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créationnisme
Extrait d'un entretien accordé à BFM le 24 janvier 2021 :
« Brutalement, on a des virus qui, pour l'instant, sont caractérisés par une transmission qui est nettement plus importante. Ces mutations ne se font pas au hasard. Ces mutations, elles portent sur la protéine Spike, qui est la protéine qui s'accroche au récepteur du virus. Elles sont souvent partagées. Il y a de petites modifications entre le britannique, le sud-africain, le brésilien, mais il y a des parties communes. »
« Est-ce que c'est le hasard ? Est-ce que c'est au bout d'un an qu'on a cette série de mutations. Je pense que ce n'est pas le hasard. Et qu'on a affaire à un virus qui est diabolique et qui est beaucoup plus intelligent qu'on ne le pense – entre guillemets –, et qui trouve […] finalement […] des formes d'échappement par rapport à la pression de sélection qu'on exerce en face. Qu'est-ce que ça veut dire ? […] On a les anticorps monoclonaux […] qui pour certains mutants – le sud-africain et le brésilien – sont peu efficaces. Et puis on a des pressions de sélection qui s'exercent par l'immunité qui a été acquise en population. Ce qui me frappe c'est qu'on a deux très grande villes mondiales, Manaos au Brésil, Le Cap en Afrique du Sud, qui étaient considérées comme des villes ayant atteint un niveau d'immunité collective. […] Et les mutants surviennent dans ces deux villes, comme s'il 'y a avait une sorte de forme d'échappement par rapport à une pression de sélection. »
« Brutalement, on a des virus qui, pour l'instant, sont caractérisés par une transmission qui est nettement plus importante. Ces mutations ne se font pas au hasard. Ces mutations, elles portent sur la protéine Spike, qui est la protéine qui s'accroche au récepteur du virus. Elles sont souvent partagées. Il y a de petites modifications entre le britannique, le sud-africain, le brésilien, mais il y a des parties communes. »
« Est-ce que c'est le hasard ? Est-ce que c'est au bout d'un an qu'on a cette série de mutations. Je pense que ce n'est pas le hasard. Et qu'on a affaire à un virus qui est diabolique et qui est beaucoup plus intelligent qu'on ne le pense – entre guillemets –, et qui trouve […] finalement […] des formes d'échappement par rapport à la pression de sélection qu'on exerce en face. Qu'est-ce que ça veut dire ? […] On a les anticorps monoclonaux […] qui pour certains mutants – le sud-africain et le brésilien – sont peu efficaces. Et puis on a des pressions de sélection qui s'exercent par l'immunité qui a été acquise en population. Ce qui me frappe c'est qu'on a deux très grande villes mondiales, Manaos au Brésil, Le Cap en Afrique du Sud, qui étaient considérées comme des villes ayant atteint un niveau d'immunité collective. […] Et les mutants surviennent dans ces deux villes, comme s'il 'y a avait une sorte de forme d'échappement par rapport à une pression de sélection. »