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« La collection Prestige des éditions ETAI publie un superbe ouvrage écrit par Christian Rouxel, consacré à l'entreprise pionnière du raffinage et de la distribution de pétrole en France, Fenaille et Despeaux, qui deviendra plus tard la célèbre Esso. »
« Au-delà de l'histoire familiale et de celle de cette entreprise, l'ouvrage nous replonge pleinement dans les débuts de l'ère du pétrole. Source de méfiance initialement dans nos contrées en raison d'une tenace réputation de "dangerosité" mais aussi de préjugés politiques (le pétrole "lampant" servi lors de la Commune à déclencher les incendies lors de la semaine sanglante), le pétrole s'impose peu à peu en raison de sa praticité, de son rendement, de son prix attractif et de la qualité des produits raffinés en France. »
« La France se caractérise longtemps par une résistance aux Américains, qui n'arrivent pas, malgré la puissance de frappe du trust de Rockfeller, à pénétrer et dominer le marché de produits raffinés jalousement gardé par des compagnies françaises. Le raffinage à la française est protégé par une politique fiscale avantageuse, une protection étatique et le choix du "premium". Mais l'État commence à y mettre son grain de sel, à la fois pour y ponctionner une manne financière juteuse mais aussi essayer d'en prendre le contrôle. La question du monopole d'État est un véritable serpent de mer qui suscite des débats passionnés tout au long de ces années, avec des arguments qui font écho à notre époque sur les profits éhontés des compagnies pétrolières. »
« C'est la guerre de 14-18 qui change radicalement la donne. Avec des besoins en pétrole croissants pour répondre à la mécanisation de la guerre moderne, l'État français profite du contexte de mobilisation pour prendre en main la filière du pétrole et surtout les approvisionnements venant essentiellement des États-Unis, faisant perdre ainsi aux compagnies privées une grande partie de leurs prérogatives. L'État […] maintient après la guerre un contrôle étatique rigoureux, tout en essayant, à la faveur des traités, d'obtenir sa "part du gâteau" notamment en Irak. Toutefois, l'après-guerre finit par marquer le triomphe des majors anglo-saxonnes, qui tirent profit de la libéralisation progressive du secteur et de leur capacité à casser les prix pour prendre d'assaut le marché français et fragiliser les indépendants. »
« Le livre est d'une grande richesse. Le récit, très détaillé, abondamment sourcé et soucieux de replacer l'histoire de cette entreprise dans le contexte national et international, s'accompagne d'une abondante iconographie et documentation »
« Au-delà de l'histoire familiale et de celle de cette entreprise, l'ouvrage nous replonge pleinement dans les débuts de l'ère du pétrole. Source de méfiance initialement dans nos contrées en raison d'une tenace réputation de "dangerosité" mais aussi de préjugés politiques (le pétrole "lampant" servi lors de la Commune à déclencher les incendies lors de la semaine sanglante), le pétrole s'impose peu à peu en raison de sa praticité, de son rendement, de son prix attractif et de la qualité des produits raffinés en France. »
« La France se caractérise longtemps par une résistance aux Américains, qui n'arrivent pas, malgré la puissance de frappe du trust de Rockfeller, à pénétrer et dominer le marché de produits raffinés jalousement gardé par des compagnies françaises. Le raffinage à la française est protégé par une politique fiscale avantageuse, une protection étatique et le choix du "premium". Mais l'État commence à y mettre son grain de sel, à la fois pour y ponctionner une manne financière juteuse mais aussi essayer d'en prendre le contrôle. La question du monopole d'État est un véritable serpent de mer qui suscite des débats passionnés tout au long de ces années, avec des arguments qui font écho à notre époque sur les profits éhontés des compagnies pétrolières. »
« C'est la guerre de 14-18 qui change radicalement la donne. Avec des besoins en pétrole croissants pour répondre à la mécanisation de la guerre moderne, l'État français profite du contexte de mobilisation pour prendre en main la filière du pétrole et surtout les approvisionnements venant essentiellement des États-Unis, faisant perdre ainsi aux compagnies privées une grande partie de leurs prérogatives. L'État […] maintient après la guerre un contrôle étatique rigoureux, tout en essayant, à la faveur des traités, d'obtenir sa "part du gâteau" notamment en Irak. Toutefois, l'après-guerre finit par marquer le triomphe des majors anglo-saxonnes, qui tirent profit de la libéralisation progressive du secteur et de leur capacité à casser les prix pour prendre d'assaut le marché français et fragiliser les indépendants. »
« Le livre est d'une grande richesse. Le récit, très détaillé, abondamment sourcé et soucieux de replacer l'histoire de cette entreprise dans le contexte national et international, s'accompagne d'une abondante iconographie et documentation »
« L'animateur de "L'Heure des pros" s'est […] adressé à Florian Bachelier, "qui représente la majorité", selon le présentateur : "Vous ne voulez pas vous attaquer au service public, qui... je voulais dire endoctrine... En tout cas, c'est de la propagande ! Vous ne voulez pas vous attaquer à cela ! Personne n'ose le faire. Il faut y aller ! Écoutez tous les humoristes de cette belle station publique. Écoutez la ligne éditoriale". "Je l'écoute tous les matins et j'en ai bien conscience", a répondu le député de La République en marche, à la surprise de Nadine Morano. […] "Moi, je suis auditeur de France Inter. Je le dis sur C-News volontairement, non pas par provocation, mais parce que j'écoute", a ajouté Florian Bachelier. [...] "Il y a un sujet sur les matinales. Il y a un sujet sur la fin de séquence. Je suis bien d'accord avec vous. Je vois aussi les budgets. Le budget Radio France est supérieur à celui de l'Assemblée nationale. Oui, la ligne éditoriale de France Inter pose parfois question", a concédé le parlementaire issu de la majorité. »
Les féministes ont visiblement de l'imagination. Ce Genevois a conçu une police de caractères censée entremêler des mots déclinés dans chacun des genres. Ce serait donc un substitut au point médian. Chacun est certes libre de s'amuser comme bon lui semble. Mais il se trouve que ce jeu-là bénéficie du soutien de la Croix-Rouge, qui a décerné un prix à son initiateur. Un prix intitulé "Art-Humanité" , dont la page de présentation officielle recourt d'ailleurs à l'écriture dite inclusive. Logique.
« "Je n'étais pas au courant de tous les problèmes qu'il y avait au Royaume-Uni, mais aussi dans le monde", a reconnu le fils cadet du prince Charles dans une interview accordée au quotidien britannique The Evening Standard. "Je croyais l'être, mais ce n'était pas le cas, poursuit le prince Harry, marié depuis 2018 à Meghan Markle. Vous savez, quand vous vous rendez dans un magasin avec votre enfant et que vous ne voyez que des poupées blanches, est-ce que vous vous demandez pourquoi il n'y a pas une seule poupée noire ? Et c'est juste un exemple de ce que nous, en tant que personnes blanches, ne pouvons pas percevoir, contrairement à une personne de couleur, de couleur noire. C'est une situation que nous ne pouvons pas comprendre, car le monde a été créé par des Blancs, pour des Blancs." »
« "La police française tire sur un homme et le tue après une attaque fatale au couteau dans la rue". Le titre donné par le New York Times à son article concernant l'assassinat du professeur de Conflans-Sainte-Honorine par un terroriste, a suscité l'indignation de très nombreux internautes. La tournure du titre du journal américain laisse en effet supposer que l'islamiste qui a décapité le professeur a été la victime de la police. En omettant au passage le caractère terroriste de l'attaque. »
Dans la foulée du mouvement Black Lives Matter, il n'y a pourtant pas de quoi s'étonner.
Dans la foulée du mouvement Black Lives Matter, il n'y a pourtant pas de quoi s'étonner.
« Gérald Darmanin a déposé plainte mercredi pour "diffamation publique envers la Police nationale" après la publication sur un blog hébergé par Mediapart d'un texte accusant la police de "barbarie" pour avoir "exécuté" l'assassin de Samuel Paty. […] L'article visé par le ministre intitulé "Exécution sommaire du suspect : nouvelle norme en matière de terrorisme?" commente une vidéo amateur tournée au moment où les policiers font feu sur le jeune réfugié d'origine russe tchétchène alors qu'il vient de décapiter Samuel Paty. "Ce jeune de dix-huit ans n'est au moment précise de sa mort qu'un suspect armé d'un jouet et d'un canif. Applaudir une police qui tue de façon aussi sommaire et systématique les individus suspectés de terrorisme, c'est applaudir une barbarie […], c'est embraser le choc des civilisations qui se trouve […] en haut de l'agenda de toutes les extrêmes-droites du monde", écrit notamment l'auteur. »
« La police est descendue effectuer un contrôle vendredi 16 octobre dans un sauna libertin d'Orléans (Loiret), comme le relate La République du Centre. "Il était 22 heures environ. Un couple s'est présenté à l'accueil, sans masque, sans mettre de gel hydro non plus. On leur a dit de mettre le masque et du gel. Ils se sont présentés comme des novices du libertinage. Puis une fois entrés, l'homme a montré sa plaque de police et fait entrer six autres personnes...", raconte Gilles, le patron, au quotidien régional, qui n'était pas présent ce jour-là. […] Sur une quarantaine de personnes présentes dans le sauna Jaurès, seule une ne portait pas de masque, souligne France Bleu Orléans. "On a vérifié plusieurs éléments et tout est nickel. Concernant le port du masque, quarante clients étaient présents ce soir-là et tous avaient leur masque, sauf un, qui a été verbalisé", explique un policier. »
« Pour l'instant, ce système n'est qu'en phase d'expérimentation sur la ligne Lyon-Saint-Etienne. "C'est une première en France d'avoir des caméras de surveillance en temps réel. Cela nous permet de suivre directement ce qui se passe dans nos rames : agressions, attouchements, vols… Cet outil va sincèrement nous permettre de franchir un nouveau cap sur la sécurité dans la région. La sécurité n'a pas de prix", affirme Laurent Wauquiez. »
Question (rhétorique) posée par Virginie Le Guay, éditorialiste à Paris-Match : « Cet échec collectif que nous constatons tous, est-ce qu'il ne vient pas, est-ce qu'il n'a pas été aggravé du fait qu'on a entendu tellement de voix discordantes ? […] Est-ce qu'il n'aurait pas fallu, à un moment ou un autre, faire taire un peu, aussi bien au milieu de la communauté scientifique qu'au milieu de la communauté politique, peut-être qu'au milieu de la communauté des journalistes, faire taire tous ceux qui s'exprimaient pour dire un peu tout ce qu'ils pensaient, et se rendre compte que cela affaiblissait complètement le discours officiel ? » (24 heures, LCI, 23 octobre 2020)
« Les enseignants parlent plus facilement sous le sceau de l'anonymat qu'à leur chef d'établissement. Dans le sondage Ifop de 2018, plus du tiers des enseignants ont déclaré s'être déjà autocensurés "pour éviter des incidents". En zone d'éducation prioritaire, ils sont même majoritaires avec 54 % ! Une bonne partie des faits passe ainsi sous les radars. »
« L'application Skoda Sound Analyzer enregistre le son émis par une voiture. […] La magie opère lorsque l'intelligence artificielle […] analyse le son enregistré et le compare à une base de données afin de déceler d'éventuels défauts mécaniques. S'il y a divergence entre la bande sonore enregistrée et celle stockée dans la base de données, l'IA est en mesure d'identifier le problème avec précision et de préconiser une réparation ou un entretien. Selon Skoda, son application est déjà capable de reconnaître dix modèles avec une précision de 90 % ! L'IA peut identifier tous les défauts, ou presque, y compris des problèmes de direction, de boîte ou de compresseur de climatisation. »
« La pandémie de Covid-19 avive les craintes d'un rebond durable des suicides au Japon. Les derniers chiffres l'attestent, le nombre de personnes mettant fin à leurs jours est reparti à la hausse après des années de baisse : 1 854 personnes se sont suicidées en août, soit une progression de 16 % sur un an, a annoncé, le 2 octobre, l'Agence nationale de la police (NPA). Il s'agissait de la deuxième hausse mensuelle d'affilée. Le chiffre serait presque passé inaperçu si, parmi les victimes, ne se trouvaient plusieurs personnalités populaires. »
Le Gouvernement a présenté « un nouveau plan d'actions à destination des personnes LGBT+ » dont la République en marche assure ici la promotion.
Selon le parti, « l'école doit être le premier lieu de sensibilisation et de prévention des LGBT-phobies ». Ce que confirme le Gouvernement : « si la lutte contre l'homophobie et la transphobie est désormais inscrite dans les programmes scolaires, "nous devons aller plus loin", a déclaré Élisabeth Moreno » ; « la formation des équipes pédagogiques sera ainsi renforcée et un observatoire de la haine anti-LGBT+ sera créé dans chaque académie ».
Parmi les objectifs affichés, il y a aussi « la reconnaissance des droits des personnes LGBT+ avec notamment l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires mais aussi la lutte contre de nouvelles législations LGBT-phobes, y compris au sein de l'Union européenne ».
Selon le parti, « l'école doit être le premier lieu de sensibilisation et de prévention des LGBT-phobies ». Ce que confirme le Gouvernement : « si la lutte contre l'homophobie et la transphobie est désormais inscrite dans les programmes scolaires, "nous devons aller plus loin", a déclaré Élisabeth Moreno » ; « la formation des équipes pédagogiques sera ainsi renforcée et un observatoire de la haine anti-LGBT+ sera créé dans chaque académie ».
Parmi les objectifs affichés, il y a aussi « la reconnaissance des droits des personnes LGBT+ avec notamment l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires mais aussi la lutte contre de nouvelles législations LGBT-phobes, y compris au sein de l'Union européenne ».
« On assiste pour les lits de réanimation, comme pour tous les autres sujets, à des discours contradictoires d'un jour à l'autre de la part des autorités. Il y a deux mois, on nous disait qu'il n'y avait aucune crainte en cas de deuxième vague, tout était prêt, avec 12 000 lits de réanimation mobilisables. Ces derniers jours, c'est alerte rouge, on craint la saturation des services, occupés à 30 % avec 1 400 malades Covid. Désolé, si la saturation de début mars était bien à 5 000 patients, aujourd'hui avec 12 000 lits annoncés pour l'automne par le Ministre en août, nous en sommes très, très loin. »
« Après avoir annoncé ces 12 000 lits, on a eu droit à des annonces disant qu'il n'y avait pas de problème de lits, mais de personnel qualifié pour les faire fonctionner. Il y a deux jours, c'est le Président, devant l'hôpital Rothschild, qui dit que ce n'est pas un problème de lits ou de personnel, mais d'organisation vidéo. On ne sait plus où on en est, car ceux qui organisent ne semblent pas le savoir eux-mêmes. »
« En fait, on reproduit les mêmes erreurs que début janvier : rien n'est organisé, on refuse de faire appel, sauf en dernière minute et en catastrophe, aux capacités de l'hospitalisation privée. Ignorés, méprisés depuis le premier jour, cela continue. À Lyon, deux grandes cliniques attendent depuis fort longtemps l'autorisation de vingt lits de réanimation chacune, les demandes restent toujours lettre morte. Rappelons que dans tous les établissements privés il y a des blocs opératoires disposant de respirateurs pouvant être déplacés, même chose dans les salles de réveil, ainsi que dans des unités de soins intensifs ou réanimation. La clinique où j'exerçais avait quinze lits. Si 1 000 établissements peuvent dégager en moyenne dix lits, cela fait 10 000 lits mobilisables immédiatement avec du personnel qualifié. »
« Après avoir annoncé ces 12 000 lits, on a eu droit à des annonces disant qu'il n'y avait pas de problème de lits, mais de personnel qualifié pour les faire fonctionner. Il y a deux jours, c'est le Président, devant l'hôpital Rothschild, qui dit que ce n'est pas un problème de lits ou de personnel, mais d'organisation vidéo. On ne sait plus où on en est, car ceux qui organisent ne semblent pas le savoir eux-mêmes. »
« En fait, on reproduit les mêmes erreurs que début janvier : rien n'est organisé, on refuse de faire appel, sauf en dernière minute et en catastrophe, aux capacités de l'hospitalisation privée. Ignorés, méprisés depuis le premier jour, cela continue. À Lyon, deux grandes cliniques attendent depuis fort longtemps l'autorisation de vingt lits de réanimation chacune, les demandes restent toujours lettre morte. Rappelons que dans tous les établissements privés il y a des blocs opératoires disposant de respirateurs pouvant être déplacés, même chose dans les salles de réveil, ainsi que dans des unités de soins intensifs ou réanimation. La clinique où j'exerçais avait quinze lits. Si 1 000 établissements peuvent dégager en moyenne dix lits, cela fait 10 000 lits mobilisables immédiatement avec du personnel qualifié. »
C'était une option à… 4000 euros, commercialisée depuis 2019 : une version illuminée de l'emblème qui trône sur le capot des Rolls-Royce. Mais voilà : il a été décrété que c'était illégal. Les propriétaires d'un véhicule ainsi équipé devront passer à l'atelier pour faire retirer le dispositif. « Ils auront droit à un remboursement de l'option, à un remplacement de l'emblème par une version en argent plaqué ou encore à un choix d'une option supplémentaire pour leur auto », annonce Caradisiac. Reste à savoir ce qu'il adviendra des des autres gadgets du même genre, alors que « les constructeurs allemands ont […] travaillé ces derniers mois sur des logos lumineux (Audi) ou carrément des calandres (BMW) ».
« Le Gouvernement pourrait se montrer "plus coercitif" pour obliger les chaînes de télévision à faire davantage de place aux personnes handicapées, si elles ne progressent pas elles-mêmes sur ce plan d'ici à un an, a menacé vendredi la secrétaire d'Etat chargée du Handicap Sophie Cluzel. […] Pour les médias, le handicap est une "force", "ça fait de l'audience", a-t-elle affirmé. »
Les personnes concernées apprécieront… D'ailleurs, ont-elles demandé quoi que ce soit ? Et ensuite, à qui le tour ?
Les personnes concernées apprécieront… D'ailleurs, ont-elles demandé quoi que ce soit ? Et ensuite, à qui le tour ?
« Pour des propos tenus dix jours plus tard sur le même réseau social, le tribunal a cependant relaxé l'essayiste qui était poursuivi pour provocation à la haine raciale. Le Délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT avait signalé un commentaire contenant lui aussi un lien vers un article. Alain Soral écrivait notamment "plus les juifs nous écrasent, plus ils exigent qu'on les ignore". Le tribunal a estimé que cette formulation n'appelait "que de manière trop indirecte" à la haine et la violence pour pouvoir être qualifiée "d'exhortation", un nuance liée à une jurisprudence récente de la Cour de cassation. »
« À l'attention des commentateurs et du public : on dit "la" Covid comme "la" variole ou "la" tuberculose car ce sont des maladies », proclame Bruno Bonnell, député du Rhône ( LREM).
Ah bon ? Ce sont certes des maladies… mais est-ce que ce ne sont pas aussi des maux et des malheurs ? Et qu'en est-il de l'asthme, du glaucome, du lupus ou du mélanome, toutes ces maladies affublées d'un nom masculin ? Le genre des mots ne procède pas de leur sens ni de la nature de qu'ils désignent. C'est précisément ce que les promoteurs de l'écriture dite inclusive font semblant de ne pas comprendre.
Ah bon ? Ce sont certes des maladies… mais est-ce que ce ne sont pas aussi des maux et des malheurs ? Et qu'en est-il de l'asthme, du glaucome, du lupus ou du mélanome, toutes ces maladies affublées d'un nom masculin ? Le genre des mots ne procède pas de leur sens ni de la nature de qu'ils désignent. C'est précisément ce que les promoteurs de l'écriture dite inclusive font semblant de ne pas comprendre.
« La presse française reste fortement dépendante de Google pour le trafic de ses sites, selon une étude publiée par le groupe de communication Heroiks. L'entreprise française a lancé l'an dernier un indice, le "Search dependence index" (SDI), qui mesure la dépendance des sites internet aux moteurs de recherche, et donc principalement à Google. […] En septembre, cet indice a atteint en moyenne 41,5 pour les trente-cinq principales marques françaises de médias, contre 40,5 un an plus tôt. Les situations sont toutefois très variables entre les marques de médias, celles s'appuyant sur une communauté très fidèle et un clair leadership ayant une faible dépendance à Google (comme L'Équipe à 16,2 ou Radio Classique à 10,4), contrairement à d'autres comme L'Express (61,6) ou VSD (75,9). »
« Pendant l'été, l'argumentaire de Mamie Nova pour présenter sa nouvelle gamme de yaourts m'avait laissé dubitatif : "des pots féminins". À dire vrai, j'ignorais qu'un pot pouvait être "féminin" ou "masculin" d'ailleurs. […] Quelques semaines plus tard […], l'argumentation est toujours là sur le site de la marque. Autant dire que "Mamie" assume totalement son approche de la féminité des pots. […] Entre temps, les pots ont débarqué en rayon offrant l'occasion au curieux d'appréhender […] un pot… féminin. Et me voilà prenant… les mensurations ! Normal, c'est féminin, promet "Mamie". Résultat : un pot féminin, c'est un pot de section identique au pot classique mais… moins haut. Un… "p'tit gros" en fait. Féminin, vous dis-je. Ou absurde. »