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Défense
Rien de nouveau hélas. Rappelons toutefois que la souveraineté que la France exerce sur son propre territoire se joue bien davantage ici que dans la négociation des traités européens.
C'est à la une de DSI. Cela mériterait sans doute d'être lu, en complément notamment des considérations sur « l'État profond », même si ce concept-là semble a priori beaucoup moins suspect.
À noter, concernant les perspectives d'exportations, le « découragement » dont seraient victimes les commerciaux français. En cause : des pressions américaines mais aussi celles du Parquet national financier.
Une analyse publiée en juillet : « La manœuvre présidentielle tendrait à s’inscrire dans un double rapport de force, à la fois interne et européen.
Le greenwashing n'épargne pas la Défense. Avec toutefois quelques bénéfices quant aux performances (couple accru) et à la discrétion (silence de fonctionnement).
Notre confrère Laurent Lagneau présente quelques arguments en faveur de ce projet. Mais lui-même ne semble pas très convaincu. Il n'est pas anodin de le voir citer Éric Trappier en conclusion.
Le F-35 souffre de sa maniabilité en combat rapproché. Mais il a d'autres atouts à faire valoir : furtivité et connectivité. Au point que l'armée de l'Air craint d'être déclassée.
Le propos semble relativement convenu : « La souveraineté économique ne s'oppose pas à la souveraineté de défense, bien au contraire. Reste qu'il faut trouver entre les deux une voie juste et équilibrée. »
Frédérique Lardet, député, après les fuites de l'audition du général de Villiers : « J'adresse ainsi un message au connard qui n'a pas respecté la règle et qui ferait mieux d'aller traîner ses guêtres dans une autre commission. »
Lu sur le blog Ultima Ratio : « Un CEMA respecté et audible est un atout pour son président, non pas une menace. Il est le garant d’une armée dans le rang. »
Le général Lecointre, alors qu'on lui demandait quel matériel manquait le plus à l'armée de Terre : « Je ne répondrai surtout pas. Je craindrais que l'on nous supprime le reste… »
Cela semble intéressant : « À noter aussi un article sur le lien entre missions conventionnelles et savoir-faire acquis dans les missions de dissuasion et sur l'importance de la guerre électronique. »
Le président de la République vient de visiter la base des Forces aériennes stratégiques. Lesquelles conservent toute leur utilité, en complémentarité avec la Force océanique stratégique, comme nous le rappelions il y a trois ans.
Jean-Vincent Brisset : « Il savait que les budgets allaient baisser. Il a fait des promesses en sachant qu'il ne pourrait pas les tenir. Il essaie alors de prendre les devants avec une communication assez brutale. »
Le CEMA démissionnaire deviendrait-il une coqueluche d'extrême droite ? Voilà qu'un appel est lancé pour le porter à la tête du FN ! C'est d'autant plus grotesque qu'il ne récuse pas les engagements multilatéraux honnis par ce parti.
Cela sonne bien : « Choisissons, donc, d'agir comme si tout dépendait de nous, mais sachons reconnaître que tel n'est pas le cas. »
Le Fauteuil de Colbert : « Il n'est pas reproché au général Pierre de Villiers d'avoir assumé – enfin ! – la parole militaire dans le débat public. » Ce serait donc le contrôle parlementaire qui serait en cause.
La crise ayant conduit à la démission du CEMA semble incompréhensible. Des crédits en moins aujourd'hui, d'autres en plus dès demain ? Peut-être le président de la République vise-t-il coûte que coûte la crédibilité budgétaire en Europe.
Patrice de Mac Mahon : « Je rayerai du tableau d'avancement tout officier dont je verrai le nom sur une couverture. »
À lire avant de tourner en dérision le président Macron : « L'ouvrage, très abordable, est truffé de références et d'anecdotes passionnantes. »