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islamisme
En cause, selon Tobie Nathan : une « appartenance culturelle défaillante à la première génération », généralement en situation de migration, et une « filiation flottante » à la deuxième.
On connaissait déjà l'inclination de la Justice à verser dans une interprétation extensive de l'apologie du terrorisme. Apparemment, c'est pareil avec son financement. À moins que cet article ne donne un aperçu biaisé de l'affaire bien sûr.
Le bikini, un symbole de résistance brandi contres les islamistes ? C'est l'histoire que l'on raconte à Paris ! Évidemment, la réalité s'avère plus complexe. Une sociologue revient sur cette affaire.
Les fous d'Allah sont-ils censés s'ouvrir les portes du paradis quand ils perdent la vie sans faire aucune victime ? Nouvel exemple en Irak. De quoi nourrir un discours de contre-propagande.
Des femmes arborant un bikini en Algérie pour défier les islamistes ? « C'est un fantasme des médias étrangers, français en particulier, pour meubler l'été après le feuilleton du burkini. »
Recension d'un livre sur les « revenants » du jihad : « Ainsi Thomson va-t-il jusqu'à décrire les Français comme des "cas soc' du jihad", montrant la manière dont ils ont exporté leur culture de cité vers la Syrie. »
Un livre recensé par Politique étrangère : « une contribution utile à l'étude de ce phénomène complexe du terrorisme francophone dont l'existence et le développement ne peuvent s'accommoder d’explications simplistes ».
Il n'y a pas d'internationale islamiste, explique en substance Mathieu Guidère. Selon lui, « l'analyse multi-scalaire est la seule capable de montrer la complexité du phénomène terroriste ».
Alain Chouet : « Les Européens […] ne sont même pas arrivés à se mettre d'accord sur une transcription commune de noms écrits en alphabet arabe ou cyrillique, ce qui rend illusoire la fiabilité du fameux "PNR". »
Un Dijonnais de dix-huit ans a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir donné un nom incongru à son réseau wifi. La Justice ne plaisante pas avec l'apologie du terrorisme, dont elle entérine une acception très large.
Sacrifier sa vie pour une cause, quelle qu'elle soit, peut-être cela réclame-t-il du courage. Pour l'avoir affirmé, à propos des "fous d'Allah", une figure d'Action directe vient d'être condamnée à huit mois de prison. Ça craint.
Quelques chiffres rappelés par Guillaume Nicoulaud, accompagnés d'une mise en garde convenue mais néanmoins bienvenue.
« Face au terrorisme, il ne faut pas confondre ce qui rassure et ce qui protège », souligne Nicolas Barré dans un éditorial des Échos. Propos convenu auquel nous souscrivons néanmoins pleinement.
« L'essentiel réside dans la lutte idéologique qui nous oppose à l'ennemi », écrivent Jean Dufourcq et Olivier Kempf. « Or, de ce point de vue-là », déplorent-ils, « nous ne sommes pas à la hauteur ».
Commentaire : cette menace peut alimenter la hantise des migrants ; mais aussi, à l'opposé, légitimer les appels à libéraliser les flux de populations, de façon à les rendre plus transparents...
Lu sur Echoradar : « Un jeu de dupes à l'échelle planétaire où les intérêts égoïstes, l'argent, le pouvoir et la géopolitique s'entremêlent dans une danse morbide. »
Résoudre une équation différentielle peut vous attirer des ennuis. Surtout si vous avez la peau mate. Ça promet !
Peut-être faut-il le souligner, à la suite ici d'Étienne Schweisguth sur Telos : le développement d'un islam intolérant et celui d'un islam terroriste sont des phénomènes sans doute connexes, mais néanmoins distincts.
Ce livre de deux cents pages suscite la critique élogieuse de DSI : « L'analyse a ici une profondeur et une vision qui font plaisir à lire [ce] qui n'exclut pas un coup de griffe à une approche globale un peu trop doctrinaire. »
Ce petit livre en brosse le portrait sur une centaine de pages. Cela semble assez bien fait ! De plus, l'éditeur propose une version numérique apparemment sans DRM. Peut-être aurons-nous l'occasion d'en rendre compte prochainement.