4214 shaares
La Fondation Stargardt a publié un entretien avec Olivier Ducruix, parrain du bateau éponyme, et porteur lui même d'une maladie de Stargardt.
« Malheureusement, j'ai une forme sévère », explique-t-il : « c'est-à -dire qu'elle a été détectée quand j'étais à l'école maternelle » ; « à l'époque j'avais un dixième de vue et aujourd'hui, au fil des années, je suis quasiment en situation de cécité ».
Cela ne l'a pas empêché de devenir ingénieur en informatique. « Le fait qu'on ait subi cette affection depuis le jeune âge », cela « nous a fait quand même développer des capacités pour compenser le handicap », assure-t-il. « Par exemple », poursuit-il, « j'ai toujours pris tous mes cours à l'oreille, c'est-à -dire, que j'ai développé une capacité de concentration au niveau de la mémoire ».
Et si la vue continue à se dégrader ? « Quand il y a des choses que tu ne peux plus faire », rétorque-t-il, « une façon de rebondir est de faire de nouvelles choses aussi ».
« Malheureusement, j'ai une forme sévère », explique-t-il : « c'est-à -dire qu'elle a été détectée quand j'étais à l'école maternelle » ; « à l'époque j'avais un dixième de vue et aujourd'hui, au fil des années, je suis quasiment en situation de cécité ».
Cela ne l'a pas empêché de devenir ingénieur en informatique. « Le fait qu'on ait subi cette affection depuis le jeune âge », cela « nous a fait quand même développer des capacités pour compenser le handicap », assure-t-il. « Par exemple », poursuit-il, « j'ai toujours pris tous mes cours à l'oreille, c'est-à -dire, que j'ai développé une capacité de concentration au niveau de la mémoire ».
Et si la vue continue à se dégrader ? « Quand il y a des choses que tu ne peux plus faire », rétorque-t-il, « une façon de rebondir est de faire de nouvelles choses aussi ».