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Toujours indépendant, en dépit de la consolidation générale de l'industrie automobile, le constructeur d'Hiroshima développe des solutions techniques originales, dont une agence américaine vient de saluer les mérites. Chapeau !
Dans les années quatre-vingt-dix, l'Espace prétendument fabriqué en Chine y fut diffusé de façon confidentielle. Mais la licence de constructeur automobile accordée alors au Losange a facilité son retour dans l'empire du Milieu.
À la fin des années quatre-vingt, les constructeurs japonais s'accordèrent pour limiter la puissance de leurs voitures à 280 chevaux. Sur le papier, car en pratique une Nissan Skyline GTR ne manquait pas de les dépasser.
Boîtier rouge revient sur cet événement survenu en 1993. La faute à l'arrogance des Français et à l'inconséquence de l'État ? Sans ça, peut-être votre serviteur aurait-il vécu en Suède !
Le constructeur japonais aurait trouvé un substitut aux terres rares pour les moteurs électriques équipant ses véhicules hybrides. Il promet une industrialisation dans un futur proche. Affaire à suivre.
Aujourd'hui, les constructeurs automobiles s'engagent en Chine dans des coentreprises, comme ils le firent jadis, certes plus timidement, en Amérique latine. À l'image de Renault et même Alpine au Brésil.
Le Rafale s'est envolé pour la première fois il y a trente ans, le 4 juillet 1986. À cette époque, le démonstrateur était équipé de réacteurs américains, comme le rappelle Jean-Dominique Merchet.
Donald Trump prétend forcer Apple à rapatrier sa production. Au risque de renchérir le coût de la main-d'œuvre ? Ce défi serait loin d'être le seul à relever. Petite leçon de mondialisation à travers un cas d'école.
Considérations sur l'industrie sidérurgique britannique. L'analyse d'Élie Cohen publiée par Telos.
Cette entreprise berrichonne fabrique des pièces pour l'aéronautique, mais aussi des moteurs de Formule 1 – ceux conçus par Renault. De la belle ouvrage !
Commentant les dépréciations comptables de la SNCF, notre confrère Jean Michel Gradt risque une comparaison avec la physique quantique. Votre serviteur n'a toujours pas compris grand chose, mais, dans Les Échos, c'était plutôt inattendu !
Face aux machines, l'homme n'a pas (encore) dit son dernier mot. Sur les chaînes d'assemblage des Mercedes, notamment, il regagne même un petit peu de terrain. Cela afin d'offrir une palette d'options plus large.
Le saviez-vous ? Dans les années quatre-vingt, des taxis Peugeot arpentèrent les rues de New York et Los Angeles. En effet, la 505 remporta un appel d'offres dans chacune de ces villes ! Elle rencontra même un relatif succès outre-Atlantique.
Honda se serait fourvoyé en bridant la créativité de ses ingénieurs. De l'aveu même de son patron. Ce petit constructeur n'en continue pas moins de cultiver une singularité remarquable. Côté design, cependant, c'était mieux avant !
Les vertus de l'encre électronique ne bénéficient aujourd'hui qu'aux liseuses. Ce prototype illustre l'intérêt qu'elle présenterait pour un téléphone aux fonctionnalités relativement basiques. L'industrie se montre trop conservatrice !
La commercialisation d'un véhicule dans l'UE ne nécessite l'agrément que d'un seul État. Exemple avec la Renault Talisman : vendue sous une marque française, elle aurait été homologuée par des services britanniques dépêchés en Corée !
L'Assemblée nationale « souligne avec force », à l'intention de Bruxelles, « l'importance [...] d'adopter des mesures [...] contre l'obsolescence programmée ».
« On a laissé se développer face à l'automobile des exigences contradictoires sans que personne ne veuille rendre explicite les arbitrages. On appelle alors triche l'effet de cette lâcheté politique. »
Une fois n'est pas coutume, c'est un site libéral qui tire la sonnette d'alarme ! L'industrie sidérurgique britannique souffrirait tout particulièrement ces jours-ci. Sans doute convient-il de préserver un minimum de capacités nationales...
Bernard Jullien : « On ne peut que souligner aujourd'hui que cet attelage improbable fonctionne et que ce qui est perdu en termes de commonalité et d'économies d'échelle a une contrepartie palpable en termes de compétences et d'innovation. »