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Peut-être certains trouveront-ils cela incongru : « Depuis fin octobre, un corner dédié à cette offre a été installé dans le magasin rénové de Montparnasse dans le 14e arrondissement de Paris. Sextoys, huiles de massage, lubrifiants, bougies, jeux coquins… une trentaine de produits ont été référencés. L'offre de Passage du désir sera aussi prochainement proposée sur le site e-commerce de Monoprix et au Monop' Beauty des Abbesses. »
Une actrice revendique un changement de sexe ? 20 Minutes le signale… mais sans dire clairement de qui il s'agit. Tout en s'en justifiant : « Cet article a été rédigé en respectant les pronoms avec lesquels Elliot Page a annoncé vouloir être identifié. Dans le même souci du respect de l'identité de cet acteur, nous ne mentionnons pas le "deadname", ou "morinom", c'est-à-dire son ancien prénom. » Surtout au moment où il s'agit, précisément, de rendre public le passage d'un prénom à l'autre", cette pudeur bien-pensante procède d'un ridicule confondant.
« Le tribunal correctionnel de Toulon a considéré que le fait de tousser ostensiblement vers le visage d’un policier, en pleine épidémie de la Covid-19, constituait une "violence sur personne dépositaire de l’autorité publique". Jean-Daniel L., quarante-quatre ans, a été condamné ce mardi à quatre mois de prison ferme. Cet habitant de Saint-Mandrier avait tenté de se soustraire à un contrôle de police du côté des Sablettes, à La Seyne-sur-Mer, le 20 avril 2020. "De toute façon, je n’ai aucune maladie", s’est-il justifié. Le préjudice moral de la victime a été évalué à 400 euros. »
Fait beaucoup plus grave, dont on se demande dans quelle mesure il explique la sévérité du jugement : « Le prévenu avait déjà comparu la semaine passée, devant la même juridiction, pour avoir donné un coup de couteau à un policier lors d’un contrôle routier, alors qu’il avait pris le volant sans permis de conduire. Il avait alors écopé de trois ans de prison et avait été placé en détention à La Farlède. »
Fait beaucoup plus grave, dont on se demande dans quelle mesure il explique la sévérité du jugement : « Le prévenu avait déjà comparu la semaine passée, devant la même juridiction, pour avoir donné un coup de couteau à un policier lors d’un contrôle routier, alors qu’il avait pris le volant sans permis de conduire. Il avait alors écopé de trois ans de prison et avait été placé en détention à La Farlède. »
« Notre enquête est édifiante. Au début, nous étions assez incrédules. Je dois le reconnaître. Cela nous paraissait une bonne grosse blague. […] Nous avons appris, incidemment, que le chef de mission de EUAM Iraq, Christoph Buik, un policier allemand venu de la police spéciale de Cologne, pourtant rodé aux missions internationales de l'ONU en particulier, est aux abonnés absents depuis fin mars. Rentré chez lui, en Allemagne, au moment de la première vague du Covid-19, dans le cadre du rapatriement des personnes jugées "vulnérables", il n'est pas revenu depuis. Il n'est pas le seul. Sur les quelque soixante personnels, onze seulement sont restés sur place. Suivant l'exemple du chef, les autres sont rentrés et télétravaillent. La mission n'est donc plus que l'ombre d'elle-même. »
« Aucun problème, nous a-t-on répondu officiellement. Le chef de mission peut fort bien "exercer ses fonctions à distance, y compris participer aux réunions virtuelles avec les partenaires irakiens ainsi qu'avec les partenaires internationaux" a indiqué un responsable européen à B2. Il peut ainsi "maintenir un contact permanent avec le chef de la mission de l'OTAN, avec le PNUD, l'UNAMI (la mission de l'ONU en Iraq) et le commandement de la coalition" contre Daech. De même, il "est en contact permanent avec le chef de la délégation de l'UE", resté sur place, lui, à Bagdad ! Notre chef d'EUAM Iraq bosse, nous assure-t-on. Le chef de mission "peut utiliser les plateformes virtuelles de coopération et dialogue avec les partenaires". Et "il l'a constamment fait avec une présence très active dans les réunions de la mission". Cela "prouve que ses fonctions ont été assurées d'une manière adéquate ces derniers mois". Et, en même temps, il se soigne. "Depuis plusieurs mois déjà, le chef de mission s'est efforcé, en concertation avec des médecins spécialistes, d'améliorer sa condition médicale pour pouvoir être redéployé." »
« L'idée européenne est ainsi tournée en dérision par ceux-là même sensés la mettre en application. [….] Heureusement, la plupart des autres missions et opérations de la PSDC (en Géorgie, en Centrafrique, en Méditerranée…) n'ont pas une telle attitude et ont, malgré la crise du coronavirus, tenu bon. […] Le laxisme en cours doit cesser. Soit la mission EUAM est fermée. Son inutilité a, en effet, été démontrée au cours des mois. Un bon chef de délégation de l'UE avec quelques experts suffit alors largement. Nul besoin d'une mission PSDC. Soit le fonctionnement de cette mission est repris d'une main ferme. La mission est réorientée. Et ses cadres changés. Une enquête de l'OLAF, l'office européen de lutte anti-fraude, doit aussi être saisie pour faire la lumière sur ce qui apparait, au mieux, comme un gaspillage de fonds européen. »
« La PSDC n'a pas vraiment été conçue pour être un outil de gestion intellectuelle, à distance. Au contraire, elle permettait aux gens de Bruxelles d'avoir des jambes, des yeux et des oreilles sur le terrain. C'est précisé dans l'article 42 du Traité : la PSDC vise à "assurer à l'Union une capacité opérationnelle s'appuyant sur des moyens civils et militaires". Dans l'architecture européenne des missions de la PSDC, il y a un commandant d'opération, le commandant d'opération civile, basé à Bruxelles, et un chef de mission sur le terrain. Ce schéma, somme toute assez classique dans la gestion de crises, distingue le niveau "politique et stratégique" du niveau "technique et tactique". C'est d'ailleurs expressément décrit dans la décision mettant en place EUAM Iraq. "Le chef de mission est responsable de l'EUAM Iraq et en exerce le commandement et le contrôle sur le théâtre d'opérations" (article 6.2). Il "représente l'EUAM Iraq dans sa zone de compétence". »
« Aucun problème, nous a-t-on répondu officiellement. Le chef de mission peut fort bien "exercer ses fonctions à distance, y compris participer aux réunions virtuelles avec les partenaires irakiens ainsi qu'avec les partenaires internationaux" a indiqué un responsable européen à B2. Il peut ainsi "maintenir un contact permanent avec le chef de la mission de l'OTAN, avec le PNUD, l'UNAMI (la mission de l'ONU en Iraq) et le commandement de la coalition" contre Daech. De même, il "est en contact permanent avec le chef de la délégation de l'UE", resté sur place, lui, à Bagdad ! Notre chef d'EUAM Iraq bosse, nous assure-t-on. Le chef de mission "peut utiliser les plateformes virtuelles de coopération et dialogue avec les partenaires". Et "il l'a constamment fait avec une présence très active dans les réunions de la mission". Cela "prouve que ses fonctions ont été assurées d'une manière adéquate ces derniers mois". Et, en même temps, il se soigne. "Depuis plusieurs mois déjà, le chef de mission s'est efforcé, en concertation avec des médecins spécialistes, d'améliorer sa condition médicale pour pouvoir être redéployé." »
« L'idée européenne est ainsi tournée en dérision par ceux-là même sensés la mettre en application. [….] Heureusement, la plupart des autres missions et opérations de la PSDC (en Géorgie, en Centrafrique, en Méditerranée…) n'ont pas une telle attitude et ont, malgré la crise du coronavirus, tenu bon. […] Le laxisme en cours doit cesser. Soit la mission EUAM est fermée. Son inutilité a, en effet, été démontrée au cours des mois. Un bon chef de délégation de l'UE avec quelques experts suffit alors largement. Nul besoin d'une mission PSDC. Soit le fonctionnement de cette mission est repris d'une main ferme. La mission est réorientée. Et ses cadres changés. Une enquête de l'OLAF, l'office européen de lutte anti-fraude, doit aussi être saisie pour faire la lumière sur ce qui apparait, au mieux, comme un gaspillage de fonds européen. »
« La PSDC n'a pas vraiment été conçue pour être un outil de gestion intellectuelle, à distance. Au contraire, elle permettait aux gens de Bruxelles d'avoir des jambes, des yeux et des oreilles sur le terrain. C'est précisé dans l'article 42 du Traité : la PSDC vise à "assurer à l'Union une capacité opérationnelle s'appuyant sur des moyens civils et militaires". Dans l'architecture européenne des missions de la PSDC, il y a un commandant d'opération, le commandant d'opération civile, basé à Bruxelles, et un chef de mission sur le terrain. Ce schéma, somme toute assez classique dans la gestion de crises, distingue le niveau "politique et stratégique" du niveau "technique et tactique". C'est d'ailleurs expressément décrit dans la décision mettant en place EUAM Iraq. "Le chef de mission est responsable de l'EUAM Iraq et en exerce le commandement et le contrôle sur le théâtre d'opérations" (article 6.2). Il "représente l'EUAM Iraq dans sa zone de compétence". »
« Jusqu'à présent, un utilisateur de Tous Anti-Covid était enregistré comme "cas contact" d'une autre personne s'il était resté pendant plus de quinze minutes à moins d'un mètre d'un autre utilisateur déclaré positif au Covid-19. Dorénavant, les critères de distance changent. Tous Anti-Covid préviendra : les personnes restées "à une distance inférieure ou égale à un mètre pendant cinq minutes" d'un utilisateur de l'application déclaré positif au Covid-19 ; les personnes restées "à une distance supérieure à un mètre et inférieure ou égale à deux mètres pendant quinze minutes" d'un utilisateur de Tous Anti-Covid positif au Covid-19. »
Et pendant ce temps, on continue de traquer comme des délinquants les gens réticents à porter un masque dans des rues peu fréquentées, où l'on se croise en seulement quelques secondes, à souvent plusieurs mètres de distance… Logique, non ?
Et pendant ce temps, on continue de traquer comme des délinquants les gens réticents à porter un masque dans des rues peu fréquentées, où l'on se croise en seulement quelques secondes, à souvent plusieurs mètres de distance… Logique, non ?
Une telle négligence, c'est à peine croyable ! « Tout commence avec une bourde monumentale. Sur son compte Twitter, la ministre néerlandaise de la Défense Anlk Bijleveld – ou un membre de son équipe selon le gouvernement néerlandais – publie une photo où l'on peut voir cinq des six chiffres du code PIN permettant d'entrer dans la réunion Zoom. Un "accident" assure le ministère de la Défense. La photo a d'ailleurs été retirée entre temps. Mais Daniël Verlan, journaliste spécialisé dans le ‘tech' pour le média néerlandais RTL News, a eu le temps de voir l'info… […] "J'ai moi-même été un peu choqué que cela fonctionne. Je ne m'attendais pas à ce qu'il n'y ait aucune autre forme de sécurité ou de validation", affirme le journaliste sur Twitter. »
Restreindre au minimum les contacts physiques ne suffit pas ; certains réclament qu'on retire aux échanges à distance le peu de chaleur humaine qu'on pouvait encore leur conférer. Franchement, à quoi bon "sauver la planète" dans ces conditions ?
« L'équipe chargée de la lutte contre le changement climatique au Royaume-Uni s'intéresse à une nouvelle menace : les millions de courriels non nécessaires qui sont envoyés chaque jour, parfois rien que pour dire "merci". [….] L'équipe a été particulièrement intéressée par une étude selon laquelle l'énergie consommée par les plus de 64 millions de courriels non nécessaires envoyés chaque jour par les Britanniques rejette des milliers de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. »
« L'équipe chargée de la lutte contre le changement climatique au Royaume-Uni s'intéresse à une nouvelle menace : les millions de courriels non nécessaires qui sont envoyés chaque jour, parfois rien que pour dire "merci". [….] L'équipe a été particulièrement intéressée par une étude selon laquelle l'énergie consommée par les plus de 64 millions de courriels non nécessaires envoyés chaque jour par les Britanniques rejette des milliers de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. »
« Les tensions se sont notamment déroulées sur le pont de la Guillotière, entre les 2e et 7e arrondissements. Sur place, durant près d'une demi-heure, les policiers ont été la cible de nombreux projectiles, et tout particulièrement des bouteilles. Une véritable pluie de verre s'abattait par moments sur les forces de l'ordre. Et quand un émeutier faisait mouche, en percutant de plein fouet le casque d'un fonctionnaire, la foule exultait. »
« Du carrousel de la Guillotière, en passant par la place Antonin Poncet ou Bellecour, un parterre de débris scintillait après les heurts, entre débris de gaz lacrymogènes et de fumigènes. De quoi interroger sur l'origine de ces munitions de fortune qui ont armé les agitateurs tout au long de l'après-midi. Pas besoin de chercher très loin, les manifestants qui ont participé aux violences n'ont eu qu'à renverser de nombreux silos à verre puis à puiser dans les tas déversés sur la chaussée. […] La préfecture du Rhône, redoutant des débordements, comptait pourtant bien faire enlever les silos sur le tracé de la manifestation.
« Selon nos informations, le préfet du Rhône Pascal Mailhos avait ainsi demandé à la Métropole de Lyon, compétente en la matière, de faire le nécessaire pour au moins retirer le contenu des containers. […] Mais le représentant de l'État dans le Rhône s'est, cette fois, heurté à la maladresse des services du président de la collectivité, l'écologiste Bruno Bernard. En effet, certains silos précisément placés sur le parcours du cortège ont bien été vidés…mais le vendredi après-midi. Une journée plus tard, de nombreux Lyonnais étaient venus déposer leurs stocks de bouteilles vides dans les silos. Pire, d'autres conteneurs pourtant dans le tracé à sécuriser n'ont tout simplement pas été délestés de leurs bouteilles, sauf par les casseurs quand il était trop tard. […] "La demande a évidemment été prise en compte par la Métropole mais il semblerait que le prestataire ait oublié quelques conteneurs", reconnaît la collectivité. »
« Du carrousel de la Guillotière, en passant par la place Antonin Poncet ou Bellecour, un parterre de débris scintillait après les heurts, entre débris de gaz lacrymogènes et de fumigènes. De quoi interroger sur l'origine de ces munitions de fortune qui ont armé les agitateurs tout au long de l'après-midi. Pas besoin de chercher très loin, les manifestants qui ont participé aux violences n'ont eu qu'à renverser de nombreux silos à verre puis à puiser dans les tas déversés sur la chaussée. […] La préfecture du Rhône, redoutant des débordements, comptait pourtant bien faire enlever les silos sur le tracé de la manifestation.
« Selon nos informations, le préfet du Rhône Pascal Mailhos avait ainsi demandé à la Métropole de Lyon, compétente en la matière, de faire le nécessaire pour au moins retirer le contenu des containers. […] Mais le représentant de l'État dans le Rhône s'est, cette fois, heurté à la maladresse des services du président de la collectivité, l'écologiste Bruno Bernard. En effet, certains silos précisément placés sur le parcours du cortège ont bien été vidés…mais le vendredi après-midi. Une journée plus tard, de nombreux Lyonnais étaient venus déposer leurs stocks de bouteilles vides dans les silos. Pire, d'autres conteneurs pourtant dans le tracé à sécuriser n'ont tout simplement pas été délestés de leurs bouteilles, sauf par les casseurs quand il était trop tard. […] "La demande a évidemment été prise en compte par la Métropole mais il semblerait que le prestataire ait oublié quelques conteneurs", reconnaît la collectivité. »
« Publié au Journal officiel le 18 octobre 2020, le décret portant sur les pneus neige était attendu depuis plusieurs années et deviendra effectif à compter du 1er novembre 2020. Cette mesure, qui s'appliquera aux automobiles circulant dans 48 départements de l'Hexagone, a suscité l'interrogation des collectionneurs de véhicules. Devront-ils, eux-aussi, utiliser des équipements hivernaux, pour se mettre en conformité avec la loi ? »
« La réponse est oui, comme la confirmé le Syndicat des professionnels du pneumatique (SPP), qui rappelle que "au même titre que les véhicules modernes, les véhicules anciens sont concernés par cette obligation". Si le doute sur cette initiative est désormais levé, une problématique demeure pour des collectionneurs qui doivent composer avec une offre dédiée extrêmement réduite où les gammes Michelin Collection et Vredestein Classic font figure de rareté. »
« "Pour les Youngtimers, il est encore possible de trouver des pneus hiver mais il faut chercher parfois chez des manufacturiers exotiques pour trouver la bonne dimension, ajoute le SPP. Il est également possible de trouver des alternatives en se référant au tableau d’équivalence dimensionnelle : www.tnpf.fr." A défaut de trouver les bonnes références, le syndicat note que la solution consiste alors à miser sur des chaînes à neige, comme la loi l'autorise, pour un usage très ponctuel. »
« La réponse est oui, comme la confirmé le Syndicat des professionnels du pneumatique (SPP), qui rappelle que "au même titre que les véhicules modernes, les véhicules anciens sont concernés par cette obligation". Si le doute sur cette initiative est désormais levé, une problématique demeure pour des collectionneurs qui doivent composer avec une offre dédiée extrêmement réduite où les gammes Michelin Collection et Vredestein Classic font figure de rareté. »
« "Pour les Youngtimers, il est encore possible de trouver des pneus hiver mais il faut chercher parfois chez des manufacturiers exotiques pour trouver la bonne dimension, ajoute le SPP. Il est également possible de trouver des alternatives en se référant au tableau d’équivalence dimensionnelle : www.tnpf.fr." A défaut de trouver les bonnes références, le syndicat note que la solution consiste alors à miser sur des chaînes à neige, comme la loi l'autorise, pour un usage très ponctuel. »
« Dans un communiqué de presse […], le parti Europe Écologie - Les Verts a annoncé qu'il boycottait la chaîne d'information du groupe Canal Plus. Le mouvement […] explique ce choix en raison de "la dérive de la ligne éditoriale choisie par la chaîne", "qui a notamment choisi Eric Zemmour comme chroniqueur régulier". "Nous défendons la liberté de la presse, la liberté pour les journalistes d'exercer leur métier, notamment quand celle-ci est menacée par le vote de l'article 24 sur la Sécurité globale. Nous témoignons toute notre solidarité aux journalistes de CNews qui se sont démarqués de la politique conduite par leur employeur", a déclaré EELV, qui a déploré "une carence manifeste de la part du CSA à qui la loi confie la mission de veiller au respect de la dignité de la personne humaine". Ainsi, le parti ne souhaite pas "continuer à cautionner", "par la présence des écologistes sur cette chaîne d'information", "des propos racistes, misogynes, homophobes ou climatosceptiques". "Notre absence de ces débats nous permettra de porter les propositions des écologistes loin des caricatures et de la polarisation du débat public dans lequel cette ligne éditoriale voudrait nous conduire", a ajouté EELV, appelant les autres partis à faire de même et aux annonceurs à se retirer. »
« En Mayenne, une fleuriste devait mettre des bouquets en dépôt vente dans plusieurs commerces voisins. Mais un habitant s'est étonné auprès de la gendarmerie de trouver des fleurs dans une boulangerie. »
« Un restaurant KFC offre depuis le début du mois de novembre une promotion de 15 % sur les commandes des utilisateurs de l'app de traçage des contacts Tous Anti-Covid. La Cnil ne s'oppose pas à cette pratique commerciale. »
« Après près d'un mois de confinement, les commerces sont enfin autorisés à ouvrir leurs portes et accueillir leurs clients à compter de ce vendredi 28 novembre. Une autorisation toutefois assortie de nombreuses règles édictées par le gouvernement, en termes notamment de capacité d'accueil, d'agencement des magasins, de prévention et d'information. […] Concessions et magasins doivent aussi s'engager à inviter les clients, au moyen d'un affichage, à télécharger Tous AntiCovid et encourager son activation. »
« S'engageant pour une "publicité plus verte sur ses antennes", le groupe Radio France a annoncé mardi la mise en place dès janvier de nouveaux "espaces publicitaires responsables", gratuits ou à tarifs préférentiels, en faveur des acteurs mobilisés pour la transition écologique. Un premier espace dit "solidaire" accordera ainsi plus de dix heures d'antenne gratuite par an à des ONG, associations voire acteurs du privé en pointe sur la question, explique le groupe public dans un communiqué. »
« Les organisations et messages éligibles seront identifiés au terme "d'une procédure juste et équitable", une "réflexion" étant engagée "en ce sens avec différents acteurs" à "l'expertise reconnue" telle que l'Ademe (Agence de la transition écologique), est-il précisé. Un second espace dit "éco-responsable" offrira des écrans publicitaires à des heures de grande écoute (comme les matinales) aux "produits éco-responsables à un tarif de - 40%", après sélection des annonces éligibles "sur la base des cent labels environnementaux listés et recommandés par l'Ademe". Enfin, un "espace responsable" sera dédié aux spots audio [….] précédant les podcasts ouverts à la publicité "pour inscrire ce tournant" sur "le numérique" et offrir "20 % de contacts supplémentaires aux messages éco-responsables". »
« Les organisations et messages éligibles seront identifiés au terme "d'une procédure juste et équitable", une "réflexion" étant engagée "en ce sens avec différents acteurs" à "l'expertise reconnue" telle que l'Ademe (Agence de la transition écologique), est-il précisé. Un second espace dit "éco-responsable" offrira des écrans publicitaires à des heures de grande écoute (comme les matinales) aux "produits éco-responsables à un tarif de - 40%", après sélection des annonces éligibles "sur la base des cent labels environnementaux listés et recommandés par l'Ademe". Enfin, un "espace responsable" sera dédié aux spots audio [….] précédant les podcasts ouverts à la publicité "pour inscrire ce tournant" sur "le numérique" et offrir "20 % de contacts supplémentaires aux messages éco-responsables". »
« À l'arrière de cette immense berline de près de cinq mètres, on a […] moins d'espace aux genoux que... dans une Yaris ! […] Mais pour tout dire, c'est à peu près le seul véritable défaut que nous trouvons à la nouvelle Mirai. […] Le prix de la Toyota Mirai est […] 20 % inférieur à celui de la première génération. Cette dernière était affichée à 78 900 euros, on tablera donc sur une nouvelle Mirai à 63 000 euros. Face à cette proposition, s'il y avait aujourd'hui en France plus que les quelque vingt-cinq stations H2 publiques (auxquelles s'ajoutent une douzaine de stations privées), il deviendrait très difficile de justifier l'achat d'une voiture électrique à 100 000 euros, dont les batteries promettent six cents kilomètres dans le meilleur de cas, et dont le "plein" demande plusieurs heures de patience… »
« Les règles du confinement ne sont visiblement pas claires pour tout le monde… pas même les forces de l'ordre. Des habitants d'Eure-et-Loir en ont fait l'amère expérience ces dernières semaines. Comme le raconte le Parisien, en voulant se rendre dans des commerces situés à Angerville, dans l'Essonne, ils ont écopé d'une amende de 135 euros, malgré leur attestation de déplacement. La raison invoquée par les gendarmes ? Le passage de la région Centre-Val de Loire à la région Ile-de-France. Pourtant, c'est bien autorisé par la législation en vigueur.
« Comme le relate le quotidien régional, les témoignages se sont rapidement multipliés. Des habitants des communes de Gommerville, Baudreville ou encore Mérouville, qui vivent à proximité d'Angerville se sont vus infliger une amende lors de leurs trajets pour se rendre au supermarché ou encore chez le dentiste. Se rendre dans un supermarché de la région voisine ne prend pour certains que quelques minutes, contre un trajet de plusieurs kilomètres autrement. Face aux récriminations des habitants et même d'élus, les services de l'État ont confirmé que les habitants avaient bien le droit de faire ces déplacements. "La limite de 100 km n'existe plus dans le décret du 29 octobre 2020. Les forces de sécurité du département ont été sensibilisées sur ce point." »
« Comme le relate le quotidien régional, les témoignages se sont rapidement multipliés. Des habitants des communes de Gommerville, Baudreville ou encore Mérouville, qui vivent à proximité d'Angerville se sont vus infliger une amende lors de leurs trajets pour se rendre au supermarché ou encore chez le dentiste. Se rendre dans un supermarché de la région voisine ne prend pour certains que quelques minutes, contre un trajet de plusieurs kilomètres autrement. Face aux récriminations des habitants et même d'élus, les services de l'État ont confirmé que les habitants avaient bien le droit de faire ces déplacements. "La limite de 100 km n'existe plus dans le décret du 29 octobre 2020. Les forces de sécurité du département ont été sensibilisées sur ce point." »
Même France Inter s'est demandé si Sophie Dupont ne jouait pas les « auxiliaire de police ». Mais parler d'un acte de « délation » alors que les faits en cause se passent sous les yeux des forces de l'ordre, cela n'a pas grand sens. Ce qu'il faut retenir de cette affaire, c'est d'abord l'ineptie du laïcisme, qui trahit d'ailleurs la laïcité quand il prétend qu'une manifestation n'en est plus une dès lors qu'on y récite des prières – notion par définition religieuse ; c'est ensuite la portée normative prêtée à la parole d'un ministre, sans fondement juridique établi par ailleurs ; c'est enfin l'embarras des policiers confirmant le ridicule des questions posées par Sophie Dupont. C'était fait à dessein, a-t-elle affirmé par la suite. Qu'elle soit sincère ou pas, c'est bien ce qu'elle a mis en évidence.
« Elle a […] décidé de retracer la construction de son reportage, qui a débuté par des propos de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, au micro de France Info vendredi dernier, précisant être prêt à verbaliser les croyants se rendant à l'église. "Cette déclaration est vraiment inédite. C'est du jamais vu. Un ministre de l'Intérieur qui met en garde les catholiques. On s'était posé deux questions. Un, les catholiques allaient-ils quand même se mobiliser. Deux, la police allait-elle vraiment interpeller des croyants ? Une seule solution pour vérifier : il faut aller sur le terrain", a poursuivi Sophie Dupont. Après avoir rediffusé des extraits de son reportage, dont certaines situations sont jugées "absurdes" par la journaliste, la reporter a tenu à faire une mise au point : "Encore une fois, notre volonté était de montrer l'absurdité de la situation actuelle, et non pas de stigmatiser les catholiques." »
« Elle a […] décidé de retracer la construction de son reportage, qui a débuté par des propos de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, au micro de France Info vendredi dernier, précisant être prêt à verbaliser les croyants se rendant à l'église. "Cette déclaration est vraiment inédite. C'est du jamais vu. Un ministre de l'Intérieur qui met en garde les catholiques. On s'était posé deux questions. Un, les catholiques allaient-ils quand même se mobiliser. Deux, la police allait-elle vraiment interpeller des croyants ? Une seule solution pour vérifier : il faut aller sur le terrain", a poursuivi Sophie Dupont. Après avoir rediffusé des extraits de son reportage, dont certaines situations sont jugées "absurdes" par la journaliste, la reporter a tenu à faire une mise au point : "Encore une fois, notre volonté était de montrer l'absurdité de la situation actuelle, et non pas de stigmatiser les catholiques." »
« Contrôlé le 22 mars par la police, j'ai été jugé et condamné pour déplacement interdit pendant le confinement, sans que je ne le sache. Le motif semble être… ma tenue vestimentaire, pas assez sportive au goût des fonctionnaires. »
« J'imagine une résilience sublime, un roman magistral qui commencerait par une prune scélérate et raconterait la rébellion de plus en plus intense du héros contre le système. À la fin, il devient leader des gilets jaunes et prend l'Élysée. Dès demain, je lancerai une grande enquête sur la montée de l'arbitraire dans la société. »
« Au-delà de l'infraction, c'est l'absence de droits de la défense qui m'interroge. Ce qui se comprend pour une infraction routière – un excès de vitesse est factuel sauf improbable détraquage technique – se justifie beaucoup moins pour le remplissage adéquat de l'attestation du confinement, sujet à interprétations. Dans ce cas, le juge n'est-il pas censé vérifier que l'officier de police a appliqué correctement la loi ? Et pourquoi ces six mois entre les faits et le procès ? Faute d'accès au dossier, je ne peux que faire des conjectures, qui m'amènent à me demander, dans un élan poujadiste inédit, si on ne nous prend pas un peu pour des tiroirs-caisses. Au téléphone, mon beau-père, que je sais sensibilisé à la question depuis sa condamnation inique à un PV de 135 euros dans une obscure affaire de stationnement gênant, ricane : "Ça y est, t'es de droite !" »
« Je prends rapidement la décision solennelle de m'opposer à cette décision de justice. Le courrier précise qu'il est possible de le faire "dans un délai de 30 jours à compter de la date d'envoi de la présente lettre". Tic-tac. Je dois me dépêcher de me battre pour mon honneur. Il faut envoyer une lettre au chef du greffe du tribunal, "en indiquant expressément", insiste-t-on : "Je forme opposition". Soit. Je serai dans ce cas "cité à comparaître devant le tribunal de police qui jugera à nouveau l'affaire". L'affaire Girard contre France ne fait que commencer. »
« Je ne suis d'ailleurs sans doute pas le seul dans la panade. Une collègue, à qui je narre ma mésaventure, me signale qu'une de ses amies journalistes lui a raconté la même histoire. Elle rentrait de reportage, a montré sa carte de presse, on lui a dit que c'était bon… et on l'a verbalisée en loucedé, comme elle l'a appris plus tard dans une lettre. Combien sommes-nous à avoir été ainsi sanctionnés sous des prétextes fallacieux ? Peut-on faire valoir nos droits ? Et surtout, combien, parmi nous, de non-journalistes, ou de moins bourgeois, qui ne disposent ni de l'arme des médias pour se défendre, ni des économies pour payer ? Si vous lisez cet article et que vous vous sentez concernés, n'hésitez pas à m'envoyer un email : e.girard@journal-marianne.com. »
« J'imagine une résilience sublime, un roman magistral qui commencerait par une prune scélérate et raconterait la rébellion de plus en plus intense du héros contre le système. À la fin, il devient leader des gilets jaunes et prend l'Élysée. Dès demain, je lancerai une grande enquête sur la montée de l'arbitraire dans la société. »
« Au-delà de l'infraction, c'est l'absence de droits de la défense qui m'interroge. Ce qui se comprend pour une infraction routière – un excès de vitesse est factuel sauf improbable détraquage technique – se justifie beaucoup moins pour le remplissage adéquat de l'attestation du confinement, sujet à interprétations. Dans ce cas, le juge n'est-il pas censé vérifier que l'officier de police a appliqué correctement la loi ? Et pourquoi ces six mois entre les faits et le procès ? Faute d'accès au dossier, je ne peux que faire des conjectures, qui m'amènent à me demander, dans un élan poujadiste inédit, si on ne nous prend pas un peu pour des tiroirs-caisses. Au téléphone, mon beau-père, que je sais sensibilisé à la question depuis sa condamnation inique à un PV de 135 euros dans une obscure affaire de stationnement gênant, ricane : "Ça y est, t'es de droite !" »
« Je prends rapidement la décision solennelle de m'opposer à cette décision de justice. Le courrier précise qu'il est possible de le faire "dans un délai de 30 jours à compter de la date d'envoi de la présente lettre". Tic-tac. Je dois me dépêcher de me battre pour mon honneur. Il faut envoyer une lettre au chef du greffe du tribunal, "en indiquant expressément", insiste-t-on : "Je forme opposition". Soit. Je serai dans ce cas "cité à comparaître devant le tribunal de police qui jugera à nouveau l'affaire". L'affaire Girard contre France ne fait que commencer. »
« Je ne suis d'ailleurs sans doute pas le seul dans la panade. Une collègue, à qui je narre ma mésaventure, me signale qu'une de ses amies journalistes lui a raconté la même histoire. Elle rentrait de reportage, a montré sa carte de presse, on lui a dit que c'était bon… et on l'a verbalisée en loucedé, comme elle l'a appris plus tard dans une lettre. Combien sommes-nous à avoir été ainsi sanctionnés sous des prétextes fallacieux ? Peut-on faire valoir nos droits ? Et surtout, combien, parmi nous, de non-journalistes, ou de moins bourgeois, qui ne disposent ni de l'arme des médias pour se défendre, ni des économies pour payer ? Si vous lisez cet article et que vous vous sentez concernés, n'hésitez pas à m'envoyer un email : e.girard@journal-marianne.com. »
Pourquoi François Mitterand a-t-il accepté la privatisation de Renault ? « Je ne suis pas loin de penser que cela répond à un vieux souvenir pétainiste », répond Benjamin Cuq ; « que cela lui a permis de défaire ce que Charles de Gaulle a fait ». Donte acte. Tout l'entretien est du même tonneau. Si la critique de Carlos Ghosn est légitime, celle -ci semble peu crédible.
« La SNCF fait face à un problème assez peu commun : ses voies sont en effet fragilisées par des terriers de blaireaux. […] L'objectif est de fournir aux blaireaux un habitat plus confortable pour qu'ils délaissent les autres terriers. Ce projet, budgétisé à hauteur de 30.000 euros, consiste à creuser un grand terrier avec des tunnels et des chambres. […] Jusqu'ici, la SNCF a tout essayé pour déloger les blaireaux qui mettent en péril les voies ferrées. Boucher les terriers, chasser les blaireaux, les éliminer… En plus d'être coûteuses, aucune de ces solutions ne s'est avérée efficace à long terme. »