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frugalité
« Cette décision serait motivée par la volonté de conserver les mêmes tarifs d'une génération à l'autre, malgré des coûts de production plus élevés (en raison des composants liés à la 5G). […] Si Apple supprime le chargeur et en fait une option payante […], alors la firme de Cupertino risque encore une fois d'être pointée du doigt. Surtout quand on voit le prix des accessoires. […] Mais il y a une logique d'usage qui a du sens. […] Supprimer le chargeur permet de ne plus avoir à les accumuler. […] La donnée économique sous-entend aussi un bénéfice écologique : les mensurations du packaging seraient réduites, ce qui coûterait moins cher (pour la production et la logistique) et aurait un impact positif sur l'environnement. Sans parler de la production moindre d'un accessoire que la plupart des gens possèdent déjà. »
« Pino c'est un robot en bois, en acier moulé et en tôle d'acier à l'intérieur au look volontairement intemporel (ou néo rétro, à vous de juger). Il permet d'effectuer les tâches classiques d'un robot classique (batteur, mélangeur, râpe, mixeur…). Et ce, à l'aide de différentes vitesses et de plusieurs ustensiles. À la différence des robots ménagers auxquels vous êtes déjà habitués, celui-ci convertit l'énergie manuelle en énergie mécanique. En gros, vous ajoutez un peu d'huile de coude à la recette, et c'est tout. »
« Pour l'instant, Pino est au stade de prototype. Il a été fabriqué à l'aide d'imprimantes 3D pour les pièces mécaniques au sein de l'université de Bolzano. Des projets d'industrialisation sont en cours, mais ont été ralentis par la crise du Covid-19. Manuel Immler table sur une mise en production en 2021. »
« Pour l'instant, Pino est au stade de prototype. Il a été fabriqué à l'aide d'imprimantes 3D pour les pièces mécaniques au sein de l'université de Bolzano. Des projets d'industrialisation sont en cours, mais ont été ralentis par la crise du Covid-19. Manuel Immler table sur une mise en production en 2021. »
« Des mesures radicales sont […] nécessaires », selon Dominique Bourg, philosophe, professeur honoraire à l'université de Lausanne : « freiner la consommation et reconvertir l'appareil productif, qui doit sortir des petits objets pour aller vers les infrastructures ». « Dans le futur », prévient-il, « les sociétés devront comporter une gamme de techniques » ; « avec du high-tech pour les usages scientifiques et médicaux, mais absent des techniques courantes » – « ce qui aboutira sans doute à une diminution de la production ». Pour cela, poursuit-il, « il faut une réorientation publique de l'appareil productif, à travers des quotas portant sur la consommation finale, en considérant non seulement la teneur carbone, mais plus largement l'empreinte écologique de chaque consommation ». D'après lui, « cela permettrait d'adresser un signal fort aux producteurs, incités à mettre sur le marché des produits durables, modulables, recyclables et moins lourds en énergie ».
Extrait d'un éditorial signé Pierre-Gabriel Bieri, paru dans une lettre hebdomadaire (15 avril 2020) du Cente patronal, l'équivalent suisse du Medef :
« Il faut éviter que certaines personnes soient tentées de s'habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses : beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d'agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation... Cette perception romantique est trompeuse, car le ralentisse-ment de la vie sociale et économique est en réalité très pénible pour d'innombrables habitants qui n'ont aucune envie de subir plus longtemps cette expérience forcée de décroissance. La plupart des individus ressentent le besoin, mais aussi l'envie et la satisfaction, de travailler, de créer, de produire, d'échanger et de consommer. On peut le faire plus ou moins intelligemment, et on a le droit de tirer quelques leçons de la crise actuelle. Mais il est néanmoins indispensable que l'activité économique reprenne rapidement et pleinement ses droits. »
« Il faut éviter que certaines personnes soient tentées de s'habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses : beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d'agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation... Cette perception romantique est trompeuse, car le ralentisse-ment de la vie sociale et économique est en réalité très pénible pour d'innombrables habitants qui n'ont aucune envie de subir plus longtemps cette expérience forcée de décroissance. La plupart des individus ressentent le besoin, mais aussi l'envie et la satisfaction, de travailler, de créer, de produire, d'échanger et de consommer. On peut le faire plus ou moins intelligemment, et on a le droit de tirer quelques leçons de la crise actuelle. Mais il est néanmoins indispensable que l'activité économique reprenne rapidement et pleinement ses droits. »
Ces voitures seront destinées en priorité à l'Inde, puis à l'Amérique latine et à l'Afrique du Nord. Le prix : 10 000 euros. C'est « dans la fraction haute du marché indien, où le prix de vente moyen des voitures tourne autour de 5 000 euros », précise Challenges ; « en revanche, ce serait pile dans le créneau des voitures d'entrée de gamme au Brésil ». Qu'en sera-t-il chez nous ? « On pourra utiliser la plate-forme en Europe, mais avec des véhicules différents visuellement », révèle Vincent Cobée, directeur de la marque aux Chevrons. Selon Alain-Gabriel Verdevoye, « la future C3 […] pourrait être a priori développée sur cette plate-forme moins sophistiquée ». Par le passé, Citroën avait déjà annoncé un "retour à l'essentiel", avec le concept Cactus, sans vraiment donner suite, malgré la commercialisation du modèle éponyme. Affaire à suivre.