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politique
Alors qu'il n'était pas encore président de la République, Emmanuel Macron s'était affiché aux côtés de Philippe de Villiers. Il semblerait que celui-ci soit toujours apprécié par le chef de l'État – ainsi que par son épouse.
Parlant au nom des « vrais républicains », le chef de la France insoumise dénonce « la débilité de ce type de régime ». Mesuré, il explique même que cela lui rappelle la situation de l'Arabie saoudite.
Nathalie Loiseau, ministre chargé des Affaires européennes : « Quand on vient du Sud-Soudan, on peut décider de faire du shopping de l'asile et qu'on sera mieux en Suède qu'en Italie, mais enfin tout de même. »
« Les responsables politiques doivent se fier aux faits et chiffres », clame Heiko Carrie, président de Bosch France et Benelux. N'est-ce pas beaucoup leur demander ?
Le secrétaire d'État chargé de l'Égalité entre les femmes et les hommes n'apprécie pas qu'on fasse la fête à Macron. Pour ne rien arranger, Marlène Schiappa le dit en négligeant l'accent circonflexe caractéristique du subjonctif…
Le chef de l'État serait passé, paraît-il, « pour un dragueur lourdingue ». Cela après avoir choisi un terme anglais inadéquat pour faire l'éloge de la femme du Premier ministre. Le galopin !
Des enfants ne sauraient être employés pour balancer de grenades sur le visage du Christ. Ainsi en a décidé un préfet, désavoué par le ministre de la Culture, qui dénonce une « atteinte au droit à la liberté de création ».
Voilà qu'on honore « celle qui fut la première femme présidente du Parlement européen ». Cela alors qu'il n'y avait pas vraiment de Parlement européen avant sa présidence ! Du moins, pas sous la forme qu'on lui connaît depuis 1979.
L'ex-président normal dénonce les penchants monarchistes de son successeur à l'Élysée. Alors que celui-ci les avait explicitement revendiqués tandis qu'il était ministre, celui-là raconte qu'il ne l'avait pas pris au sérieux.
C'est en tout cas ce que proclame un « comité national pour l'interdiction des sports mécaniques » soutenu, entre autres, par quelques élus FI et EELV. Du grand n'importe quoi dénoncé sur Caradisiac avec une légitime virulence.
Le comité national du SNJ réclame l'abandon de ce qui pourrait « devenir un moyen d'entraver le travail des journalistes » par « l'imprécision de son périmètre d'application et des moyens d'action qu'il propose ».
L'idée saugrenue d'Anne Brugnera, député du Rhône : harmoniser les claviers informatiques utilisés sur le Vieux Continent, dont la diversité serait, de son point de vue, un frein à l'intégration européenne.
Emmanuel Macron a bouleversé la donne politique à Paris. Mais pas à Strasbourg, où ses fidèles risquent en conséquence d'être marginalisés. D'où l'intérêt qu'il y aurait à déstabiliser les partis politiques européens.
La guerre serait, paraît-il, une affaire trop sérieuse pour être laissée aux militaires. Qu'en est-il de la politique ? Les porteurs d'uniforme pourront bientôt s'y investir au niveau local. Avec toujours quelques restrictions.
Cela se passe à Nantes. En cause, selon la justice : des prises de position en faveur du recours aux mères porteuses, contraire à l'ordre public.
Laurent Wauquiez : « Macron a fait une grande erreur en fêtant son anniversaire à Chambord au moment où il s'apprête à augmenter la CSG. Ce pays a certes une tradition monarchiste, mais il a aussi coupé des têtes. »
Matthieu Lamarre, conseiller du maire de Paris, traite avec dédain nos confrères de Caradisiac. Incidemment, il déplore que la presse la mieux établie s'écarte du copinage avec les responsables politiques. Affligeant.
Extrait d'une entretien accordé aux Échos : « Si je suis souverainiste, c'est au sens de la souveraineté du peuple. Je suis plutôt un indépendantiste français. »
Sébastien Jumel, député de Seine-Maritime, a proposé que la nouvelle Alpine « soit présentée dans la cour de l'Assemblée nationale ». De son point de vue, le soutien public apporté à l'usine de Dieppe serait un exemple à suivre.
La France insoumise est partie en croisade contre le drapeau européen. Quant à Marie-France Lorho, elle propose qu'un drapeau blanc, « symbole de la construction nationale précédant la Révolution », puisse être présent dans l'hémicycle.