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« Le débat sur le mot en n a refait surface dans les écoles secondaires, cette fois dans l'enseignement de l'histoire. Les commissions scolaires Lester-B.-Pearson (CSLBP) et English-Montréal (CSEM) ont retiré cette semaine des salles de classe de 4e secondaire le livre Journeys Through the History of Quebec and Canada, parce que l'ouvrage fait référence à l'essai Nègres blancs d'Amérique, de Pierre Vallières. »
« Les championnats de Formule Europe régionale et l'Eurocup Formule Renault fusionneront pour constituer en 2021 une inédite "Formule Alpine". […] Un maximum de trente-six voitures sera autorisé sur la grille avec des équipes conduisant trois voitures, mais ils seront autorisés à piloter une quatrième voiture s’ils ont une pilote féminine. »
« Le blasphème n'est pas quelque chose qui existe en France », affirme Robert Ménard. Bien sûr, ce que veut dire le maire de Béziers, c'est que le blasphème n'a pas d'existence légale dans notre pays. Mais la formulation est porteuse d'une ambiguïté significative. Prétendre que le blasphème n'existe pas, au fond, c'est méconnaître l'existence des religions. Les mépriser. Et flirter avec le laïcisme qui conduira, demain, à réclamer à nouveau le retrait des crèches installées à Béziers ou ailleurs, par exemple…
« Je suis enseignante et, entre deux cours, je suis sortie pour passer un appel. J'ai baissé mon masque en dessous de ma bouche pour que mon interlocuteur puisse m'entendre. J'étais dans une rue déserte et une voiture banalisée s'est arrêtée et deux policiers en civil sont sortis. […] ils m'ont expliqué qu'ils allaient me verbaliser puisque je portais mon masque sous le menton et que j'étais dangereuse. […] Là où j'ai vraiment été dérangée et où cela a fait naître en moi un sentiment de révolte et d'oppression, c'est le fait que les policiers se dérangent uniquement pour me mettre une amende à moi […] à 100 mètres de mon lieu de travail, alors que nous sommes obligés de travailler actuellement. […] Je veux bien croire que, dans le métro, cela puisse mettre en danger, mais là, en l'occurrence le fait que l'on veuille me faire dire quelque chose avec lequel je n'étais pas d'accord, je n'ai pas apprécié. »
« Les policiers de Rillieux-la-Pape ont récolté un renseignement anonyme : un individu se serait vanté publiquement de vouloir mettre le feu à la mairie de la commune "à cause des caricatures de Charlie Hebdo". Une menace prise au sérieux par les forces de l'ordre qui ont identifié le jeune homme âgé de vingt-cinq ans, habitant de l'Ain mais souvent présent à Rillieux. |…] Durant son interrogatoire, il a reconnu avoir tenu ces propos pour "épater" une femme rencontrée via un réseau social. Il a également dit avoir été passablement alcoolisé au moment des faits. »
Ce fait divers fait écho aux motivations des femmes qui portent un voile intégral. Comme l'explique Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet, la majorité d'entre elles « portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste ». Alors, séduit ?
Ce fait divers fait écho aux motivations des femmes qui portent un voile intégral. Comme l'explique Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet, la majorité d'entre elles « portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste ». Alors, séduit ?
« L'idée que les jeunes ne se protègent pas, c'est un mythe contredit par les données de la recherche. Quels que soient les comportements à risque qu'on mesure, on a certes des différences de quelques points, mais pas une majorité de jeunes qui feraient n'importe quoi et les autres groupes d'âge qui se comporteraient bien […] Là où on observe des différences, c'est dans la fréquence des interactions sociales. Les jeunes ont une vie sociale qui s'est davantage maintenue, même si elle n'est pas aussi intense qu'avant, alors que les personnes âgées font encore très attention, pour une raison très simple, c'est qu'elles ont compris qu'elles ont plus de risques de développer des formes graves de la maladie. »
« D'une manière générale la communication a un effet faible sur les changements de comportement, surtout lorsqu'il s'agit de communication verticale. On sait que les modifications environnementales fonctionnent mieux : si vous mettez des distributeurs de gel hydroalcoolique partout à l'entrée d'établissements, de magasins ou de supermarchés, vous augmentez l'utilisation de ces produits, si dans les cafés vous avez des tables au maximum de six, vous allez mécaniquement favoriser la division des groupes. »
« D'une manière générale la communication a un effet faible sur les changements de comportement, surtout lorsqu'il s'agit de communication verticale. On sait que les modifications environnementales fonctionnent mieux : si vous mettez des distributeurs de gel hydroalcoolique partout à l'entrée d'établissements, de magasins ou de supermarchés, vous augmentez l'utilisation de ces produits, si dans les cafés vous avez des tables au maximum de six, vous allez mécaniquement favoriser la division des groupes. »
Une publicité exhumée par Olivier Dauvers. Comment on n'en verra plus ces jours-ci, effectivement.
« Embarquer un aquarelliste à bord des bâtiments de la Marine, c'est accepter que soit posé un nouveau regard sur ce qui nous semble banal à force d'habitude. Travail de poète, au sens de "créateur",les aquarelles de Philippe Gloaguen nous obligent à retrouver l'univers des bateaux gris avec l'émerveillement d'un enfant qui les découvrirait pour la première fois. »
Contribution au débat : « Si celui qui décide librement de protéger les autres sans y être moralement ou légalement obligé peut être félicité pour sa bonté, il n'en est rien de celui qui use de la violence (ou simplement, qui collabore avec lui) pour imposer une contrainte inique aux autres, aussi bonnes que soient ses intentions. »
Illustration commentée dans l'article : « Vous vous réveillez un matin alité aux côtés d'un célèbre violoniste inconscient. Il souffre d'une maladie rénale mortelle. La Society of Music Lovers a examiné tous les dossiers médicaux disponibles et a conclu que vous seul aviez un groupe sanguin compatible avec le sien. Vous avez donc été kidnappé, et hier soir vos deux systèmes circulatoires ont été reliés afin que vos reins puissent éliminer les déchets toxiques de son sang. Le directeur de l'hôpital vous dit : "Écoutez, nous sommes désolés que la Society of Music Lovers vous ait fait subir ça – nous ne l'aurions jamais permis si nous l'avions su. Mais c'est fait, et le violoniste est maintenant branché sur vous. Débrancher le tuerait. Mais tant pis, ce n'est que pour neuf mois. D'ici là, il sera guéri et pourra être débranché de vous en toute sécurité." Thomson avance qu'il serait indéniablement très aimable de consentir à rester branché neuf mois au violoniste… Mais qu'il ne s'agit pas pour autant d'un devoir moral. »
Illustration commentée dans l'article : « Vous vous réveillez un matin alité aux côtés d'un célèbre violoniste inconscient. Il souffre d'une maladie rénale mortelle. La Society of Music Lovers a examiné tous les dossiers médicaux disponibles et a conclu que vous seul aviez un groupe sanguin compatible avec le sien. Vous avez donc été kidnappé, et hier soir vos deux systèmes circulatoires ont été reliés afin que vos reins puissent éliminer les déchets toxiques de son sang. Le directeur de l'hôpital vous dit : "Écoutez, nous sommes désolés que la Society of Music Lovers vous ait fait subir ça – nous ne l'aurions jamais permis si nous l'avions su. Mais c'est fait, et le violoniste est maintenant branché sur vous. Débrancher le tuerait. Mais tant pis, ce n'est que pour neuf mois. D'ici là, il sera guéri et pourra être débranché de vous en toute sécurité." Thomson avance qu'il serait indéniablement très aimable de consentir à rester branché neuf mois au violoniste… Mais qu'il ne s'agit pas pour autant d'un devoir moral. »
« Un hommage à Samuel Paty, l'enseignant décapité à Conflans-Sainte-Honorine vendredi dernier, sera rendu en Occitanie, ce mercredi. Carole Delga, la présidente de la Région, a décidé de projeter sur les façades des deux hôtels de Région, à Toulouse et Montpellier, les caricatures de Charlie Hebdo entre 17 heures et 21 heures. "Un acte fort qui rejoint la décision de régions de France de publier, avec l'Éducation nationale, un ouvrage rassemblant les caricatures religieuses et politiques de la presse régionale et nationale", explique la présidente de tégion par le biais d'un communiqué de presse. […] "Au-delà de cette action symbolique, c'est ma volonté d'exprimer un message à nos concitoyens : dans notre République, il ne peut y avoir d'arrangement avec la laïcité, la liberté d'expression et la liberté de conscience qui sont au cœur de notre modèle républicain. Il ne doit y avoir aucune faiblesse face aux ennemis de la démocratie, face à ceux qui dévoient la religion pour la transformer en arme de guerre, face à ceux qui frayent, par calculs ou renoncements, avec celles et ceux qui ont l'objectif politique de détruire la République", ajoute encore Carole Delga. »
Par ce geste, Carole Delga s'attaque aux croyants (et pas les autres). Elle insulte leur religion. Elle Prend parti contre elles. Et donc, ce faisant, elle transige avec la neutralité dont elle devrait faire preuve, en tant que présidente d'une région. C'est peut-être contraire au droit. Et cela dessert assurément la concorde sociale. Si bien qu'afin de lutter contre le "séparatisme islamiste", c'est vraisemblablement contre-productif.
Par ce geste, Carole Delga s'attaque aux croyants (et pas les autres). Elle insulte leur religion. Elle Prend parti contre elles. Et donc, ce faisant, elle transige avec la neutralité dont elle devrait faire preuve, en tant que présidente d'une région. C'est peut-être contraire au droit. Et cela dessert assurément la concorde sociale. Si bien qu'afin de lutter contre le "séparatisme islamiste", c'est vraisemblablement contre-productif.
« Jugé en comparution immédiate, un jeune Toulousain de vingt ans a été condamné à douze mois de prison dont dix mois avec sursis probatoire avec mandat de dépôt et obligation de soins, pour avoir diffusé une image de la décapitation de Samuel Paty, à Conflans-Sainte-Honorine. »
Dans un cas pareil, où le pays est sous le coup de l'émotion, la comparution immédiate ne peut-elle pas s'apparenter à un déni de justice ? Quand on sait, par ailleurs, qu'un coup de couteau porté au visage ne vous coûte que six mois avec sursis, force est de constater que nos institutions ont le sens de la mesure.
Dans un cas pareil, où le pays est sous le coup de l'émotion, la comparution immédiate ne peut-elle pas s'apparenter à un déni de justice ? Quand on sait, par ailleurs, qu'un coup de couteau porté au visage ne vous coûte que six mois avec sursis, force est de constater que nos institutions ont le sens de la mesure.
« Y a-t-il eu 527 morts du Covid en vingt-quatre heures comme l'a affirmé Macron ? En réalité, les données officielles déclarent 288 morts à l'hôpital en vingt-quatre heures et 235 décès en Ehpad et maisons de santé sur quatre jours. »
Encore une gaffe incompréhensible. Comment prétendre inspirer la confiance dans ces conditions ?
Encore une gaffe incompréhensible. Comment prétendre inspirer la confiance dans ces conditions ?
Choqué par des « messages haineux, racistes, incitant à la violence » qui, selon lui, « n'ont pas leur place sur les réseaux sociaux », le député Buon Tan (LREM) affirme que « c'est la responsabilité des plates-formes comme Twitter France que de faire respecter la loi, de toute urgence ».
De notre point de vue, Twitter se doit simplement de respecter la loi. Et non de la « faire respecter ». Nuance subtile mais essentielle. Au moins la volonté de déléguer des fonctions régaliennes au Gafam est-elle désormais clairement assumée…
Soit dit en passant : c'était bien la peine de développer une application anti-Covid dysfonctionnelle sous prétexte, précisément, d'échapper à leur influence !
De notre point de vue, Twitter se doit simplement de respecter la loi. Et non de la « faire respecter ». Nuance subtile mais essentielle. Au moins la volonté de déléguer des fonctions régaliennes au Gafam est-elle désormais clairement assumée…
Soit dit en passant : c'était bien la peine de développer une application anti-Covid dysfonctionnelle sous prétexte, précisément, d'échapper à leur influence !
« Dénoncée sur Pharos, elle a regretté son commentaire et présenté des excuses. Elle avait, d'elle-même, effacé son propos écrit trop vite, sous le coup de la colère. Le ministère public avait requis une peine de six mois avec sursis et cent quatre-vingts heures de travail d'intérêt général, arguant d'un "nous sommes dans un contexte où on ne peut pas écrire, dire n'importe quoi". Qu'il est choquant de lire, surtout quand l'auteur est un magistrat, qu'un contexte devrait moduler la liberté d'expression. »
« Que l'émotion suscitée par l'attentat terroriste de Conflans soit grande, on peut le comprendre. Elle est peut-être même salutaire quand elle fait vaciller les présupposés « bisounoursiques » de la bien-pensance. […] Cette même émotion ne devrait-elle pas interdire de juger en comparution immédiate des affaires trop liées à sa source ? L'équilibre de la balance des avantages (ne pas encombrer la Justice, la rendre rapidement, et le montrer) et des inconvénients (laisser le jugement être pollué par le contexte et l'émotion qu'il suscite, ne pas prendre assez de recul) est complexe à trouver, mais je crois que le droit du justiciable à un procès équitable pourrait y être menacé. […] Reste qu'avec le terrorisme islamique, je demeure persuadé que la voie judiciaire est une impasse où notre pays se fourvoie. »
« Que l'émotion suscitée par l'attentat terroriste de Conflans soit grande, on peut le comprendre. Elle est peut-être même salutaire quand elle fait vaciller les présupposés « bisounoursiques » de la bien-pensance. […] Cette même émotion ne devrait-elle pas interdire de juger en comparution immédiate des affaires trop liées à sa source ? L'équilibre de la balance des avantages (ne pas encombrer la Justice, la rendre rapidement, et le montrer) et des inconvénients (laisser le jugement être pollué par le contexte et l'émotion qu'il suscite, ne pas prendre assez de recul) est complexe à trouver, mais je crois que le droit du justiciable à un procès équitable pourrait y être menacé. […] Reste qu'avec le terrorisme islamique, je demeure persuadé que la voie judiciaire est une impasse où notre pays se fourvoie. »
« Père de City Hunter (alias Nicky Larson), Cat's Eye ou encore Family Compo, Tsukasa Hojo est "un mangaka qui porte des messages universels, bien loin des préjugés dont il fait l'objet. […] Il s'est fait la voix des délaissés, celles et ceux qu'on rejette sans même un regard". C'est par ces mots que Pierre-William Fregonese, dans son nouvel ouvrage, rend hommage à l'un des mangakas les plus influents de ces trente dernières années. Intitulé Forever Tsukasa Hojo, le dernier livre du journaliste nous donne à lire une biographie mais surtout un véritable essai autour de son œuvre. »
« Un homme, âgé de soixante et un ans cette année, qui n'a finalement jamais été vraiment starifié en France, contrairement à son pays natal où son talent a su transcender les générations. Et pour cause, la plupart de ses œuvres ont su (parfois en avance) questionner les lecteurs sur de nombreuses thématiques, à l'image de la place de la femme ou encore la reconnaissance de la communauté LBGT. Avec force détails, Forever Tsukasa Hojo est aussi une enquête particulièrement précise autour d'un auteur qui a toujours su mettre son génie créatif au service de sa liberté d'opinion. »
« Un homme, âgé de soixante et un ans cette année, qui n'a finalement jamais été vraiment starifié en France, contrairement à son pays natal où son talent a su transcender les générations. Et pour cause, la plupart de ses œuvres ont su (parfois en avance) questionner les lecteurs sur de nombreuses thématiques, à l'image de la place de la femme ou encore la reconnaissance de la communauté LBGT. Avec force détails, Forever Tsukasa Hojo est aussi une enquête particulièrement précise autour d'un auteur qui a toujours su mettre son génie créatif au service de sa liberté d'opinion. »
Le design remis à plat ? « Je suis entré le 1er juillet, je suis allé le 2 au centre de style. Nous avons cassé sept-huit projets et nous en avons remonté cin ou six ou 6. »
Le retour des voitures iconiques ? « Nous allons essayer de reconnecter Renault avec l'histoire et les produits iconiques. »
Et surtout, quel avenir pour Alpine ? « Quand je suis arrivé, je me suis rendu compte qu'il y avait des ingénieurs très performants chez Renault Sport, une usine qui est capable comme une marque allemande de faire du travail sur-mesure, une marque historique en F1 avec beaucoup de potentiel. Les gens voyaient cela individuellement comme un centre de coût. Je vois cela combiné comme une mini Ferrari. C'est ce que l'on fait avec les ressources qui existent dans la boîte. C'est une marque qui donne de la crédibilité et tire le système vers le haut. Alpine avec dix modèles on ne peut pas se le permettre et ce n'est pas nécessaire. »
Le retour des voitures iconiques ? « Nous allons essayer de reconnecter Renault avec l'histoire et les produits iconiques. »
Et surtout, quel avenir pour Alpine ? « Quand je suis arrivé, je me suis rendu compte qu'il y avait des ingénieurs très performants chez Renault Sport, une usine qui est capable comme une marque allemande de faire du travail sur-mesure, une marque historique en F1 avec beaucoup de potentiel. Les gens voyaient cela individuellement comme un centre de coût. Je vois cela combiné comme une mini Ferrari. C'est ce que l'on fait avec les ressources qui existent dans la boîte. C'est une marque qui donne de la crédibilité et tire le système vers le haut. Alpine avec dix modèles on ne peut pas se le permettre et ce n'est pas nécessaire. »
« L'Assemblée nationale a adopté lundi 19 octobre, dans la soirée, la contribution de la France au budget de l'Union européenne pour 2021, d'un montant record de 26,864 milliards d'euros, une progression de 25% par rapport à 2020, notamment à cause du Brexit et de la crise du coronavirus. »
« Trois épidémiologistes de renommée mondiale, Martin Kulldorff (Harvard), Sunetra Gupta (Oxford) et Jay Bhattacharia (Stanford) ont lancé la "Déclaration de Great Barrington". Ils constatent que les politiques les plus dures ont non seulement causé une très grave crise économique, mais aussi qu'elles sont responsables d'un nombre considérable de décès en raison du report de nombreux soins, de diagnostics beaucoup plus tardifs avec des conséquences fatales, et d'une augmentation dramatique des famines, responsables suivant certaines organisations de douze mille morts par jour. »
« Ils ne se contentent pas de critiquer les mesures prises, mais proposent une politique fondamentalement différente. Ils constatent que pour la plupart des gens, la maladie n'est pas particulièrement dangereuse en comparaison d'autres virus ou de bactéries avec lesquelles on accepte en général de vivre. Ils précisent que ce virus n'est réellement dangereux que pour une petite portion de la population, qui doit, seule, être protégée si elle le souhaite. Dès lors, ils préconisent des mesures adéquates permettant la protection efficace des personnes à risques lorsqu'elles-mêmes le jugent utile. Ils proposent de laisser vivre sa vie normale au reste de la population, en assumant le risque du virus comme de nombreux autres risques qui existent dans la vie de chacun. »
« Nos politiciens ne les écoutent pas, et les principaux organes de presse ne font guère écho à la Déclaration de Great Barrington, en dépit de la très grande notoriété de ces auteurs. S'il en est ainsi, c'est parce que dans une partie de l'opinion publique et parmi les dirigeants, toute formule reposant sur la liberté individuelle est a priori suspecte. Nos ministres craignent par-dessus tout d'être accusés de ne rien faire. Mieux vaut prendre n'importe quelle mesure pour donner l'impression, manifestement fausse, de contrôler la situation. Ils restent tous enfermés dans un schéma de pensée qui trouve son origine dans la pratique des autorités chinoises à Wuhan.
« Peu leur importe qu'ils aient été responsables d'une terrible crise économique et de nombreux décès indirectement causés par le confinement, et non par la Covid-19. Pour avoir l'air d'exister, ils préfèrent instaurer la dictature sanitaire que nous connaissons, plutôt que de prendre "le risque de la liberté". C'est là sans doute le virus le plus grave auquel nous avons affaire, et qui lui aussi provient de Chine : le virus de l'autoritarisme, la volonté systématique d'agir par voie de mesures volontairement autoritaires, parce que selon eux, leur électorat s'imagine que seule la tyrannie est efficace en temps de crise. »
« Ils ne se contentent pas de critiquer les mesures prises, mais proposent une politique fondamentalement différente. Ils constatent que pour la plupart des gens, la maladie n'est pas particulièrement dangereuse en comparaison d'autres virus ou de bactéries avec lesquelles on accepte en général de vivre. Ils précisent que ce virus n'est réellement dangereux que pour une petite portion de la population, qui doit, seule, être protégée si elle le souhaite. Dès lors, ils préconisent des mesures adéquates permettant la protection efficace des personnes à risques lorsqu'elles-mêmes le jugent utile. Ils proposent de laisser vivre sa vie normale au reste de la population, en assumant le risque du virus comme de nombreux autres risques qui existent dans la vie de chacun. »
« Nos politiciens ne les écoutent pas, et les principaux organes de presse ne font guère écho à la Déclaration de Great Barrington, en dépit de la très grande notoriété de ces auteurs. S'il en est ainsi, c'est parce que dans une partie de l'opinion publique et parmi les dirigeants, toute formule reposant sur la liberté individuelle est a priori suspecte. Nos ministres craignent par-dessus tout d'être accusés de ne rien faire. Mieux vaut prendre n'importe quelle mesure pour donner l'impression, manifestement fausse, de contrôler la situation. Ils restent tous enfermés dans un schéma de pensée qui trouve son origine dans la pratique des autorités chinoises à Wuhan.
« Peu leur importe qu'ils aient été responsables d'une terrible crise économique et de nombreux décès indirectement causés par le confinement, et non par la Covid-19. Pour avoir l'air d'exister, ils préfèrent instaurer la dictature sanitaire que nous connaissons, plutôt que de prendre "le risque de la liberté". C'est là sans doute le virus le plus grave auquel nous avons affaire, et qui lui aussi provient de Chine : le virus de l'autoritarisme, la volonté systématique d'agir par voie de mesures volontairement autoritaires, parce que selon eux, leur électorat s'imagine que seule la tyrannie est efficace en temps de crise. »
« Sus aux SUV ! Suivant les propositions de la Convention citoyenne sur le climat, la ministre de Transition écologique a décidé d'éradiquer de nos routes les SUV accusés d'être lourds, polluants et encombrants. […] Quelques jours auparavant, afin de sauver l'usine Bridgestone de Béthune, un élu local conseillait à l'industriel de fabriquer des pneus plus grands et beaucoup plus rentables, équipant en particulier… les SUV ! La question se pose en urgence pour Bridgestone, mais elle concerne également les autres manufacturiers. En résumé, il s'agissait d'inciter à investir lourdement, avec l'aide de la région et de l'État, dans un outil industriel qui aurait permis de fabriquer des produits destinés à un marché qu'on annonce vouloir détruire à court terme ! Quel dilemme pour des industriels et leurs actionnaires qui redoutent, plus que tout autre chose, l'instabilité et le manque de visibilité. On peut comprendre qu'ils puissent se poser des questions sur leur stratégie à long terme et sur la rentabilité de leurs investissements en France. »
« La société Twifi avait annoncé sur Facebook qu'elle donnerait un accès Internet gratuit à quiconque nommerait son bébé Twifus (pour un garçon) ou Twifia (pour une fille) et le prouvait avec un certificat de naissance. Un couple suisse a pris le fournisseur d'accès au pied de la lettre, comme le relate le site L'entrepreneur. Ainsi, un bébé portant le prénom Twifia a récemment vu le jour. Ses parents, qui souhaitent garder l'anonymat, ont expliqué avoir voulu un prénom "unique" pour leur fille et sont tombés sous le charme de Twifia. »