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Twitter
« L'ambassade de Chine à Washington a publié ce mois-ci sur son compte un message disant que les femmes de la communauté musulmane des Ouïghours n'étaient plus des "machines à fabriquer des bébés", citant une étude publiée par un journal adossé au parti au pouvoir à Pékin. Le message a été supprimé par Twitter et remplacé par un avertissement indiquant que le tweet n'était plus disponible. Aucun nouveau message n'a été publié sur le compte de l'ambassade depuis le 9 janvier. »
Selon Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement : « Bannir une personne, c'est à dire la réduire au silence sur les réseaux sociaux qui sont devenus une forme d'espace public, ça me semble compliqué en l'absence de critères spécifiquement établis. Il faut que les choses soient dites clairement et qu'il y ait des critères. Cette décision me semble assez facile. Donald Trump est au bout de son mandat. S'il avait été réélu, je ne sais pas si les Gafa auraient pris une telle décision. Une publication qui appelle à la haine ou à la violence doit évidemment être modérée le plus rapidement possible. Mais il y a une différence entre modérer un contenu et empêcher une personne de s'exprimer sur les réseaux sociaux. »
Et de reconnaître à demi-mot les travers de la loi Avia : « Il faut trouver un autre chemin, peut-être plus respectueux de l'institution judiciaire sur ce point-là. C'est une problématique qui a émergé ces dernières années au niveau mondial. Tous les pays sont concernés. On essaie de trouver des solutions, on y travaille. »
Et de reconnaître à demi-mot les travers de la loi Avia : « Il faut trouver un autre chemin, peut-être plus respectueux de l'institution judiciaire sur ce point-là. C'est une problématique qui a émergé ces dernières années au niveau mondial. Tous les pays sont concernés. On essaie de trouver des solutions, on y travaille. »
« Le site lancé par la Maison Blanche, baptisé "Tech Biais" (que l'on pourrait traduire par "Parti pris politique de l'industrie tech"), propose ainsi un formulaire dans lequel renseigner ses coordonnées, le réseau social à l'origine de la présupposée censure ainsi que captures écran du contenu supprimé et de la notification émise par le réseau social incriminé. "L'administration Trump se bat pour la libre expression en ligne", peut-on lire dans un tweet de la Maison Blanche. "Quels que soient vos avis, si vous suspectez avoir été censuré ou interdit de parler en raison d'un parti pris politique, dites-le-nous, cela nous intéresse !". Et de préciser que "trop d'Américains ont vu leurs comptes suspendus, interdits ou dénoncés frauduleusement pour d'obscures 'violations' des règles d'utilisation". »
Un nouvelle fonctionnalité, en cours d'expérimentation sur le réseau social, vous proposera de corriger votre tweet avant sa publication, dans le cas où votre langage n'apparaîtrait pas suffisamment châtié. On se croirait dans Demolition Man !