche institutionnelle contre des constructeurs automobiles jusqu'alors intouchables ? En tout cas, la DGCCRF outrepasse sa mission, selon cette analyse proposée par le Gerpisa.
David Twohig, directeur technique, précise que « les éléments de carrosserie sont fabriqués par un équipementier qui n'est pas français mais européen. » Au passage, L'Argus se méprend sur la position du moteur de feue la berlinette.
Quelle surprise ! Le constructeur allemand avait, paraît-il, promis qu’il n’en serait rien. Mais si cet objectif était si facile à atteindre, peut-être les ingénieurs de Volkswagen ne seraient-ils pas sortis des clous…
Freevalve, filiale du Suédois Koenigsegg, annonce un moteur sans arbre à cames au rendement décuplé. Une voiture produite par Qoros, un constructeur chinois, pourrait l'étrenner prochainement. Wait and see !
Connaissez-vous les origines de la filiale espagnole de Renault ? Créée dans les années cinquante à l'initiative d'un colonel d'artillerie, la Fasa était présidée à ses débuts par Nicolas Franco, frère du général.