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politique
Étonnement, le Rassemblement national accueille favorablement le projet d'une fusion de Renault avec FCA : « je suis pour l'Europe des projets entre États lorsqu'on y a intérêt », a expliqué Jordan Bardella ; « si c'est du 50-50 et que l'État s'engage, s'il maintient cette minorité de blocage, qu'il s'engage à maintenir les emplois en France et les conditions de travail de nos usines, à ce moment-là banco ».
Coller un autocollant aux couleurs d'un mouvement politique, par ailleurs sans aucun slogan particulier ? Si c'est fait sur une boîte aux lettres bien choisie, c'est une « provocation » qui « ressemble même à une tentative d'intimidation », selon Muriel Ressiguier, député de l'Hérault.
L'écologie peut être le paravent du protectionnisme. Et cela, en France comme ailleurs ! En retirant son avantage fiscal au biodiesel à base d'huile de palme, l'Assemblée nationale répond manifestement à la demande des producteurs nationaux de colza. Lesquels sont d'ailleurs très présents dans la circonscription électorale du député à l'origine de cet amendement.
Bloqué sur Twitter par Richard Ferrand, président de l'Assemblée nationale, Guillaume Tatu, un journaliste, dénonce « une restriction à sa liberté d'être informé et de pouvoir informer le plus grand nombre ». Selon son avocat, « cela pose un problème d'inégalité à l'accès à l'information ». S'inspirant vraisemblablement de ce qui s'est passé aux États-Unis, il a porté plainte pour « discrimination ». Avec sans doute une bonne part de mauvaise foi, car il est possible de continuer à suivre les tweets d'une personnalité en pareille circonstance. Cela étant, on peut évidemment s'interroger sur tout ce qu'implique la communication par le biais d'un tel réseau.
Séance de questions au Gouvernement au Sénat. Gérard Longuet interroge Brune Poirson, secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, sur l'importance accordée à l'énergie nucléaire. Il l'interpelle d'une façon respectueuse… Mais en suivant les recommandations de l'Académie française. Ce qui semble déplaire fortement à son interlocutrice.
Cela, à la demande du Gouvernement…« Les constructeurs affichent déjà […] de nombreuses remises commerciales qui changent de nom en fonction de l'actualité. Il est fort à parier que ce coup de pouce à la prime à la conversion ne soit qu'une remise existante rhabillée. »
Selon le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), France 5 aurait manqué de rigueur en cataloguant à l'extrême droite l'Union populaire républicaine (UPR) – un parti souverainiste dont le chef est considéré comme un véritable gourou par ses militants aux idées volontiers complotistes.
Cet article n'apporte rien de nouveau, mais il résume les difficultés auxquelles se heurte le président de la République dans la perspective des élections européennes. Cela devrait éclairer l'analyse que l'on fait de sa proposition de constituer des listes transnationales ou bien de la hargne qu'il manifeste à l'encontre de Viktor Orban.
Alors qu'il brigue la mairie de Barcelone, Manuel Valls reproche à son maire actuel de tourner le dos au roi et de demander l'abolition de la monarchie, garante de l'unité espagnole.
Lu dans le quotidien monarchiste ABC, cité sur France Inter : « La belle lumière de Paris a baigné Barcelone à l'instant même de son discours de candidature. »
C'est tout à fait plausible, car l'Élysée profiterait vraisemblablement d'une recomposition des partis européens transnationaux. D'où l'embarras des eurodéputés LR : « Le choix iconoclaste de la droite française serait motivé par le souci de ne pas affaiblir le PPE à l'approche des élections européennes, ce qui aurait pour effet mathématique de favoriser les chances des centristes rassemblés autour d'Emmanuel Macron. »
L'état des routes ? « C'est un problème relatif en matière de sécurité routière », selon Emmanuel Barbe, délégué interministériel. « Le paradoxe », affirme-t-il, « c'est que les routes les plus belles […] sont 3,5 fois plus mortelles que les autres » ; « parce que comme elles sont belles, on y roule plus vite ». Dont acte.
Cet établissement occupe le local qui fut jadis celui de la Nouvelle Librairie nationale créée sous la houlette de l'Action française ! Une tête de sanglier, un buste de Jeanne d'Arc, un portrait de Céline… Voilà pour l'ambiance. Ernst Jünger ou Jean-Claude Michéa sont à l'honneur. Mais à l'étage, on trouve aussi des livres signés Henry Coston.
Il s'agit, paraît-il, de transcender les clivages face au péril populiste. Plus fondamentalement, c'est l'influence de la France au Parlement européen qui est en jeu. À Strasbourg, en effet, Républicains et Socialistes ont toujours leur mot à dire. Aux dépens du Gouvernement et de sa majorité.
« À la menace du Frexit, je préfère la désobéissance », explique Julien Bayou, porte-parole d'EELV. Nous ne souscrivons pas à ses propositions, mais le rejoignons plus ou moins sur ce point : la balle est dans notre camp !
C'est le Gouvernement qui le dit ! Enfin, presque : Paris prétend encourager l'Union européenne « à défendre ses intérêts face aux pratiques déloyales » ; ce serait « un impératif économique autant que politique ».
C'est un discours quand même curieux. Pourquoi ne pas appeler plutôt la télévision publique à donner leur place à tous les talents que compte la nation ? Ce discours d'exclusion met de l'huile sur le feu…
Le député à l'origine de cette question saugrenue méritait-il qu'on lui réponde ? En tout cas, le Gouvernement le fait sur un ton mesuré, soulignant les difficultés pratiques d'une uniformisation. L'exception française va donc perdurer !
La « marée populaire » censée renverser le président Macron s'appuie sur la convergences des luttes. Ou plutôt de certaines luttes, car il semblerait que les prostituées en colère ne soient pas les bienvenues dans ces manifestations.
« Les médias organisent ad nauseam la nostalgie de la monarchie. » C'est en tout cas ce que dénonce Bastien Lachaud, député de Seine-Saint-Denis, membre de la France insoumise. Dont acte.