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comunautarisme
« C'est un montage de petites séquences. Et il est très bien fait, si on veut jouer sur le sexisme et le racisme, mais la réalité n'était pas du tout celle-là. »
« La carte postale [avec le chimpanzé], je la connaissais. Et on en avait plaisanté avant de prendre l'antenne. […] C'est même moi qui, en coulisses, avais dit : "On dirait moi !" On a décidé de la faire en plateau, c'est tout. […] Il suffit de regarder la séquence dans son intégralité pour comprendre qu'elle n'était pas du tout raciste. On en riait entre nous, de bon cœur. Il n'y avait aucun malentendu ni sous-entendu. Personne n'a perçu cela comme du racisme à l'époque. Et je peux vous dire que si quelqu'un m'avait réellement manqué de respect, je lui serais directement rentrée dedans. Jamais je n'aurais accepté un tel comportement. […] S'il y a un endroit où je n'ai jamais vécu le manque de respect, la misogynie ou le racisme, c'est sur le plateau de Pyramide. »
« Il n'y a que moi qui puisse dire si j'ai subi ou pas quelque chose ! […] Se servir de moi pour ça, avec les tensions actuelles dans le pays autour de ces questions, je ne suis pas d'accord. »
« La carte postale [avec le chimpanzé], je la connaissais. Et on en avait plaisanté avant de prendre l'antenne. […] C'est même moi qui, en coulisses, avais dit : "On dirait moi !" On a décidé de la faire en plateau, c'est tout. […] Il suffit de regarder la séquence dans son intégralité pour comprendre qu'elle n'était pas du tout raciste. On en riait entre nous, de bon cœur. Il n'y avait aucun malentendu ni sous-entendu. Personne n'a perçu cela comme du racisme à l'époque. Et je peux vous dire que si quelqu'un m'avait réellement manqué de respect, je lui serais directement rentrée dedans. Jamais je n'aurais accepté un tel comportement. […] S'il y a un endroit où je n'ai jamais vécu le manque de respect, la misogynie ou le racisme, c'est sur le plateau de Pyramide. »
« Il n'y a que moi qui puisse dire si j'ai subi ou pas quelque chose ! […] Se servir de moi pour ça, avec les tensions actuelles dans le pays autour de ces questions, je ne suis pas d'accord. »
« Lorsque la réalité se confronte au dogme, c'est tout un système victimaire qui s'effondre. L'affaire Pépita est la preuve en image et en son de cette idéologie haineuse qui enferme les personnes en ne leur laissant pas d'autre choix que d'être victime. »
« Le mot "racisé" pour désigner tout individu non blanc est le socle d'une manipulation essentialiste qui ne prend pas en compte l'existence. […] Avec les wokes, lorsque vous êtes noir, vous êtes par essence victime. Pour le mouvement indigéniste et racialiste, il en est fini de l'existence, de la liberté d'être, de votre réalité, vous êtes pris au piège de votre peau. Créer une communauté de racisés permet d'asseoir un socle, une masse d'individus, inféodés à la "cause". En nous coupant du réel, la colonisation et la domination de la pensée woke des universités américaines sont un danger ultime pour nos sociétés. La haine est tout au bout. »
« Ces images sont choquantes. Mais, je comprends aussi que le montage est fait dans une finalité précise : faire de Pépita une victime pour nourrir des idéologies qui nous tuent. Est-ce de cela dont nous avons besoin en ce moment ? Ne pas replacer les images dans le contexte, ne pas tenter de comprendre les relations que ses personnes avaient entre elles, leur complicité, faire fi de l'humour, (concept étranger aux wokes, d'ailleurs), ne pas chercher non plus à parler à la principale intéressée est malhonnête et violent. »
« Certes, il y a eu du racisme, il y en a encore. […] Les choses évoluent lentement, mais elles évoluent et ce n'est pas crisper la société et faire croire aux jeunes qu'ils sont des victimes de naissance dans un État qui les déteste, en nourrissant frustrations, haines, colères donc violence que les choses vont s'arranger. »
« Parce que Pépita revendique de ne pas être assignée à un rôle de victime, elle n'a pas d'autre choix que d'être mise dans la case de "traître à la cause". Voilà, la haine, l'intolérance. Pépita est esclave de sa peau d'où doit découler une pensée prédéfinie. Toute liberté, toute émancipation est impossible. […] Depuis qu'elle a dit qu'elle n'était pas une victime Pépita est traitée de "négresse de maison" ou de "Bounty". Il est grand temps de s'attaquer à ce racisme abject d'une violence rare. »
« Le mot "racisé" pour désigner tout individu non blanc est le socle d'une manipulation essentialiste qui ne prend pas en compte l'existence. […] Avec les wokes, lorsque vous êtes noir, vous êtes par essence victime. Pour le mouvement indigéniste et racialiste, il en est fini de l'existence, de la liberté d'être, de votre réalité, vous êtes pris au piège de votre peau. Créer une communauté de racisés permet d'asseoir un socle, une masse d'individus, inféodés à la "cause". En nous coupant du réel, la colonisation et la domination de la pensée woke des universités américaines sont un danger ultime pour nos sociétés. La haine est tout au bout. »
« Ces images sont choquantes. Mais, je comprends aussi que le montage est fait dans une finalité précise : faire de Pépita une victime pour nourrir des idéologies qui nous tuent. Est-ce de cela dont nous avons besoin en ce moment ? Ne pas replacer les images dans le contexte, ne pas tenter de comprendre les relations que ses personnes avaient entre elles, leur complicité, faire fi de l'humour, (concept étranger aux wokes, d'ailleurs), ne pas chercher non plus à parler à la principale intéressée est malhonnête et violent. »
« Certes, il y a eu du racisme, il y en a encore. […] Les choses évoluent lentement, mais elles évoluent et ce n'est pas crisper la société et faire croire aux jeunes qu'ils sont des victimes de naissance dans un État qui les déteste, en nourrissant frustrations, haines, colères donc violence que les choses vont s'arranger. »
« Parce que Pépita revendique de ne pas être assignée à un rôle de victime, elle n'a pas d'autre choix que d'être mise dans la case de "traître à la cause". Voilà, la haine, l'intolérance. Pépita est esclave de sa peau d'où doit découler une pensée prédéfinie. Toute liberté, toute émancipation est impossible. […] Depuis qu'elle a dit qu'elle n'était pas une victime Pépita est traitée de "négresse de maison" ou de "Bounty". Il est grand temps de s'attaquer à ce racisme abject d'une violence rare. »
« Zero Waste France tient à témoigner tout son soutien au mouvement #BlackLivesMatter ainsi qu’aux victimes du racisme et des violences policières. […] Il est indispensable de tenir compte, dans les luttes écologiques dont celle pour la réduction des déchets et du gaspillage, des rapports de domination, dont le racisme systémique fait partie. On ne peut pas lutter contre le changement climatique sans remettre en cause les inégalités et injustices raciales. Pourquoi ? Parce que les impacts du changement climatique et de la pollution ne sont pas ressentis de manière uniforme : ils renforcent les inégalités structurelles existantes. Autrement dit, les populations racisées se retrouvent souvent en première ligne des risques liés la crise climatique. Ainsi, 79 % des incinérateurs aux États-Unis sont situés dans les quartiers où vivent les personnes précarisées et-ou racisées, qui sont donc les plus exposées aux pollutions et aux risques sanitaires liés à ce mode de traitement des déchets. »