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Le Redoutable survivra ; on peut le voir à Cherbourg. Mais d'ici 2027 au plus tard, les cinq autres SNLE de première générations devraient avoir été "déconstruits". Pour le ministère des Armées, c'est l'occasion de saluer un savoir-faire « rare au monde et unique en Europe ».
Le 16 septembre 1988, le Clemenceau était de retour à Toulon après avoir croisé des mois durant au large de l'Iran. « Par l'ampleur des moyens déployés, sa durée et sa signification politique », cette opération « reste la démonstration la plus éclatante de diplomatie navale coercitive jamais réalisée par la Marine ».
Comme ceux des sous-marins. Selon Jean-Marc Tanguy, « ce projet provoque un certain scepticisme, alors qu'il est déjà difficile de trouver des marins pour les embarquements actuels ».
Il s'agit d'un site officiel, mis en ligne par le Gouvernement, « dédié aux délimitations officielles des espaces maritimes de la France », censé présenter des informations aussi exhaustives que possible, comme l'explique Cols bleus.
« Le rapprochement entre Naval Group et Fincantieri va mettre en concurrence Thales et Leonardo pour fournir les radars et les sonars des futurs navires que produira l’ensemble franco-italien. »
Querelle stratégique empreinte d'idéologie : tout en défendant le torpilleur contre le cuirassé, Georges Clemenceau dénonçait une Marine rétrograde, confite dans un cléricalisme réactionnaire et qui persistait à s'appeler Royale…
Luc-Antoine Lenoir, journaliste au Figaro, par ailleurs officier de réserve, propose une histoire de la Marine française libre.
Un livre signé Rémi Monaque. « L'auteur retrace l'histoire complexe de la Marine, de Richelieu jusqu'à nos jours, au sein de laquelle il immerge le lecteur de siècle en siècle. »
En écho au voyage du président de la République aux États-Unis, le ministère des Armées à publié trois notices biographiques sur « les Français de Yorktown » : le marquis de La Fayette, le comte de Rochambeau et enfin l'amiral de Grasse.
Coulé en mai 1945, à la veille de l'armistice, il n'avait jamais été retrouvé. Le doute planait jusqu'à présent : son équipage avait-il rejoint l'Amérique du Sud ? La réponse ne fait plus aucun doute désormais.
Lu dans Cols bleus : « Les lecteurs passionnés par l'aéronavale apprécieront cet ouvrage plaisant qui fourmille de détails sur la vie d'un pilote embarqué et la complexité de ses missions. »
Selon l'amiral Prazuck (CEMM), « nous sommes allés trop loin dans la réduction des équipages des FREMM ». Ceux-ci vont être doublés, comme pour les sous-marins. De façon notamment à faire émerger de nouveaux experts.
Des avions de combat russes ont survolé des navires de la Marine nationale à huit reprises au moins depuis l'été 2017.
Une histoire de l'aéronautique navale, de 1910 au Rafale Marine. Partage pour archivage.
C'était l'un des deux premiers porte-avions de l'US Navy. Touché par une torpille japonaise, il avait sombré en mai 1942.
C'était pendant la Grande Guerre, afin de tromper les sous-marins allemands en créant de faux effets de perspective. Non pour cacher les navires, mais pour compliquer l'estimation de leur cap et de leur vitesse.
Encore un livre sur le Charles de Gaulle ? Celui-ci est signé Benjamin Decoin (photos) et Cyril Hofstein (texte). Le Fauteuil de Colbert en propose une critique très élogieuse.
Il va falloir s'y préparer : « nous ne sommes pas loin du jour où un missile anti-navire sera tiré contre un bâtiment français », a prévenu l'miral Christophe Prazuck, chef d'état-major de la Marine.
Cols bleus : « La Marine a fait son devoir alors qu'elle n’était pas prête. En effet, des choix discutables faits avant la guerre et une mauvaise analyse des missions […] en cas de conflit ont coûté cher. »
C'est le navire le plus imposant d'Europe ! Mais à la différence du Charles de Gaulle, il ne disposes pas de catapultes. C'est pourquoi il n'embarquera que des avions à décollage court et atterrissage vertical (STOVL).