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En quittant l'Union européenne, « la Grande-Bretagne risque de voir encore réduite sa capacité à choisir son destin », analyse Richard Robert, directeur de Paris Tech Review.
Le point sur l'imbroglio juridique. Avec la mention de "l'hypothèse Groenland" que nous avions formulée dans un billet publié le 29 juin.
L'analyse de Jean-Louis Bourlanges. Loin d'observer « un printemps des peuples dressés contre un empire abusif », il s'inquiète « d'un phénomène général de fragmentation du lien politique ».
Certains points nous laissent dubitatif, mais cela tranche avec la légèreté observée ici ou là, où la question n'est abordée que via le prisme étroit des petits calculs politiciens, plus encore que politiques.
Approche réaliste, sans catastrophisme ni annonce d'une punition, tout en dénonçant les inepties souverainistes : votre serviteur se retrouve tout à fait dans son analyse présentée sur France Culture.
« Plusieurs arguments militent pour cette possibilité, aussi incongrue puisse-t-elle paraître aujourd'hui », écrit Daniel Vernet.
Quelques considérations juridiques. Une seule chose est sûre : c'est une sacrée pagaille.
Londres est-il condamné à choisir entre l'Europe et le grand large ? Bien au contraire, selon cet article tiré de la presse australienne.
Norvège, Suisse, Canada : Les Échos donnent un aperçu des relations entretenues par chacun de ces États avec l'Union européenne.
Le Brexit pourrait conduire à l'éclatement de l'Europe, s'inquiète Alain Madelin (22 min) : non pas en provoquant directement son détricotage, mais en la privant d'un équilibre qui la préserve notamment des surenchères fédéralistes.
Si le vote "leave" l'emportait le 23 juin, les Vingt-Sept se montreraient vraisemblablement conciliants avec Londres. Cela afin de parer à des risques commerciaux et surtout financiers, comme l'explique notre confrère Romaric Godin.
« La Hongrie est très fière d'être un membre de l'UE avec vous », clame le Premier ministre hongrois, à l'intention des Britanniques. L'extrême droite souverainiste va déchanter.
Ceux résidant au Royaume-Uni sont appelés à voter le 23 juin. Les souverainistes ont beau opposer à la Francophonie à l'UE, sans doute préféreraient-ils ne pas s'inspirer de ce modèle...
La présidente du FN n'est pas la bienvenue outre-Manche. Une réaction injuste ? Pas vraiment, car son horizon politique est aux antipodes de celui des "sécessionnistes" britanniques. Cela nous fait bien rire !
En cas de Brexit, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède pourraient être les États les plus lésés car ce seraient « les plus proches alliés du Royaume-Uni au Conseil ».
« Pour infléchir la marche de l'Union », explique Jean-Louis Bourlanges, « les Britanniques sont condamnés à choisir une autre voie que celle d'un nouveau traité ». Une analyse publiée par Telos.