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« Si les facilitations des règles de remboursement sont une avancée aisément perceptible, le remboursement des "produits alimentaires provenant d'autres enseignes" me paraît sans intérêt aucun. […] À moins qu'il ne s'agisse que d'aider les journalistes à trouver intérêt au communiqué envoyé par l'agence de presse de Monoprix. Auquel cas… ça a marché ! »
« Ouverture hier à Orange du premier point de vente physique de l'aventure C'est qui le patron. Un seul lieu mais deux missions. En premier, c'est un point de retrait pour les commandes passées via le site la livraison des consommateurs actif depuis quelques semaines. Seconde mission : c'est un point de vente avec toute la gamme des produits CQLP et des produits "cousins". […] Deux autres magasins-drives sont déjà prévus : à Dijon et Paris. Et un réseau de points de retrait national est en cours de constitution. »
« Tout démarre en avril 2018, il y a plus de deux ans. Lidl organise une double promo sur des produits stars de Sony. […] À la fin de l'OP, la marque reprend les consoles que Lidl n'a pas placées. Problème : quelques mois plus tard, Sony renvoie un lot de quatre cents consoles à Lidl, en raison d'emballage abîmes. […] Début 2020, Lidl décide de les écouler sans tambour ni trompettes. […] Une quarantaine à Dijon avant le confinement, encore soixante la semaine dernière à Pontault-Combault, le tout sans publicité extérieure, donc sans susciter une attente quelconque malgré le prix choc. Bis repetita ce matin pour l'ouverture d'Orgeval. Mais, cette fois-ci, l'offre fuite la veille dans l'après-midi. […] Quelques clients débarquent sur le parking dès hier soir. Beaucoup sont déjà là au petit matin. Et, à 8 h 30, heure théorique d'ouverture du magasin, ils sont déjà quatre cents à se masser devant les portes qui, finalement, n'ouvriront pas. »
« Plus que toutes les autres enseignes, Leclerc établit son pricing en fonction… des autres » ; « pas question en effet de se laisser déborder », explique Olivier Dauvers, « même si la conséquence, comme ici, est fâcheuse ». La conséquence, c'est que des produits vendus par lot se retrouvent parfois à un tarif plus élevés que ceux vendus à côté à l'unité. En cause : « l'alignement automatique (où l'intelligence de la machine supplante le bon sens de l’homme) ».
Peut-être n'est-il d'ailleurs pas le seul. « Agissons ensemble », lit-on en accroche d'une annonce dans l'un de ses magasins. Commentaire d'Olivier Dauvers, sur son blog consacré à la distribution : « Il y a quelques mois, "agir ensemble", c'était accompagner le client dans une consommation plus responsable. La chasse au plastique par exemple. Désormais, c'est l'inverse. Vive le jetable. Autre temps, autres mœurs ! »
Un nouveau magasin vient d'être inauguré à Tokyo par nouveau magasin Lush Cosmetics. Avec un parti-pris radical : « Les étiquettes ont disparu. Pas de prix, pas d'informations sur les produits ou sur leur composition. En lieu et place des bons vieux papiers, Lush invite ses clients, dès l'entrée du magasin, à télécharger Lush Labs, son application qui scanne les produits (sans emballage, autre parti-pris historique de la marque) et délivre instantanément les informations correspondantes. "L'utilisation de la reconnaissance visuelle via l'application, pour présenter les produits et leurs informations constitue une étape décisive vers la réduction des emballages et de la consommation d'eau au travers de la présentation des produits en vidéo", précise Lush. »
« Nous vivons un changement des habitudes de consommation comparable à celui que nous avons vécu après la Seconde Guerre mondiale pendant les Trente Glorieuses. […] Aujourd'hui, c'est la montée en puissance du digital et la prise de conscience écologique qui changent totalement la donne. […] Ceux qui pensent que l'on libère du pouvoir d'achat grâce aux prix les plus bas se trompent. Quel est le pays avec le plus fort pouvoir d'achat en Europe ? C'est la Suisse où les prix sont particulièrement élevés. Ce qui contribue au pouvoir d'achat, ce sont des emplois locaux qui peuvent se nourrir des prix relativement élevés auxquels sont vendus les produits locaux. En gagnant quelques centimes sur le lait, on n'enrichit personne mais on appauvrit beaucoup de monde. » À noter, par ailleurs : « Le soir et le dimanche nous avons plus de salariés volontaires que de postes à pourvoir. »
Dans certains konbini, les produits approchant de leur date de péremption seront vendus avec un prix en baisse. C'est ce qu'ont annoncé les sociétés Lawson et Seven Eleven.
« Si le nettoyage a été la première des priorités, la durabilité se situe désormais au cœur de nos attentions. Nos emballages 2.0 devront maintenir l'esthétisme du produit, pour au moins cent utilisations. Le verre, en l'état actuel, ne le permet pas. Les bouteilles gardent bien souvent les marques de leur passage sur les lignes de remplissage. Elles se rayent. Pour éviter cela, nous envisageons des emballages multi-matériaux, qui associent le verre et le métal. Ce dernier servira à solidifier et à protéger les points de contact. Nous imaginons une bouteille sans étiquette avec un embossage et le logo Lesieur gravé, ou encore une bouteille sérigraphiée. […] Loop nous donne aussi l'occasion de nous réapproprier un peu de notre histoire. Nos bouteilles d'huile étaient consignées de 1924 à 1970 environ. Aujourd'hui, on réapprend à gérer ce type de système, aussi bien d'un point de vue informatique que financier. Et ce n'est pas simple. On paie 40 ans d'usage unique depuis l'essor du tout jetable. »
Les pouvoirs publics seraient-ils directement responsables du scandale dénoncé dans l'émission Capital sur M6 ? C'est ce que suggère Amazon. Selon le géant de la distribution en ligne, « en ce qui concerne les donations des vendeurs tiers de la marketplace, les réglementations en vigueur relatives à la TVA imposent que les vendeurs s'acquittent de la TVA sur les donations, ce qui n'est pas économiquement viable ».
Dénoncer la destruction des produits invendus est une chose. Apporter des solutions à ce phénomène en est une autre. Pour l'envisager, il faut comprendre la logique économique à l'œuvre. Les explications de Pierre Lecourt, animateur du site Minimachines, peuvent nous y aider. À lire !
Une expérimentation a été lancée en juillet dernier dans un magasin de Haute-Garonne. Des produits sont rachetés contre des cartes-cadeaux. Ils sont ensuite remis en vente avec le bénéfice d'une garantie d'un an. C'est vraisemblablement la traduction d'une tendance de fond.
Une quarantaine d'appareils sont déployés par JD.com. Les plus gros peuvent transporter jusqu'à trente kilogrammes de marchandises sur une trentaine de kilomètres. Ils se posent toutefois à l'écart des habitations.
Peugeot vient de quitter la célèbre avenue, suivant le mouvement entamé voilà quelques mois par Toyota et déjà suivi par Citroën et Mercedes. Seuls FCA et surtout Renault y demeurent. Les temps changent !
Les avantages proposés aux bénéficiaires n'étaient apparemment pas suffisants. Le pari est toutefois osé, car il faudra trouver de nouveaux moyens pour amener les clients à s'identifier afin de récolter leurs précieuses données.
En Chine, c'est déjà demain : « Le magasin est truffé de caméras. Peut être qu'à l'avenir, Carrefour et Tencent seront capables d'identifier les clients au moment où ils entrent, sans qu'ils aient besoin de passer par la case du selfie. »
C'est une initiative intéressée dont devraient s'inspirer les acteurs publics : les usagers du métro parisien devraient pouvoir attendre que leur salaire leur soit versé avant de souscrire leur forfait mensuel.
Rendez-vous à l'été 2019 aux abords de la Madeleine. Ce magasin différera nécessairement de ceux présents en périphérie. Sans surprise, comme le précisent Les Échos, il n'y aura pas de stocks de meubles sur place.
Sans surprise : « Le e-commerce alimentaire est plus complexe que le e-commerce non-alimentaire. Chaque commande compte quarante-cinq produits différents. Chez Amazon, la moyenne est de deux. »
Choisissez une voiture en libre-service, essayez-la trois jours durant… Quelques clics vous suffiront ensuite pour en devenir propriétaire. Alibaba tente l'expérience à Shanghai.