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« Les enquêteurs ont conclu qu'Erna Solberg avait été la co-organisatrice et avait dépassé le nombre d'invités autorisés. Ils lui ont infligée 20 000 couronnes d'amendes soit un peu plus de 2 000 euros. Dans un communiqué, le commissaire a rappelé que "la loi était la même pour tous" et surtout que la Première ministre avait une image publique à faire respecter : "Madame Solberg est la plus importante élue du pays, et a, à plusieurs occasions, été la figure de proue des décisions du gouvernement sur les mesures visant à enrayer la pandémie. Il est donc jugé justifié de donner une sanction pour maintenir la confiance du public dans les règles sanitaires." Une sanction qu'avait déjà acquiescé la Première ministre puisque après les révélations de ces épisodes de dîners, elle s'était excusée publiquement et s'était dite prête à recevoir une amende. »
C'est l'Académie de Médecine qui le dit : « Si la plupart sont bénins, "désagrément, douleur ou saignement, de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite", poursuit le collège scientifique, en citant plusieurs études récemment parues.L'Académie préconise donc de réserver la réalisation de ces tests "aux professionnels de santé formés" et leur recommande de s'enquérir d'éventuels antécédents ORL avant d'y procéder. Elle préconise également de privilégier des prélèvements salivaires pour les enfants. »
« Pour le Sell, Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs, il n'y avait pas de doute : le décret révisé le 19 mars autorisait bien la vente de jeux vidéos en supermarché. Pourtant, le ministère de l'Économie avait un discours différent : dans un tableau récapitulatif des rayons ouverts ou non fourni à Capital, on pouvait lire dans la colonne "fermés" les "jouets et jeux vidéo". […] "Je ne vois pas pourquoi les magasins Fnac-Darty pourraient vendre des jeux vidéo quand les autres grandes surfaces ne le pourraient pas", confiait alors le porte-parole de Système U, Thierry Desouches, à Capital. […] En ce qui concerne les consignes gouvernementales, le cadre de la chaîne de magasins ne cachait pas son désarroi : "c’est le grand flou". Des incertitudes maintenant dissipées par le gouvernement. »
« Un dirigeant doit-il s'excuser ? Si on le pense, c'est qu'on confond la politique avec la politesse. En dépit de leur ressemblance, elles n'ont rien à voir : la seconde concerne le "lisse" (politus en latin), puisqu'elle vise à polir les mœurs ; la première désigne la cité (polis en grec) et recherche, pour elle, la paix, la puissance et la prospérité. Sans doute est-il bon que le politique soit poli, mais il n'est certainement pas élu pour l'être. Sans doute la pratique de l'excuse rend-t-elle le gouvernant plus proche, plus accessible, plus humain – ce qui va bien avec l'esprit des temps démocratiques – , mais qu'est-ce qu'un élu qui s'excuse, sinon un élu qui a failli ? Et s'il a failli pourquoi resterait-il en poste ? La seule manière pour lui de s'excuser, c'est de démissionner. »
« Je ne veux pas dire qu'un responsable politique ne doit pas admettre des erreurs ou des mauvais choix : il doit le faire si cela apaise et renforce, bref si c'est un acte de politique et non de contrition – ; mais je veux surtout dire qu'un citoyen a le devoir de comprendre que la décision politique ne se fait jamais entre une bonne et une mauvaise option : elle tranche entre une mauvaise et une pire. C'est pour cela qu'elle déçoit toujours. "Rien ne marque tant le jugement solide d'un homme que de savoir choisir entre les grands inconvénients", écrivait le Cardinal de Retz dans ses Mémoires. Et Churchill ajoutait : "Le plus dur c'est de prendre des décisions quand un tiers des informations dont vous disposez sont incomplètes, un tiers sont contradictoires, un tiers sont fausses". Alors à qui faudrait-il demander pardon ? Au réel ? »
« Je ne veux pas dire qu'un responsable politique ne doit pas admettre des erreurs ou des mauvais choix : il doit le faire si cela apaise et renforce, bref si c'est un acte de politique et non de contrition – ; mais je veux surtout dire qu'un citoyen a le devoir de comprendre que la décision politique ne se fait jamais entre une bonne et une mauvaise option : elle tranche entre une mauvaise et une pire. C'est pour cela qu'elle déçoit toujours. "Rien ne marque tant le jugement solide d'un homme que de savoir choisir entre les grands inconvénients", écrivait le Cardinal de Retz dans ses Mémoires. Et Churchill ajoutait : "Le plus dur c'est de prendre des décisions quand un tiers des informations dont vous disposez sont incomplètes, un tiers sont contradictoires, un tiers sont fausses". Alors à qui faudrait-il demander pardon ? Au réel ? »
Alors que trois cents Lyonnais venaient de se rassembler au bord de la Saône, Xavier Martinage a affirmé dans Capital ( 31/03/2021) que « tous les participants étaient en situation de délit puisque […] ils ne respectaient pas la limite de rassemblement de six personnes, ils consommaient également de l'alcool sur la voie publique et ceux qui sont restés après 19 heures, violaient le couvre-feu ». C'était certes illégal, mais de là à ériger leur action en délit, il y a un pas que le pouvoir n'a pas encore osé franchir ! Du moins au regard du droit, car en pratique, il est vrai que c'est d'ores et déjà une autre affaire. C'est affligeant de constater à quel point les journalistes peuvent être complices de cette confusion.
« En Seine-Saint-Denis, la situation serait très critique : dans un lycée à Drancy, on dénombrerait même pas moins de vingt parents d'élèves morts du Covid-19. C'est, en tout cas, ce que titraient de très nombreux médias, lundi matin [29 mars 2021], la nouvelle dramatique s'étant répandue comme traînée de poudre : "Seine-Saint-Denis : vingt parents d'élèves d'un même lycée sont morts du Covid-19" (Paris Match), "Coronavirus à Drancy : au lycée Eugène-Delacroix où vingt parents d'élèves sont décédés et 22 classes seront fermées dès lundi" (20 Minutes), "Le cas hors normes du lycée de Drancy, où le Covid-19 a tué 20 parents d'élèves, la fermeture demandée" (La Dépêche), etc. […] 1 % des deux mille adolescents qui fréquentent l'établissement auraient perdu leur père ou leur mère, des adultes pourtant sans doute pour la plupart à peine quadragénaires ? Sauve qui peut ! Il y a, en effet, de quoi se claquemurer chez soi. »
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« En 1971, 343 femmes affirment avoir avorté illégalement par le manifeste des 343. Cinquante ans plus tard, nous sommes 343 femmes et personnes pouvant vivre une grossesse à déclarer avoir avorté au-delà des délais légaux français. » Parmi les signataires figurent les chanteuses Vanessa Paradis et Yael Naim, les actrices Laure Calamy et Isabelle Carré ou encore l'ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem.
« Le blocage de la page, qui empêche ses administrateurs de poster de nouveaux messages pendant un mois sans pour autant la rendre invisible, a suivi la suppression d'une vidéo de M. Maduro sur le médicament Carvativir, dont l'efficacité n'a pas encore été démontrée par des études médicales, précise Facebook. »
« "La Murcie sera la première région autonome à autoriser le veto éducatif parental", titre le journal de centre-gauche El Pais, samedi 20 mars. Le gouvernement de la région autonome située dans le Sud-Est de l'Espagne veut adopter une mesure qui permette aux parents de censurer les activités éducatives de leurs enfants à l'école, en particulier sur des questions morales ou liées à la sexualité. […] Cette mesure incluant le veto parental "prévoit notamment le consentement tacite (…) des parents, qui devront s'opposer expressément à ce que leurs enfants assistent à tel ou tel débat ou atelier sur le temps scolaire", dévoile le quotidien le plus lu du pays. »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Dans les années 2010, le web changea drastiquement. On se mit à concevoir de véritables logiciels accessibles depuis le navigateur. […] Des plates-formes de plus en plus fragiles par leur taille et critiques par leurs usages. De ces problématiques naquit le micro-service, une architecture logicielle qui n'a rien à envier aux théories libérales. […] Par exemple, un site marchand d'un seul bloc se retrouve découpé en micro plateformes indépendantes. Un micro-service qui gère le catalogue, un qui gère le panier utilisateur, un qui gère le paiement, un qui gère le suivit de la commande, etc. »
« Ce fut déjà une révolution, mais un verrou freinait encore la résilience. Les micro-services envoyaient des ordres aux autres micro-services, créant une chaîne de commandement trop rigide face aux aléas. La solution fut de ne plus envoyer des ordres, mais des événements.é
« Avec un ordre, chaque micro-service doit avoir un plan global de la plate-forme pour savoir qui doit recevoir l'ordre, et savoir que faire si l'ordre n'est pas exécuté correctement. Un événement évite les problèmes, vous le propagez à toute la plate(forme, chaque micro-service décide ce qu'il en fait. […] La nature n'appelle pas les arbres un par un pour ordonner la floraison. Elle fait monter la température et l'ensoleillement. Chaque arbre réagit à ces événements selon ses caractéristiques. Il n'y a que les humains pour affectionner les systèmes hiérarchiques top-bottom… Chaque micro-service devient autonome, il est maître de son domaine et réagit aux signaux externes. […] Les théories libérales appliquées à l'informatique. »
« Ce fut déjà une révolution, mais un verrou freinait encore la résilience. Les micro-services envoyaient des ordres aux autres micro-services, créant une chaîne de commandement trop rigide face aux aléas. La solution fut de ne plus envoyer des ordres, mais des événements.é
« Avec un ordre, chaque micro-service doit avoir un plan global de la plate-forme pour savoir qui doit recevoir l'ordre, et savoir que faire si l'ordre n'est pas exécuté correctement. Un événement évite les problèmes, vous le propagez à toute la plate(forme, chaque micro-service décide ce qu'il en fait. […] La nature n'appelle pas les arbres un par un pour ordonner la floraison. Elle fait monter la température et l'ensoleillement. Chaque arbre réagit à ces événements selon ses caractéristiques. Il n'y a que les humains pour affectionner les systèmes hiérarchiques top-bottom… Chaque micro-service devient autonome, il est maître de son domaine et réagit aux signaux externes. […] Les théories libérales appliquées à l'informatique. »
Quand nous avons lu cet article, il y était question, à plusieurs reprises, de « Louis 14 ». Cela a depuis été rectifié… bien qu'une parenthèse ait été maintenue, avec la traduction en chiffres arabes, à l'intention des "Grand Lyonnais" qui non seulement ne sauraient pas lire les chiffres romains, mais en plus n'auraient jamais entendu parler du Roi-Soleil, ni de la statue à son effigie qui trône place Bellecour. Notez cependant qu'à linstant où nous le partageons, il est toujours question, dans cet article, du « 19e siècle », en dépit des recommandations typographiques.
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
« C'est la polémique dans la polémique autour de Pierre Ménès. Elle concerne cette fois la chroniqueuse Francesca Antoniotti. […] Une séquence diffusée sur les réseaux sociaux montre le journaliste en train d'embrasser de force la chroniqueuse sur le plateau de l'émission. Hier soir, sur le plateau de TPMP, la journaliste a expliqué : "Sur le coup, il y a plein de choses qu'on laisse passer car on a pas la possibilité de dire ce que l'on pense dans le journalisme sportif quand on est une femme et surtout face à quelqu'un qui est une personnalité que je respecte comme c'est le cas de Pierre Ménès. En revanche je veux dire que ce n'est pas une agression sexuelle, ce n'est vraiment pas ça. |…] Alors, sur cette séquence, je veux dire que j'ai été humilié, mais je sais que Pierre est intelligent, il va venir, il va s'excuser et on va passer à autre chose : Basta..." »
« Le Gouvernement a remis au Conseil d'État un mémoire, qui n'a pas été publié mais dont Contexte a eu une copie, dans lequel il lui demande de contourner les arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) car ils seraient contraires à "l'identité constitutionnelle française", en particulier à la protection de la sécurité intérieure qui doit prévaloir sur la protection de la vie privée. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
D'après Luca de Meo, les prochaines Alpine électriques « devraient être une sorte de mélange d'une mini-Ferrari et d'une mini-Tesla ». C'est en tout cas ce qu'il a déclaré au journal allemand Die Welt. Rien à voir avec tout ce qu'on a connu jusqu'à présent dans l'histoire de la marque, dont les modèles étaient plutôt comparables à des Lotus ou à des Porsche, selon les cas.
« Un restaurateur de Neuilly-sur-Seine a été placé en garde à vue pour avoir clandestinement maintenu son commerce ouvert au public en violation des règles sanitaires en vigueur contre l'épidémie de Covid-19, a indiqué le parquet de Nanterre, sollicité par l'AFP. »
« Ce restaurateur et son serveur ont été interpellés en flagrant délit mercredi midi et placés en garde à vue. […] Les deux hommes ont été remis en liberté mais une enquête préliminaire pour mise en danger d'autrui, ouverture irrégulière d'un établissement recevant du public et travail dissimulé a été ouverte. Pour ces faits, le restaurateur encourt jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. »
« La grille de l'établissement était fermée mais les forces de l'ordre y ont pénétré, alertés par le bruit, et ont découvert une vingtaine de clients attablés, qui ont été contrôlés, selon la police des Hauts-de-Seine. Les vingt-quatre clients ont été verbalisés, a précisé le parquet. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé que le commerçant avait maintenu son commerce ouvert depuis novembre, qu'il avait touché 20 000 euros d'aides gouvernementales et réussi à se dégager un salaire de 2 000 euros par mois, a détaillé la police. »
« Ce restaurateur et son serveur ont été interpellés en flagrant délit mercredi midi et placés en garde à vue. […] Les deux hommes ont été remis en liberté mais une enquête préliminaire pour mise en danger d'autrui, ouverture irrégulière d'un établissement recevant du public et travail dissimulé a été ouverte. Pour ces faits, le restaurateur encourt jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. »
« La grille de l'établissement était fermée mais les forces de l'ordre y ont pénétré, alertés par le bruit, et ont découvert une vingtaine de clients attablés, qui ont été contrôlés, selon la police des Hauts-de-Seine. Les vingt-quatre clients ont été verbalisés, a précisé le parquet. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé que le commerçant avait maintenu son commerce ouvert depuis novembre, qu'il avait touché 20 000 euros d'aides gouvernementales et réussi à se dégager un salaire de 2 000 euros par mois, a détaillé la police. »
Témoignage édifiant de Léonidas Kalogeropoulos (Médiations et Arguments), lors d'un entretien avec Stéphane Soumier diffusé le 24 mars 2021 :
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« À l'intérieur, c'est plus convenu. Puisque l'on retrouve quasiment la planche de bord du Captur. Ce n'est pas une critique. Mais la qualité de finition est… très au-dessus. Dès qu'on roule, c'est la première chose qui frappe. Le haut degré d'insonorisation et de filtration surprend pour une voiture française. Pas de petits bruits, rien. Renault effectue ici un remarquable pas en avant. »
« Il est vrai que la qualité de fabrication coréenne est réputée. Les clients du pays du Matin calme sont "très exigeants sur les accostages et les crissements ou grincements", affirme François Laurent. Et Renault a ajouté des spécifications européennes, comme des insonorisants sur les passages de roues, par exemple, car ceux-ci sont étrangement négligés en Corée. Logique: les chaussées là-bas sont lisses et les vitesses moyennes de circulation faibles. Les plastiques souples en haut de la planche et ceux plus durs en bas font solide. Et fermer une portière avant ou arrière est un plaisir. Bravo. C'est beaucoup mieux qu'un Volkswagen T-Cross, et de loin ! »
« Voilà un engin bien pensé, rigoureusement fabriqué, de qualité! Nous sommes fiers de Renault cette fois en tant que Français. La firme espère repartir à la conquête du segment des compactes avec ce SUV-coupé. On ne voit pas ce qui s'y opposerait. Et, ce qui ne gâche rien, les prix sont compétitifs. »
« Il est vrai que la qualité de fabrication coréenne est réputée. Les clients du pays du Matin calme sont "très exigeants sur les accostages et les crissements ou grincements", affirme François Laurent. Et Renault a ajouté des spécifications européennes, comme des insonorisants sur les passages de roues, par exemple, car ceux-ci sont étrangement négligés en Corée. Logique: les chaussées là-bas sont lisses et les vitesses moyennes de circulation faibles. Les plastiques souples en haut de la planche et ceux plus durs en bas font solide. Et fermer une portière avant ou arrière est un plaisir. Bravo. C'est beaucoup mieux qu'un Volkswagen T-Cross, et de loin ! »
« Voilà un engin bien pensé, rigoureusement fabriqué, de qualité! Nous sommes fiers de Renault cette fois en tant que Français. La firme espère repartir à la conquête du segment des compactes avec ce SUV-coupé. On ne voit pas ce qui s'y opposerait. Et, ce qui ne gâche rien, les prix sont compétitifs. »
« Mercredi après-midi [le 17 mars], la préfecture de Police de Paris annonçait sur son compte Twitter avoir jugulé à Saint-Ouen, en banlieue Nord de Paris, "un atelier de conditionnement de produits stupéfiants (MDMA, ecstasy) qui alimentait des soirées clandestines" et saisi pour un million d'euros de marchandise. Le message en question était accompagné de deux photos montrant de la poudre rose et des sortes de petites pilules de la même couleur dans des sachets.
« Les analyses toxicologiques réalisées hier soir ont conclu "que la poudre saisie dans l'appartement était une poudre neutre, ne relevant ni de produits stupéfiants ni de substance vénéneuse", a indiqué à l'AFP le parquet de Bobigny. Il s'agissait en fait de... "fraises Tagada concassées", un célèbre bonbon, a précisé une source proche de l'enquête. »
« Les analyses toxicologiques réalisées hier soir ont conclu "que la poudre saisie dans l'appartement était une poudre neutre, ne relevant ni de produits stupéfiants ni de substance vénéneuse", a indiqué à l'AFP le parquet de Bobigny. Il s'agissait en fait de... "fraises Tagada concassées", un célèbre bonbon, a précisé une source proche de l'enquête. »
« Dans ma revue de l'excellent livre Democracy for Realists, j'expliquais que les attentes envers la démocratie sont beaucoup trop élevées. […] Dans le livre 10 % Less Democracy, l'économiste Garett Jones aborde le problème sous un autre angle. L'idée centrale du livre est que dans la plupart des pays développés, la démocratie est allée trop loin. Il défend l'opinion que les politiciens élus et les citoyens qui votent pour eux devraient être tenus un peu plus éloignés des leviers du pouvoir en faveur de technocrates de carrière. Autrement dit, Jones préfère des bureaucrates indépendants et non-élus et souhaite que soit rallongé le mandat des élus. »
« Pour qu'une démocratie fonctionne bien, il faut que les électeurs soient bien informés. Par contre, le vote de ces derniers a le même poids que celui des électeurs les moins informés. Jones souhaiterait faire pencher un petit peu plus la balance du côté des électeurs mieux informés. […] L'autre moyen de donner davantage de poids aux élites dans la gestion du gouvernement est d'avoir une chambre haute au Parlement qui approuve les lois. La House of Lords au Royaume-Uni et le Sénat au Canada permettent d'attribuer davantage de pouvoir et une influence concrète sur le gouvernement à une certaine élite non élue. Selon Jones, ce concept devrait être renforcé. »
« Jones fait remarquer que dans certains pays, le dirigeant de la banque centrale conserve une certaine indépendance du gouvernement, alors que dans d'autres pays l'influence du gouvernement sur la politique monétaire est prépondérante. »
« On peut être en désaccord avec la manière d'opérer de la Federal Reserve ou de la Banque centrale européenne, mais il n'en demeure pas moins que l'inflation a été historiquement beaucoup plus faible dans les pays où la banque centrale est plus indépendante du gouvernement, que dans ceux où le gouvernement a le contrôle de la planche à billets. […]
Jones en conclut que la structure plutôt anti-démocratique de certaines banques centrales favorise de meilleures politiques économiques. »
« Selon Jones, Singapour a moitié moins de démocratie que les pays Occidentaux, ce qui est peut-être un peu trop extrême. Cependant, ce pays présente deux atouts importants lui permettant de bien fonctionner : des citoyens parmi les plus éduqués au monde et un système judiciaire considéré comme très indépendant par des organismes tels que le World Justice Project et la Banque Mondiale (Rule of Law Index). Donc Jones ne recommande pas un système comme Singapour du fait de son déficit de démocratie. Il préconise seulement un petit pas dans cette direction afin d'atteindre le seuil de 10 % de démocratie en moins. »
« Pour qu'une démocratie fonctionne bien, il faut que les électeurs soient bien informés. Par contre, le vote de ces derniers a le même poids que celui des électeurs les moins informés. Jones souhaiterait faire pencher un petit peu plus la balance du côté des électeurs mieux informés. […] L'autre moyen de donner davantage de poids aux élites dans la gestion du gouvernement est d'avoir une chambre haute au Parlement qui approuve les lois. La House of Lords au Royaume-Uni et le Sénat au Canada permettent d'attribuer davantage de pouvoir et une influence concrète sur le gouvernement à une certaine élite non élue. Selon Jones, ce concept devrait être renforcé. »
« Jones fait remarquer que dans certains pays, le dirigeant de la banque centrale conserve une certaine indépendance du gouvernement, alors que dans d'autres pays l'influence du gouvernement sur la politique monétaire est prépondérante. »
« On peut être en désaccord avec la manière d'opérer de la Federal Reserve ou de la Banque centrale européenne, mais il n'en demeure pas moins que l'inflation a été historiquement beaucoup plus faible dans les pays où la banque centrale est plus indépendante du gouvernement, que dans ceux où le gouvernement a le contrôle de la planche à billets. […]
Jones en conclut que la structure plutôt anti-démocratique de certaines banques centrales favorise de meilleures politiques économiques. »
« Selon Jones, Singapour a moitié moins de démocratie que les pays Occidentaux, ce qui est peut-être un peu trop extrême. Cependant, ce pays présente deux atouts importants lui permettant de bien fonctionner : des citoyens parmi les plus éduqués au monde et un système judiciaire considéré comme très indépendant par des organismes tels que le World Justice Project et la Banque Mondiale (Rule of Law Index). Donc Jones ne recommande pas un système comme Singapour du fait de son déficit de démocratie. Il préconise seulement un petit pas dans cette direction afin d'atteindre le seuil de 10 % de démocratie en moins. »
« "Vous ne verrez aucune utilisation d'hydrogène dans les voitures !" Le P-DG de Volkswagen, Herbert Diess, est assez clair quant au positionnement du groupe vis-à-vis de la pile à combustible. Interrogé par le Financial Times, il juge qu'il serait "très optimiste" de penser qu'il y aurait jamais un grand marché pour les véhicules à pile à combustible. "Pas même dans dix ans, parce que la physique derrière tout cela est tellement déraisonnable" a-t-il justifié, pointant notamment du doigt le rendement de la pile et la complexité du système. »
« Volkswagen n'est d'ailleurs pas le seul à lever le pied sur la voiture à hydrogène. L'an dernier, Mercedes a annoncé la fin de son SUV à hydrogène GLC F-Cell tandis que BMW a décidé de réduire ses efforts au strict minimum. […] Le positionnement des constructeurs sera-t-il amené à évoluer ? Peut-être. […] Après-tout, rappelons qu'il y a encore une quinzaine d'années peu de constructeurs croyaient à la voiture électrique… »
« Volkswagen n'est d'ailleurs pas le seul à lever le pied sur la voiture à hydrogène. L'an dernier, Mercedes a annoncé la fin de son SUV à hydrogène GLC F-Cell tandis que BMW a décidé de réduire ses efforts au strict minimum. […] Le positionnement des constructeurs sera-t-il amené à évoluer ? Peut-être. […] Après-tout, rappelons qu'il y a encore une quinzaine d'années peu de constructeurs croyaient à la voiture électrique… »