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Alpine
Avis aux amateurs tentés par l'achat d'une nouvelle Alpine : « le pneu PS4 DT1 justifie à lui [seul] le choix d'opter pour les jantes 18 pouces », selon nos confrères de L'Automobile sportive.
Sur le marché français du moins. Ce début de carrière s'avère donc prometteur. C'est un succès mérité, si l'on en croit les commentaires de la presse spécialisée.
Le succès semble au rendez-vous pour la nouvelle Alpine, dont un millier d'exemplaires ont été produits. Dans l'absolu, cala n'est pas énorme, mais c'est déjà plus que le nombre total d'A610 jadis sorties des chaînes.
« Il y a un petit côté Alpine A610 dans le traitement de la vitre de custode », écrit Nicolas Meunier, à propos de la Lexus LC 500. C'est un commentaire inattendu, mais bienvenu, tant cette excellente GT semble oubliée.
Peut-être la cadence de production passera-t-elle de cinq à quinze véhicules par jour. Par ailleurs, alors que six cents berlinettes y circulent encore, la diffusion au Japon a été reportée.
Bernard Ollivier n'est pas content : « Nous n'avons pas trimé fort pendant près de sept ans pour faire plaisir à des spéculateurs mais pour des esthètes et des passionnés qui ont un rapport affectif avec leur voiture ! »
En effet, comme l'a relevé Challenges, finalement, « la voiture coûte dix mille euros de plus que le projet voulu par Carlos Tavares ». Le succès n'en semble pas moins au rendez-vous.
Un espace dédié aux Alpine ? Très bien ! Juste à côté de celui réservé aux Dacia ? Nos confrères du Blog auto se disent « dubitatifs sur l'importance que donne Renault à l’expérience d'achat ». On verra bien.
La finition de l'Alpine apparaît en retrait selon nos confrères de L'Auto -Journal. Les aspects pratiques leur semblent négligés. Quant au moteur, il gagnerait à monter davantage dans les tours. Mais pour le reste…
La nouvelle Alpine bénéficie d'une huile dédiée. Mais aussi d'un liquide lave-glace de couleur bleue! Le marketing ne laisse rien au hasard.
Selon notre confrère Alain-Gabriel Verdevoye, « l'industrie auto française se distingue pour une fois dans le domaine des véhicules d'exception ». Reste toutefois à confirmer la fiabilité de cette voiture, prévient-il dans Challenges.
L'essai du site Auotnews. Joueuse mas facile, agile mais confortable, cette voiture semble faire l'unanimité. D'autres partages de liens le confirmeront peut-être à nouveau !
Les premiers essais semblent concluants. La presse spécialisée serait même « dithyrambique » ! La voiture est jugée plaisante à manier, très vive, mais néanmoins adaptée à un usage quotidien. Promesse tenue ? On dirait bien.
En cause, selon l'homologue britannique du CSA : la vidéo filmée dans le col de Turini, « terrain de jeu favori » de la berlinette, selon un tweet signé du A fléché. De quoi encourager une conduite dangereuse ? Rabat-joie !
Porsche est cité en exemple. C'est oublier qu'il avait étoffé sa gamme avec d'authentiques sportives puis une berline avant d'apposer son blason sur des véhicules qui en sont indignes.
La mondialisation est-elle l'apanage du XXIe siècle ? En tout cas, la nouvelle Alpine sera produite exclusivement en France, tandis que la moitié de ses ancêtres furent assemblées à l'étranger. Étonnant !
Il n'est pas inintéressant d'exhumer un tel souvenir. Mais de là à légitimer la commercialisation prochaine d'un SUV badgé du A fléché, il y a un pas qui ne saurait être franchi.
Une berline Alpine, pourquoi pas ? En renonçant à la propulsion, hors de question ! On est sidéré de voir un confrère de la presse auto faire l'apologie d'une telle hérésie. Laquelle contribua vraisemblablement au naufrage d'Alfa Romeo.
Dans la série "la mondialisation ne date pas d'hier" : des berlinettes Alpine furent produites en Espagne, au Brésil, en Bulgarie et au Mexique.
L'internationalisation des constructeurs automobiles ne date pas d'hier. Nouvel exemple avec l'incursion en Bulgarie de Renault et même Alpine. C'était dans les années soixante. Mais cela n'a pas duré longtemps.