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« L'église Sainte-Agnès de Maisons-Alfort, incroyable exemple de lieu de culte art déco, a remporté le match de "Sauvons nos monuments" face au grand rocher du zoo de Vincennes. […] Construite en un an seulement, entre 1932 et 1933, l'église de style art déco a subi presque un siècle d'intempéries et de pollution, qui ont attaqué le clocher – déjà réparé –, les colonnes et la porte d'entrée. »
« Des travaux urgents, estimés à au moins 260 000 euros, doivent être lancés. "Nous ne pensions pas engager un tel chantier tant que celui de Saint-Louis de Vincennes ne serait pas terminé, mais les infiltrations sur le bâtiment nous obligent à agir vite", précise Philippe Guyard, économe de l'évêché de Créteil. […] Il faut mettre les plaques de parement des colonnes du porche d'entrée à l'abri de l'eau qui s'y infiltre. […] Après de premiers travaux en 2004 sur le clocher, la ville a déjà créé l'année dernière un joli parvis devant l'église. »
« Parfois surnommée "Prisme de Lumière" ou "Sainte-Chapelle des bords de Marne", l'église est classée au titre des monuments historiques depuis 1984. Œuvre des architectes Marc Brillaud de Laujardière, prix de Rome en 1920, et de Raymond Puthomme, elle est construite en béton armé. […] Imbriquée sur un petit terrain, mais majestueuse vue de l'intérieur, elle dispose de vitraux incroyables du maître verrier Max Ingrand et d'un clocher avec une flèche métallique de 8 mètres de haut, visible de très loin et notamment de l'autoroute A4. […] Les colonnes du porche d'entrée ont déjà dû être cerclées pour éviter des chutes de plaques, mais de véritables travaux s'imposent. Nécessitant également une rénovation, la porte d'entrée de Sainte-Agnès est elle aussi une véritable œuvre d'art. »
« C'est Fernand Moureaux, le directeur fondateur de l'usine de la Suze, une distillerie installée à Maisons-Alfort, qui a été le principal mécène de cette église, dont il a financé environ 80 % de la construction. Aux Franciliens désormais d'œuvrer à sa restauration ! »
« Des travaux urgents, estimés à au moins 260 000 euros, doivent être lancés. "Nous ne pensions pas engager un tel chantier tant que celui de Saint-Louis de Vincennes ne serait pas terminé, mais les infiltrations sur le bâtiment nous obligent à agir vite", précise Philippe Guyard, économe de l'évêché de Créteil. […] Il faut mettre les plaques de parement des colonnes du porche d'entrée à l'abri de l'eau qui s'y infiltre. […] Après de premiers travaux en 2004 sur le clocher, la ville a déjà créé l'année dernière un joli parvis devant l'église. »
« Parfois surnommée "Prisme de Lumière" ou "Sainte-Chapelle des bords de Marne", l'église est classée au titre des monuments historiques depuis 1984. Œuvre des architectes Marc Brillaud de Laujardière, prix de Rome en 1920, et de Raymond Puthomme, elle est construite en béton armé. […] Imbriquée sur un petit terrain, mais majestueuse vue de l'intérieur, elle dispose de vitraux incroyables du maître verrier Max Ingrand et d'un clocher avec une flèche métallique de 8 mètres de haut, visible de très loin et notamment de l'autoroute A4. […] Les colonnes du porche d'entrée ont déjà dû être cerclées pour éviter des chutes de plaques, mais de véritables travaux s'imposent. Nécessitant également une rénovation, la porte d'entrée de Sainte-Agnès est elle aussi une véritable œuvre d'art. »
« C'est Fernand Moureaux, le directeur fondateur de l'usine de la Suze, une distillerie installée à Maisons-Alfort, qui a été le principal mécène de cette église, dont il a financé environ 80 % de la construction. Aux Franciliens désormais d'œuvrer à sa restauration ! »
« Nicolas Hulot incarne une catégorie d'hommes : ce petit pourcentage de grands séducteurs un peu prédateurs sur les bords. Ce sont des psychologies paradoxales, des hommes à femmes qui bénéficient en général d'un physique avantageux dont ils usent et abusent […] pour obtenir tout ce qu'ils veulent, parce que la plupart du temps, ça paie, et ça paie même très bien. Grisés par cette facilité […], ils prennent alors ce pli, à la moindre occasion, de recharger leurs batteries avec du sexe facile et sans lendemain – jusqu'à en devenir plus ou moins sex-addicts. »
« Car ce sont également des profils psychologiques beaucoup plus fragiles qu'il n'y paraît. […] Autant le succès qui vous tombe dessus soudainement peut vous faire prendre la grosse tête ou vous faire basculer dans le "syndrome de l'imposteur", autant les craintes qu'il génère peuvent déstabiliser et installer en vous une profonde perte de repères et un rapport plus ou moins distendu avec la réalité. »
« Ceci pour dire […] que Nicolas Hulot représente une catégorie d'hommes particulière. Il n'est pas Monsieur tout le monde, il n'a pas le rapport aux femmes de Monsieur tout le monde, car quand lui a cinquante femmes autour de lui en permanence, Monsieur tout le monde en a une ou deux, voire zéro – et rarement une armada de filles énamourées qui l'attendent à chaque sortie de studio TV. »
« C'est toujours le même profil. Des jeunes filles en fleur, des groupies, des fans, toujours des oies blanches, plus ou moins sincères et inexpérimentées, qui peuvent n'avoir aucune idée des pulsions sexuelles qui peuvent traverser un Don Juan habitué à se servir à pleines mains – on parle ici de trois filles qui se plaignent mais on ne parlera jamais des mille autres qui se sont bien amusées ou ont juste passé un bon moment avec lui. »
« Il est tout à fait vrai qu'entre seize et dix-huit ans, on n'a pas forcément conscience de l'intérêt sexuel qu'on peut présenter pour un homme. C'est ce qu'on appelle le "biais de sous-perception" dont sont affligées les jeunes femmes : elles n'ont parfois aucune conscience des signaux sexuels qu'elles peuvent envoyer involontairement. Quant aux hommes, ils souffrent inversement d'un "biais de sur-perception" : ils vont interpréter comme des avances sexuelles, du consentement ou une ouverture à un rapport sexuel ce qui n'en est pas forcément, voire pas du tout. »
« Il existe donc réellement un quiproquo fondamental entre les sexes, et tout particulièrement entre les deux protagonistes de ce type d'affaires, fatalement faits pour se rencontrer : la jeune fille en fleur attire le séducteur comme un aimant et réciproquement, le séducteur attire les jeunes filles en fleur comme le fromage attire les mouches. Celles-ci tapissent les murs de leur chambre des photos de leur idole qu'elles cherchent parfois à tout prix à rencontrer, inconscientes de la situation dans laquelle elles vont se mettre ou des expériences qu'elles risquent de croiser et qu'elles ne seront pas toujours en mesure d'assumer. Maureen Dor en parle avec des mots assez justes. Elle a aussi l'honnêteté de reconnaître que cela ne l'a jamais traumatisée ni empêchée de poursuivre sa vie et sa carrière. »
« Il y a donc deux profils de filles : la traumatisée à vie qui ne se remettra jamais d'une petite pression sur la nuque et d'un "suce-moi" dans une voiture et celle qui haussera les épaules et repensera toujours avec indifférence (et plus de pitié qu'autre chose) aux hommes qui lui ont montré leur sexe quand elle faisait du stop ou aux expériences de bad sex qu'elle a traversées au même âge. C'est mon cas et c'est ce que j'écris sur ce site depuis le début : on peut choisir d'être traumatisée à vie par une bite – ou pas. On peut choisir de passer sa vie à se lamenter d'avoir excité involontairement un homme quand on était jeune et fraîche, ou s'en foutre et en rire. On peut se complaire dans la victimisation et apporter de l'eau au moulin de l'armada des féministes aigries qui extorquent les témoignages qu'elles ont envie d'entendre pour régler leurs comptes avec la gent masculine – ou bien refuser de se prêter à ce jeu malsain et cette chasse à l'homme en meute. »
« Le féminisme occidental a produit des générations de femmes fragiles qui restent dans leur tête des adolescentes de seize ans traumatisées à vie parce qu'elles auront un jour croisé une bite ou un mufle qui n'aura pas mis les formes. Bien sûr que ces méthodes – pour autant qu'elles soient avérées dans l'affaire qui nous occupe – sont grossières et inappropriées, mais il est FAUX, comme le prétendait Laurence Rossignol sur le plateau d'Envoyé Spécial, qu'on ne puisse s'en remettre et que c'est un profond traumatisme. C'est faux : je suis passée par ce genre d'expériences et je n'ai jamais été traumatisée. »
« Parce qu'on peut choisir de vouloir vivre avec un chaperon juridico-féministe et un ordre moral victorien sur le dos, comme une petite chose fragile et impressionnable, terrorisée et démolie pour toujours par des avances cavalières, ou au contraire d'assumer sa liberté et de faire la part des choses. On peut passer sa vie à se construire un profil de malheureuse victime et ressortir à point nommé de vieilles histoires qui ne nous ont en réalité jamais empêché de dormir pour aller grossir le troupeau des hyènes qui chassent en bande – ou pas. »
« Quant à la justice sauvage qui se rend sur les plateaux TV pour pousser sans autre forme de procès un homme au suicide sur des accusations invérifiables – alors que ces femmes, contrairement à ce qu'elles prétendent, ont eu des années pour en parler et déposer plainte –, il faut souhaiter que les procès en diffamation se succèdent pour arrêter ces lynchages. L'opportunisme et la quête du quart d'heure de gloire médiatique sont ici flagrants. La plupart des séducteurs qui ont eu une gloire publique, artistique ou politique, vont désormais devoir rendre des comptes à la foule de leurs coups d'un soir tapis dans l'ombre, qui pourront raconter tout et n'importe quoi, du moment qu'il y a le mot "sexe" dedans. Notre société qui ne baise déjà plus pourra ainsi se venger et se délecter, à travers ce voyeurisme revanchard, de ses passions tristes. »
« Car ce sont également des profils psychologiques beaucoup plus fragiles qu'il n'y paraît. […] Autant le succès qui vous tombe dessus soudainement peut vous faire prendre la grosse tête ou vous faire basculer dans le "syndrome de l'imposteur", autant les craintes qu'il génère peuvent déstabiliser et installer en vous une profonde perte de repères et un rapport plus ou moins distendu avec la réalité. »
« Ceci pour dire […] que Nicolas Hulot représente une catégorie d'hommes particulière. Il n'est pas Monsieur tout le monde, il n'a pas le rapport aux femmes de Monsieur tout le monde, car quand lui a cinquante femmes autour de lui en permanence, Monsieur tout le monde en a une ou deux, voire zéro – et rarement une armada de filles énamourées qui l'attendent à chaque sortie de studio TV. »
« C'est toujours le même profil. Des jeunes filles en fleur, des groupies, des fans, toujours des oies blanches, plus ou moins sincères et inexpérimentées, qui peuvent n'avoir aucune idée des pulsions sexuelles qui peuvent traverser un Don Juan habitué à se servir à pleines mains – on parle ici de trois filles qui se plaignent mais on ne parlera jamais des mille autres qui se sont bien amusées ou ont juste passé un bon moment avec lui. »
« Il est tout à fait vrai qu'entre seize et dix-huit ans, on n'a pas forcément conscience de l'intérêt sexuel qu'on peut présenter pour un homme. C'est ce qu'on appelle le "biais de sous-perception" dont sont affligées les jeunes femmes : elles n'ont parfois aucune conscience des signaux sexuels qu'elles peuvent envoyer involontairement. Quant aux hommes, ils souffrent inversement d'un "biais de sur-perception" : ils vont interpréter comme des avances sexuelles, du consentement ou une ouverture à un rapport sexuel ce qui n'en est pas forcément, voire pas du tout. »
« Il existe donc réellement un quiproquo fondamental entre les sexes, et tout particulièrement entre les deux protagonistes de ce type d'affaires, fatalement faits pour se rencontrer : la jeune fille en fleur attire le séducteur comme un aimant et réciproquement, le séducteur attire les jeunes filles en fleur comme le fromage attire les mouches. Celles-ci tapissent les murs de leur chambre des photos de leur idole qu'elles cherchent parfois à tout prix à rencontrer, inconscientes de la situation dans laquelle elles vont se mettre ou des expériences qu'elles risquent de croiser et qu'elles ne seront pas toujours en mesure d'assumer. Maureen Dor en parle avec des mots assez justes. Elle a aussi l'honnêteté de reconnaître que cela ne l'a jamais traumatisée ni empêchée de poursuivre sa vie et sa carrière. »
« Il y a donc deux profils de filles : la traumatisée à vie qui ne se remettra jamais d'une petite pression sur la nuque et d'un "suce-moi" dans une voiture et celle qui haussera les épaules et repensera toujours avec indifférence (et plus de pitié qu'autre chose) aux hommes qui lui ont montré leur sexe quand elle faisait du stop ou aux expériences de bad sex qu'elle a traversées au même âge. C'est mon cas et c'est ce que j'écris sur ce site depuis le début : on peut choisir d'être traumatisée à vie par une bite – ou pas. On peut choisir de passer sa vie à se lamenter d'avoir excité involontairement un homme quand on était jeune et fraîche, ou s'en foutre et en rire. On peut se complaire dans la victimisation et apporter de l'eau au moulin de l'armada des féministes aigries qui extorquent les témoignages qu'elles ont envie d'entendre pour régler leurs comptes avec la gent masculine – ou bien refuser de se prêter à ce jeu malsain et cette chasse à l'homme en meute. »
« Le féminisme occidental a produit des générations de femmes fragiles qui restent dans leur tête des adolescentes de seize ans traumatisées à vie parce qu'elles auront un jour croisé une bite ou un mufle qui n'aura pas mis les formes. Bien sûr que ces méthodes – pour autant qu'elles soient avérées dans l'affaire qui nous occupe – sont grossières et inappropriées, mais il est FAUX, comme le prétendait Laurence Rossignol sur le plateau d'Envoyé Spécial, qu'on ne puisse s'en remettre et que c'est un profond traumatisme. C'est faux : je suis passée par ce genre d'expériences et je n'ai jamais été traumatisée. »
« Parce qu'on peut choisir de vouloir vivre avec un chaperon juridico-féministe et un ordre moral victorien sur le dos, comme une petite chose fragile et impressionnable, terrorisée et démolie pour toujours par des avances cavalières, ou au contraire d'assumer sa liberté et de faire la part des choses. On peut passer sa vie à se construire un profil de malheureuse victime et ressortir à point nommé de vieilles histoires qui ne nous ont en réalité jamais empêché de dormir pour aller grossir le troupeau des hyènes qui chassent en bande – ou pas. »
« Quant à la justice sauvage qui se rend sur les plateaux TV pour pousser sans autre forme de procès un homme au suicide sur des accusations invérifiables – alors que ces femmes, contrairement à ce qu'elles prétendent, ont eu des années pour en parler et déposer plainte –, il faut souhaiter que les procès en diffamation se succèdent pour arrêter ces lynchages. L'opportunisme et la quête du quart d'heure de gloire médiatique sont ici flagrants. La plupart des séducteurs qui ont eu une gloire publique, artistique ou politique, vont désormais devoir rendre des comptes à la foule de leurs coups d'un soir tapis dans l'ombre, qui pourront raconter tout et n'importe quoi, du moment qu'il y a le mot "sexe" dedans. Notre société qui ne baise déjà plus pourra ainsi se venger et se délecter, à travers ce voyeurisme revanchard, de ses passions tristes. »
« Combien de délateurs ? 27 personnes, en 2017, ont pris contact avec l'administration fiscale ; ils étaient 56, en 2018, et 71, en 2020. Selon Christine Pirès-Beaune, rapporteur socialiste, "le dispositif bénéficie d'une plus grande acceptabilité sociale". [...] En échange des informations ayant permis au fisc de récupérer cette somme de 110 millions, ils ont reçu l'équivalent de 1,5 % des droits et pénalités d'indemnité, soit 1,83 million d'euros. […] Pour attirer encore plus d'aviseurs, l'élue préconise de porter leur indemnisation "jusqu'à 15 % des droits recouvrés dans le cas d'affaires de grande importante" [...] et précise que "les éléments d'identification de l'identité de l'aviseur (fiche biographique) seront classés secret". »
« "Contrôlez et faites contrôler le passe sanitaire de tous vos clients", demande lundi Didier Chenet, affirmant avoir "encore ce week-end, personnellement constaté un relâchement" de ces contrôles. […] "Cette fois la défense de la profession ne dépend ni du Gouvernement ni de vos organisations professionnelles mais de vous !", plaide-t-il. […] "À ceux qui ne contrôlent pas le passe sanitaire de leurs clients et salariés, je vous le dis : cela n'est pas acceptable car, au-delà de vous, c'est l'ensemble de la profession que vous mettez en danger en l'exposant à une mesure de fermeture générale", affirme M. Chenet. »
« Est-il vrai qu'avoir un logement à "1,3 million d'euros" ne fait pas de vous "un riche", comme le dit Éric Zemmour ? » La question est posée par les "fact-checkers" de France Info. « Non, le possible candidat a tort », rétorque Thomas Pontillon, avec une suffisance particulièrement déplacée, étant donné qu'ici, ce ne sont pas des faits, mais des définitions qui sont en cause. Explication donnée : « Contrairement à ce que dit Éric Zemmour, être propriétaire d'un bien à 1,3 million d'euros, signifie que vous faites partie des 3% des ménages les plus riches, d'après les derniers chiffres de l'Insee, publiés l'été dernier. » Quelle ineptie ! Pas un mot sur la distinction qu'il conviendrait d'établir entre patrimoine et revenus ou niveau de vie, qui est pourtant au cœur de la controverse ! C'est absolument lamentable.
La Quadrature du Net fait du bon boulot, mais elle se fourvoie régulièrement dans des combats qui l'éloignent dans son cœur de métier. C'est encore le cas avec le soutien qu'elle apporte à cette pétition dénonçant l'empressement du Gouvernement à dissoudre des associations. Sans doute agit-il effectivement de façon arbitraire, avec ds préoccupations politiciennes. Mais le parti-pris idéologique de cette pétition rebutera bien des signataires potentiels !
« Des associations sont dissoutes par le Gouvernement au motif absurde que dénoncer une injustice ce serait justifier rétrospectivement – ou se rendre complice par avance – des actes violents, voire des actes de terrorisme, que d'autres ont commis ou commettront peut-être un jour en invoquant cette même injustice. »
« "Sous couvert de dénoncer des actes d'islamophobie", lit-on en effet dans le décret de dissolution de la Coordination contre le racisme et l'islamophobie, cette association "distille[rait] un message incitant à percevoir les institutions françaises comme islamophobes, alimentant ainsi un soupçon permanent de persécution religieuse de nature à attiser la haine, la violence ou la discrimination envers les non-musulmans". Faut-il souligner que l'accusation d'incitation à la discrimination envers un groupe indistinct qui serait constitué des "non musulmans" relève du non-sens ? »
« Comme dans le cas du CCIF, le décret retient aussi à charge des propos tenus par des tiers sur les réseaux sociaux concernant, par exemple, le grief d'incitation à la violence contre les forces de l'ordre. Cela suffit, aux yeux du ministre de l'intérieur, à caractériser une "stratégie" de l'association qui consisterait à susciter ces commentaires et à les maintenir ensuite "volontairement " en ligne. »
« En somme, une addition de présupposés, d'hypothèses et de supputations permet d'affirmer qu'une association "doit être regardée comme cautionnant" des propos provoquant à la violence ou à la discrimination et que cette prétendue caution suffit elle-même à caractériser des "agissements" de provocation à la violence ou à la discrimination, seuls susceptibles de justifier une dissolution. »
« Le silence qui accompagne l'enchaînement de ces mesures de dissolution est alarmant. D'abord parce qu'il peut être perçu comme un assentiment tacite et ouvrir la voie à d'autres décisions analogues. […] Se taire face à ces dissolutions et aux faux semblants de leur motivation, c'est ne pas voir que, demain, la défense d'autres causes pourra subir le même ostracisme et la même sanction. Ici, c'est le concept d'islamophobie dont on comprend qu'il devrait être banni. Mais ne nous dit-on pas aussi qu'il serait abusif, voire diffamatoire, de parler de "violences policières" ? Nous reprochera-t-on demain de dénoncer la xénophobie à l'œuvre dans les politiques migratoires au motif que c'est faire insulte à ceux qui nous gouvernent et – qui sait ? – susciter dans la population immigrée la haine de la France et des Français ? »
« Nous revendiquons le plein exercice de la liberté d'opinion, qui inclut la libre contradiction et exclut toute police des idées. Nous entendons, tout simplement, que soit respectée la liberté d'association. »
« Des associations sont dissoutes par le Gouvernement au motif absurde que dénoncer une injustice ce serait justifier rétrospectivement – ou se rendre complice par avance – des actes violents, voire des actes de terrorisme, que d'autres ont commis ou commettront peut-être un jour en invoquant cette même injustice. »
« "Sous couvert de dénoncer des actes d'islamophobie", lit-on en effet dans le décret de dissolution de la Coordination contre le racisme et l'islamophobie, cette association "distille[rait] un message incitant à percevoir les institutions françaises comme islamophobes, alimentant ainsi un soupçon permanent de persécution religieuse de nature à attiser la haine, la violence ou la discrimination envers les non-musulmans". Faut-il souligner que l'accusation d'incitation à la discrimination envers un groupe indistinct qui serait constitué des "non musulmans" relève du non-sens ? »
« Comme dans le cas du CCIF, le décret retient aussi à charge des propos tenus par des tiers sur les réseaux sociaux concernant, par exemple, le grief d'incitation à la violence contre les forces de l'ordre. Cela suffit, aux yeux du ministre de l'intérieur, à caractériser une "stratégie" de l'association qui consisterait à susciter ces commentaires et à les maintenir ensuite "volontairement " en ligne. »
« En somme, une addition de présupposés, d'hypothèses et de supputations permet d'affirmer qu'une association "doit être regardée comme cautionnant" des propos provoquant à la violence ou à la discrimination et que cette prétendue caution suffit elle-même à caractériser des "agissements" de provocation à la violence ou à la discrimination, seuls susceptibles de justifier une dissolution. »
« Le silence qui accompagne l'enchaînement de ces mesures de dissolution est alarmant. D'abord parce qu'il peut être perçu comme un assentiment tacite et ouvrir la voie à d'autres décisions analogues. […] Se taire face à ces dissolutions et aux faux semblants de leur motivation, c'est ne pas voir que, demain, la défense d'autres causes pourra subir le même ostracisme et la même sanction. Ici, c'est le concept d'islamophobie dont on comprend qu'il devrait être banni. Mais ne nous dit-on pas aussi qu'il serait abusif, voire diffamatoire, de parler de "violences policières" ? Nous reprochera-t-on demain de dénoncer la xénophobie à l'œuvre dans les politiques migratoires au motif que c'est faire insulte à ceux qui nous gouvernent et – qui sait ? – susciter dans la population immigrée la haine de la France et des Français ? »
« Nous revendiquons le plein exercice de la liberté d'opinion, qui inclut la libre contradiction et exclut toute police des idées. Nous entendons, tout simplement, que soit respectée la liberté d'association. »
« "She/her", "he/him", "they/them" : des travailleurs anglophones de tous les domaines accolent aujourd'hui à leur signature courriel ou à leur profil Linkedin les pronoms avec lesquels ils souhaitent que l'on s'adresse à eux. Vous l'avez peut-être également vu en français ("il/lui", "elle/elle" ou les différentes variations utilisant des pronoms neutres, comme "iel"). »
« Signe que la tendance prend de l'ampleur, les utilisateurs du réseau professionnel LinkeiIn peuvent depuis quelques mois définir leurs pronoms. L'option facultative est offerte dans cinq pays, dont le Canada. À Montréal, Ubisoft incite aussi l'ensemble de son personnel à ajouter ses pronoms. "Il n'y a pas d'obligation, mais on encourage fortement les gens à le faire, parce qu'on pense que c'est un pas vers un milieu de travail plus inclusif", explique la conseillère en communications internes Laurane Guilbaud, qui a piloté l'initiative pour le studio de jeux vidéos. »
« Préciser ses pronoms ouvre avant tout le dialogue, souligne Florence Gagnon. "Énormément d'alliés le font pour montrer à leurs collègues et à leurs clients leur ouverture, et pour les encourager à faire part de ce qu'ils vivent." »
« La professeure Caterine Bourassa-Dansereau, du Département de communication sociale et publique de l'UQAM, remarque quant à elle que la pandémie et les confinements qui en ont découlé auront étonnamment fait avancer la question, grâce au champ réservé à l'usage des pronoms dans le profil de Zoom. »
« "Mégenrer […] constamment quelqu'un qui ne se reconnaît pas dans les pronoms classiques est un rappel douloureux de la dissonance entre la façon dont la personne se voit et la façon dont elle est perçue. Si elle doit toujours réfléchir à la meilleure manière de corriger poliment ses collègues, ça lui demande de l'énergie et ça empiète sur son rendement", soulève Mouhamadou Sanni Yaya, professeur au Département des sciences de la gestion de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). »
« Mouhamadou Sanni Yaya est convaincu que la pratique fera boule de neige de toute façon. "C'est un phénomène contagieux. Au fur et à mesure que les gens prennent conscience des effets pervers de mégenrer, ils y adhèrent. Ce n'est donc qu'une question de temps". »
« Signe que la tendance prend de l'ampleur, les utilisateurs du réseau professionnel LinkeiIn peuvent depuis quelques mois définir leurs pronoms. L'option facultative est offerte dans cinq pays, dont le Canada. À Montréal, Ubisoft incite aussi l'ensemble de son personnel à ajouter ses pronoms. "Il n'y a pas d'obligation, mais on encourage fortement les gens à le faire, parce qu'on pense que c'est un pas vers un milieu de travail plus inclusif", explique la conseillère en communications internes Laurane Guilbaud, qui a piloté l'initiative pour le studio de jeux vidéos. »
« Préciser ses pronoms ouvre avant tout le dialogue, souligne Florence Gagnon. "Énormément d'alliés le font pour montrer à leurs collègues et à leurs clients leur ouverture, et pour les encourager à faire part de ce qu'ils vivent." »
« La professeure Caterine Bourassa-Dansereau, du Département de communication sociale et publique de l'UQAM, remarque quant à elle que la pandémie et les confinements qui en ont découlé auront étonnamment fait avancer la question, grâce au champ réservé à l'usage des pronoms dans le profil de Zoom. »
« "Mégenrer […] constamment quelqu'un qui ne se reconnaît pas dans les pronoms classiques est un rappel douloureux de la dissonance entre la façon dont la personne se voit et la façon dont elle est perçue. Si elle doit toujours réfléchir à la meilleure manière de corriger poliment ses collègues, ça lui demande de l'énergie et ça empiète sur son rendement", soulève Mouhamadou Sanni Yaya, professeur au Département des sciences de la gestion de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). »
« Mouhamadou Sanni Yaya est convaincu que la pratique fera boule de neige de toute façon. "C'est un phénomène contagieux. Au fur et à mesure que les gens prennent conscience des effets pervers de mégenrer, ils y adhèrent. Ce n'est donc qu'une question de temps". »
« Que l'on dise que potentiellement "on peut dire iel parce que ça vient enrichir la langue et c'est un pronom neutre", pourquoi c'est si choquant? » La question est posée par Élisabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances (telles sont effectivement ses responsabilités officielles).
De son point de vue, cet ajout à l'édition numérique du Robert constitue « un progrès pour les personnes qui ont envie de se reconnaître dans ce pronom ». Et de conclure : « Je ne vois pas ce que ça enlève à ceux qui n'ont pas envie de l'utiliser.. »
C'est oublier la fonction même de la langue : la façon dont vous vous exprimez s'impose à celui auquel vous vous adressez, quelle que soit la façon dont il vous répond. Et cela en dit long sur les mentalités qui gangrènent nos élites, inspirées par une sorte d'individualisme forcené, teinté de communautarisme, qui promeuvent une société de plus en plus fractionnée.
De son point de vue, cet ajout à l'édition numérique du Robert constitue « un progrès pour les personnes qui ont envie de se reconnaître dans ce pronom ». Et de conclure : « Je ne vois pas ce que ça enlève à ceux qui n'ont pas envie de l'utiliser.. »
C'est oublier la fonction même de la langue : la façon dont vous vous exprimez s'impose à celui auquel vous vous adressez, quelle que soit la façon dont il vous répond. Et cela en dit long sur les mentalités qui gangrènent nos élites, inspirées par une sorte d'individualisme forcené, teinté de communautarisme, qui promeuvent une société de plus en plus fractionnée.
« Un couple d'hommes parents d'un enfant né par GPA aux États-Unis s'était vu refuser la prime de naissance par la CAF, ne pouvant présenter de certificat de grossesse. Ils avaient ainsi porté l'affaire devant la Justice du Haut-Rhin en septembre dernier, s'estimant discriminés. Cette dernière n'a cependant pas été sensible aux arguments du couple, qui a été débouté ce 15 novembre par le tribunal de Mulhouse. »
« La ville de Bordeaux vient d'interdire la cigarette aux abords des écoles, une "mesure de protection" que le maire écologiste Pierre Hurmic souhaite étendre autour des crèches, collèges et lycées dans un deuxième temps. […] L'arrêté municipal signé mercredi prévoit l'interdiction de la cigarette dans un périmètre de 50 mètres autour de l'entrée des écoles de la ville, de 7 heures à 19 heures. […] Dans un deuxième temps, la municipalité souhaite étendre la mesure aux crêches et aux établissements de petite enfance, puis aux collèges et lycées, en concertation avec le Département et la Région. […] Pour les parents et autres adultes contrevenants, il leur en coûtera théoriquement 11 euros, mais dans un premier temps, le maire "espère éviter les amendes". "C'est une mesure à visée surtout pédagogique", a-t-il ajouté. » Un mesure « pédagogique » ? On ne compte plus les fois o ce terme est galvaudé.
« Le président mexicain, Andrés Manuel Lopez Obrador, s'est dit opposé lundi [8 novembre 2021] à une régulation des réseaux sociaux. […] "Je crois qu'il faut faire attention à ce qu'il n'y ait pas de régulation, que l'on fasse confiance au citoyen et que l'on s'auto-contrôle", a déclaré le dirigeant de gauche lors de sa conférence de presse quotidienne, interrogé précisément sur le cas de Facebook. […] "Je suis pour qu'il n'y ait pas de censure, pour que personne ne voie sa liberté d'expression limitée, même que les excès soient acceptés, je préfère cela à la censure", a défendu le chef de l'État qui compte 8,2 millions d'abonnés sur Twitter et 7,7 millions d'amis Facebook. "Une entreprise économique, aussi puissante soit-elle […] ne peut faire taire le président d'un pays, cela ne se peut pas, c'est une atteinte, une attaque contre la liberté", a répété le président mexicain. »
Mais en France, le malus va faire vraiment très mal, condamnant cette voiture à une diffusion confidentielle.
« Le plaisir authentique de conduire devient de plus en plus rare. Ou il est inabordable. Ceux qui adorent la Mazda MX-5 mais mais manque d'espace et de performances apprécieront le GR 86. Une voiture analogique à l'ère numérique. On l'aime malgré, ou peut-être à cause de son caractère sauvage. Merci, Toyota ! »
« Le plaisir authentique de conduire devient de plus en plus rare. Ou il est inabordable. Ceux qui adorent la Mazda MX-5 mais mais manque d'espace et de performances apprécieront le GR 86. Une voiture analogique à l'ère numérique. On l'aime malgré, ou peut-être à cause de son caractère sauvage. Merci, Toyota ! »
« Elle n'a rien d'un SUV et exalte au contraire la sportivité et l'élégance des berlines traditionnelles, son style n'a recours à aucun effet baroque et alambiqué. […] La Tesla Model 3 ne coche aucune case du cahier des charges que continue à s'imposer la majorité des constructeurs dans une surenchère pathétique. […] Alors que tous les créateurs rivalisent d'effets de manche, que les stylistes inventent des guirlandes lumineuses de plus en plus kitsch, tailladent leurs carrosseries de plis et déstructurent les volumes, la Tesla Model 3 affiche des lignes simples, logiques, fluides. Elle n'a pas besoin de calandre donc on ne lui en colle pas une fausse. Ses surfaces sont lisses comme un galet. Les flancs sont joliment sculptés, juste assez pour capter les nuances et les lumières. Pas une balafre, pas une cassure, pas de pli intempestif, pas de scarification comme sur ces réalisations de ces designers qui dupliquent et répètent en oubliant les subtilités. Le profil de la Tesla est élancé, surbaissé, filant naturellement. Autour des projecteurs, point de strass ni de boules à facettes comme c'est devenu la règle chez les concurrents.[…] Par charité, on ne citera pas la multitude des constructeurs qui ont oublié cette toute simple. On ne voudrait pas se fâcher avec Toyota, BMW, DS, Hyundai, Peugeot et beaucoup d'autres. »
« Précurseur avec sa Corolla H2, Toyota s'est associée à d'autres constructeurs pour développer une offre de moteurs à combustion hydrogène. Lancée le 13 novembre dernier, cette nouvelle coalition associe Toyota à quatre autres poids lourds de l'industrie japonaise : Mazda, Subaru, Kawazaki et Yamaha. […] Kawasaki et Yamaha comptent notamment travailler sur le développement de moteurs à hydrogène à destination des motos. "Le carbone est l'ennemi, pas les moteurs à combustion interne. Nous avons besoin de solutions diversifiées, c'est la voie à suivre pour atteindre la neutralité carbone" a récemment déclaré Akio Toyoda, P-DG de Toyota. »
« Dans un tweet, Jim Banks a mégenré Rachel Levine, secrétaire adjointe à la santé de l'administration Biden depuis le mois de mars. […] En début de semaine dernière, Rachel Levine a été nommée au titre "d'amiral" du service de santé publique des États-Unis, dont les membres portent des uniformes sans être militaires. Il s'agit de la plus haute fonction jamais atteinte par une personne transgenre dans l'administration américaine. »
« L'étoile montante de la frange la plus conservatrice du Parti républicain, le député de l'Indiana Jim Banks a réagi à cette nomination en tweetant : "Le titre de première femme officier quatre étoiles est pris par un homme", ce qui a entraîné la suspension de son compte Twitter, qui a depuis été rétabli. »
« Un porte-parole du réseau social a expliqué à USA Today que le compte du député était suspendu "jusqu'à ce qu'il supprime le tweet concerné", qui aurait enfreint les conditions d'utilisations de la plateforme. Ces règles proscrivent "de cibler autrui avec des insultes répétées ou d'autres contenus qui ont l'intention de déshumaniser, de dégrader ou de renforcer les stéréotypes négatifs ou préjudiciables à propos d'une catégorie protégée", ce qui inclut le fait de désigner une personne par un genre qui ne lui correspond pas. »
« "Mon tweet était une déclaration de fait. Les grandes plateformes du numérique n'ont pas à être d'accord avec moi, mais elles ne devraient pas pouvoir me censurer", a réagi Jim Banks, au média IndyStar. De son côté, Rachel Levine s'est félicitée de la suspension de ce compte Twitter, en espérant que ce soit "le premier d'une longue liste pour créer un futur plus divers et plus inclusif". »
« L'étoile montante de la frange la plus conservatrice du Parti républicain, le député de l'Indiana Jim Banks a réagi à cette nomination en tweetant : "Le titre de première femme officier quatre étoiles est pris par un homme", ce qui a entraîné la suspension de son compte Twitter, qui a depuis été rétabli. »
« Un porte-parole du réseau social a expliqué à USA Today que le compte du député était suspendu "jusqu'à ce qu'il supprime le tweet concerné", qui aurait enfreint les conditions d'utilisations de la plateforme. Ces règles proscrivent "de cibler autrui avec des insultes répétées ou d'autres contenus qui ont l'intention de déshumaniser, de dégrader ou de renforcer les stéréotypes négatifs ou préjudiciables à propos d'une catégorie protégée", ce qui inclut le fait de désigner une personne par un genre qui ne lui correspond pas. »
« "Mon tweet était une déclaration de fait. Les grandes plateformes du numérique n'ont pas à être d'accord avec moi, mais elles ne devraient pas pouvoir me censurer", a réagi Jim Banks, au média IndyStar. De son côté, Rachel Levine s'est félicitée de la suspension de ce compte Twitter, en espérant que ce soit "le premier d'une longue liste pour créer un futur plus divers et plus inclusif". »
« Certains parents d'élèves ne l'ont pas vu d'un bon œil : une école d'Édimbourg a demandé à ses élèves, garçons et filles, de venir en jupe "pour promouvoir l'égalité". L'affaire a été révélée par le Daily Mail, qui a notamment cité des réactions de parents d'élèves choqués. […] 'école s'est quant à elle défendue en affirmant vouloir être une "école inclusive" et "promouvoir l'égalité". "Nous tenons à dire que les vêtements n'ont pas de genre et que nous devrions tous être libres de nous exprimer comme nous l'entendons", ont quant à eux écrit les professeurs aux parents d'élèves. De son côté, le conseil municipal d'Édimbourg a déclaré que les élèves qui ne voulaient pas se soumettre à cette injonction étaient libres de l'ignorer. »
Jacques Bainville ? « C'est un véritable intellectuel de son temps. À sa mort en 1936, un an après son élection à l'Académie française, rares sont les bibliothèques où il ne figure pas. » Cela commence sans malveillance. « Mais quel rapport avec des "prophéties" ? Elles ne viennent finalement que d'une seule œuvre, Les Conséquences politiques de la paix, parue en 1920. » Cette fois, le ton est donné ! « Ce livre lui donne un crédit incroyable encore jusqu'à maintenant. Finalement, ce crédit rejaillit sur toute son œuvre. » Ce que regrettent manifestement Louis Garrande et Frédéric Potier, les collaborateurs de la Fondation Jean Jaurès.
En effet, de leur point de vue : « Le reste de l'œuvre de Jacques Bainville – pour ce qui relève de ses ouvrages sur l'histoire de France, qui sont les plus vendus encore aujourd'hui – est à prendre avec des pincettes. Déjà en 1929, concernant son Histoire de France, Jean-Rémy Palanque écrivait que "les idées historiques de M. Bainville sont des idées politiques." Mais la chose politique travestie en histoire est dangereuse, car seul l'œil de l'initié peut la démasquer. » Incontestablement, Bainville mettait les faits en perspective, et son regard sur l'histoire est indissociable de ses convictions politiques. Implicitement, cependant les auteurs semblent considérer qu'ils existe, à l'opposé, des historiens qui aborderaient leur matière avec une objectivité absolue, comme des mathématiciens maniant des chiffres… Naïveté, mauvaise foi ?
« Bainville n'a pas la réputation d'un personnage particulièrement sulfureux. […] L'école de la droite contemporaine met en avant la singularité de l'intellectuel au sein de l'Action française et le fait qu'il n'était pas antisémite. On peut noter que cette réception contemporaine de Jacques Bainville est passée par quelques filtres. Tout d'abord, la défense de Jacques Bainville quant à son antisémitisme est précaire : rien ne permet de dire qu'il ne l'était pas. » Lire une chose pareille, sur le site d'une institution qui s'honore de lutter contre le conspirationnisme, c'est ahurissant ! Inversion de la charge de la preuve. Procédé typiquement complotiste. Comme s'il était possible de démontrer qu'un individu n'a jamais pensé ceci ou cela….
La preuve de son antisémitisme, susceptible de le rendre infréquentable, on prétend malgré tout nous l'apporter juste après, à la faveur d'un numéro d'équilibriste dont la répétition suffirait à discréditer nombre de personnalités : « En revanche, certains de ses mots nous permettent de penser qu'il pouvait l'être. Dans Le Vieil Utopiste, paru en 1927, Jacques Bainville écrit à propos de l'écrivain allemand Heinrich Heine que son style est teinté par "la grande impureté de son sang, c'est la névrose juive qui fait de Henri Heine un poète malsain, un poète à déconseiller et à éviter". Dans l'absolu de l'antisémitisme (on l'est ou on ne l'est pas), ça n'a pas de sens de dire que Bainville était moins antisémite que Maurras, même si l'on peut dire qu'ils ne l'exprimaient pas avec la même virulence. Certes, ce n'est pas une dominante de son œuvre comme dans celle de Maurras, mais présenter Jacques Bainville comme un non-antisémite avéré est, sauf preuve du contraire, un mensonge. »
La suite cherche à mettre en cohérence des constats épars. Ce qui reflète surtout les préoccupatiosn des auteurs, avec l'importance qu'ils accordent aux propos de Zemmour sur Pétain, et leur volonté d'y déceler une sorte de sens caché. De quoi faire écho, à nouveau, aux mentalités complotistes ? « Il est intéressant de relever un lien entre les thèses politiques défendues par Jacques Bainville et celles défendues par Éric Zemmour. Le royaliste souhaite un retour à la royauté car l'Action française juge que la bonne tenue de la France est liée à un pouvoir fort, continu […], central, incarné par la personne du roi. […] Zemmour partage cette vision des choses. […] Aussi, lorsqu'il défend la mémoire de Pétain, d'une façon ou d'une autre, il défend la figure qui, pour les royalistes de la collaboration, est celle d'un Pétain presque royal. »
Enfin, le dernier point abordé traduit une incompréhension de ce que sont la démocratie et la monarchie aux yeux de l'AF (à tort ou à raison, là n'est pas la question) : « L'Action française sait pertinemment qu'au XXe siècle, un retour à la monarchie d'Ancien Régime serait difficile à instaurer. En revanche, un régime présidentiel autoritaire, non élu et sans contre-pouvoirs serait une forme de monarchie contemporaine. D'un point de vue philosophique et politique, Zemmour partage cette vision puisqu'il refuse la recherche du consensus démocratique et qu'il veut gouverner uniquement pour sa majorité. » Par définition, la démocratie n'est-elle pas censée conférer le pouvoir à la majorité ? De plus, pour ses détracteurs, du moins prou ses détracteurs d'AF, il existe un bien commun qui transcende les intérêts particuliers, et qui ne saurait être identifié à la faveur d'un vote majoritaire ; c'est parce que la monarchie est censée mieux le servir qu'elle est plébiscitée.
Terminons avec la conclusion, sans commentaire, simplement pour mémoire : « Finalement, force est de constater que Zemmour fait référence à Bainville comme à un modèle à suivre. Néanmoins, il semble pertinent de se poser la question : quel modèle ? Celui d'un journaliste mort il y a quatre-vingts ans, historien douteux, antisémite discret. La réception contemporaine de Bainville tend à aseptiser sa mémoire sulfureuse pour n'en garder que cet adage : en 1919, Bainville avait raison. Il a tout prévu, rien n'a été fait (pas même par l'Action française), la guerre a eu lieu et on oublie la collaboration enthousiasmée de Charles Maurras. Zemmour, en s'identifiant à Bainville, fait deux choses : il s'arroge le crédit de celui qui a prédit dans une seule de ses œuvres la Seconde Guerre mondiale, mettant tout le reste de son œuvre sur le même plan ; ensuite, il se présente comme un prophète du déclin de la France, comparant ce déclin supposé au drame humain, réel, dramatique, qu'a été la Seconde Guerre mondiale. »
En effet, de leur point de vue : « Le reste de l'œuvre de Jacques Bainville – pour ce qui relève de ses ouvrages sur l'histoire de France, qui sont les plus vendus encore aujourd'hui – est à prendre avec des pincettes. Déjà en 1929, concernant son Histoire de France, Jean-Rémy Palanque écrivait que "les idées historiques de M. Bainville sont des idées politiques." Mais la chose politique travestie en histoire est dangereuse, car seul l'œil de l'initié peut la démasquer. » Incontestablement, Bainville mettait les faits en perspective, et son regard sur l'histoire est indissociable de ses convictions politiques. Implicitement, cependant les auteurs semblent considérer qu'ils existe, à l'opposé, des historiens qui aborderaient leur matière avec une objectivité absolue, comme des mathématiciens maniant des chiffres… Naïveté, mauvaise foi ?
« Bainville n'a pas la réputation d'un personnage particulièrement sulfureux. […] L'école de la droite contemporaine met en avant la singularité de l'intellectuel au sein de l'Action française et le fait qu'il n'était pas antisémite. On peut noter que cette réception contemporaine de Jacques Bainville est passée par quelques filtres. Tout d'abord, la défense de Jacques Bainville quant à son antisémitisme est précaire : rien ne permet de dire qu'il ne l'était pas. » Lire une chose pareille, sur le site d'une institution qui s'honore de lutter contre le conspirationnisme, c'est ahurissant ! Inversion de la charge de la preuve. Procédé typiquement complotiste. Comme s'il était possible de démontrer qu'un individu n'a jamais pensé ceci ou cela….
La preuve de son antisémitisme, susceptible de le rendre infréquentable, on prétend malgré tout nous l'apporter juste après, à la faveur d'un numéro d'équilibriste dont la répétition suffirait à discréditer nombre de personnalités : « En revanche, certains de ses mots nous permettent de penser qu'il pouvait l'être. Dans Le Vieil Utopiste, paru en 1927, Jacques Bainville écrit à propos de l'écrivain allemand Heinrich Heine que son style est teinté par "la grande impureté de son sang, c'est la névrose juive qui fait de Henri Heine un poète malsain, un poète à déconseiller et à éviter". Dans l'absolu de l'antisémitisme (on l'est ou on ne l'est pas), ça n'a pas de sens de dire que Bainville était moins antisémite que Maurras, même si l'on peut dire qu'ils ne l'exprimaient pas avec la même virulence. Certes, ce n'est pas une dominante de son œuvre comme dans celle de Maurras, mais présenter Jacques Bainville comme un non-antisémite avéré est, sauf preuve du contraire, un mensonge. »
La suite cherche à mettre en cohérence des constats épars. Ce qui reflète surtout les préoccupatiosn des auteurs, avec l'importance qu'ils accordent aux propos de Zemmour sur Pétain, et leur volonté d'y déceler une sorte de sens caché. De quoi faire écho, à nouveau, aux mentalités complotistes ? « Il est intéressant de relever un lien entre les thèses politiques défendues par Jacques Bainville et celles défendues par Éric Zemmour. Le royaliste souhaite un retour à la royauté car l'Action française juge que la bonne tenue de la France est liée à un pouvoir fort, continu […], central, incarné par la personne du roi. […] Zemmour partage cette vision des choses. […] Aussi, lorsqu'il défend la mémoire de Pétain, d'une façon ou d'une autre, il défend la figure qui, pour les royalistes de la collaboration, est celle d'un Pétain presque royal. »
Enfin, le dernier point abordé traduit une incompréhension de ce que sont la démocratie et la monarchie aux yeux de l'AF (à tort ou à raison, là n'est pas la question) : « L'Action française sait pertinemment qu'au XXe siècle, un retour à la monarchie d'Ancien Régime serait difficile à instaurer. En revanche, un régime présidentiel autoritaire, non élu et sans contre-pouvoirs serait une forme de monarchie contemporaine. D'un point de vue philosophique et politique, Zemmour partage cette vision puisqu'il refuse la recherche du consensus démocratique et qu'il veut gouverner uniquement pour sa majorité. » Par définition, la démocratie n'est-elle pas censée conférer le pouvoir à la majorité ? De plus, pour ses détracteurs, du moins prou ses détracteurs d'AF, il existe un bien commun qui transcende les intérêts particuliers, et qui ne saurait être identifié à la faveur d'un vote majoritaire ; c'est parce que la monarchie est censée mieux le servir qu'elle est plébiscitée.
Terminons avec la conclusion, sans commentaire, simplement pour mémoire : « Finalement, force est de constater que Zemmour fait référence à Bainville comme à un modèle à suivre. Néanmoins, il semble pertinent de se poser la question : quel modèle ? Celui d'un journaliste mort il y a quatre-vingts ans, historien douteux, antisémite discret. La réception contemporaine de Bainville tend à aseptiser sa mémoire sulfureuse pour n'en garder que cet adage : en 1919, Bainville avait raison. Il a tout prévu, rien n'a été fait (pas même par l'Action française), la guerre a eu lieu et on oublie la collaboration enthousiasmée de Charles Maurras. Zemmour, en s'identifiant à Bainville, fait deux choses : il s'arroge le crédit de celui qui a prédit dans une seule de ses œuvres la Seconde Guerre mondiale, mettant tout le reste de son œuvre sur le même plan ; ensuite, il se présente comme un prophète du déclin de la France, comparant ce déclin supposé au drame humain, réel, dramatique, qu'a été la Seconde Guerre mondiale. »
« "Nos démocraties sont soumises à des vents mauvais, à une forme de négation de l'histoire et de ses heures les plus sombres, presque pour effacer notre responsabilité", a-t-elle déploré après une visite du mémorial d'Oradour, où 643 personnes furent massacrées le 10 juin 1944 par la division allemande SS Das Reich. "Si nous ne sommes pas vigilants, si on laisse l'histoire faire son travail d'oubli, d'amnésie, alors tout est possible", a-t-elle alerté face à la presse, estimant que "soit par lâcheté, soit par manque de courage", "tout peut se reproduire". […] "Quand un candidat se permet de dire que le maréchal Pétain et le général de Gaulle c'est la même chose: oui, il y a un vrai risque", a-t-elle abondé plus tard lors d'une conférence de presse, visant directement le candidat putatif d'extrême droite Éric Zemmour. »
Reste que dénoncer des « vents mauvais », a fortiori en pareille circonstance, cela fait forcément écho au discours prononcé en 1941 par le maréchal Pétain : « De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines, un vent mauvais. » Anne Hidalgo et son équipe n'étant pas suspects, à nos yeux, d'avoir voulu commettre une provocation, la conclusion s'impose : ce discours de Pétain, pourtant très connu, ils ne l'ont vraisemblablement jamais lu, ni entendu. Et sans doute ne sont-ils pas les seuls à méconnaître l'historie qu'ils instrumentalisent à des fins politiciennes. Si tel n'était pas le cas, à vrai dire, on n'attaquerait pas si volontiers Zemmour sur ce point !
Reste que dénoncer des « vents mauvais », a fortiori en pareille circonstance, cela fait forcément écho au discours prononcé en 1941 par le maréchal Pétain : « De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines, un vent mauvais. » Anne Hidalgo et son équipe n'étant pas suspects, à nos yeux, d'avoir voulu commettre une provocation, la conclusion s'impose : ce discours de Pétain, pourtant très connu, ils ne l'ont vraisemblablement jamais lu, ni entendu. Et sans doute ne sont-ils pas les seuls à méconnaître l'historie qu'ils instrumentalisent à des fins politiciennes. Si tel n'était pas le cas, à vrai dire, on n'attaquerait pas si volontiers Zemmour sur ce point !
Selon Thomas Sowell, « la question la plus fondamentale n'est pas de savoir ce qui est le mieux, mais qui doit décider de ce qui est le mieux ». Et pour y répondre, peut-être faut-il mentionner cette conviction exprimée par Milton Friedman : « Personne ne dépense l'argent d'autrui aussi soigneusement qu'il dépense le sien. Personne n'utilise les ressources de quelqu'un d'autre aussi soigneusement qu'il utilise les siennes. Donc, si vous voulez de l'efficience et de l'efficacité, si vous voulez que les connaissances soient correctement utilisées, vous devez le faire par le biais de la propriété privée. »
« C'est […] une spécificité de la Renault : contrairement à la Volkswagen, à la Kia EV6 ou à la Hyundai Ioniq 5 notamment, elle a choisi d'avoir le moteur à l'avant, et donc d'être une traction. L'explication principale ? Cette position permet d'atteindre l'objectif n° 1 de Renault : que la Mégane soit la voiture la plus légère de sa catégorie. Ce choix permettrait en effet de réduire la quantité de câblage et autres éléments qui traverseraient la plateforme de part en part si le moteur était à l'arrière. À cela s'ajoute une plateforme renforcée qui permet d'alléger le reste du châssis, des panneaux de carrosserie en alu et en composite, et un moteur électrique lui-même plus léger que celui de la Zoé. Et le résultat est là : avec un poids annoncé de 1 624 kg (pour la version à petite batterie vraisemblablement), la Mégane est près de 400 kg plus légère que les Kia et Hyundai. Celles-ci sont certes bien plus imposantes, mais même la Volkswagen ID.3, dont les dimensions sont très proches de celles de la française, s'incline pour 200 kg. Bref, la mission est accomplie, la Mégane E-Tech Electric affichant presque un poids de voiture essence. »
« Sur la route, cette relative légèreté offre un sentiment de "normalité" inhabituel dans une électrique, au point que nous avions souvent l'impression de conduire une voiture essence. Le confort général aussi est très "normal" selon les standards Renault. Comprenez"d'excellent niveau" ! Et cela change de la plupart des compactes électriques, qui cherchent à stabiliser leur imposante masse en virage au moyen de suspensions plutôt dures, voire exagérément dures. »
« Mais toute médaille a son revers. […] Le fait d'avoir à l'avant un moteur électrique qui donne tout son couple tout de suite a mis en évidence de sérieux soucis de motricité. La malchance (pour Renault) a en effet voulu que nous découvrions la voiture sous la pluie, donc sur route glissante. Et même si votre serviteur n'est certes pas le plus patient des conducteurs, avoir une auto qui, au démarrage, cherche son adhérence pendant quelques secondes, cela fait bizarre. Après quoi, l'antipatinage intervient enfin, mais sans grande finesse, ce qui produit de désagréables à-coups. Plus loin, au moment de négocier un rond-point, ce sont les difficultés du train avant lors des changements d'appuis qui se sont manifestés, ce qui a braqué les projecteurs sur un ESP qui, lui aussi, avait grandement besoin d'un meilleur calibrage. Mais les ingénieurs sont heureusement conscients de ces problèmes, et nous assurent y avoir remédié sur leurs derniers véhicules de développement, en travaillant justement sur l'antipatinage et l'ESP. »
À noter, par ailleurs :
« Renault n'offre pas la possibilité de recharge ultra-rapide 800 volts proposée sur les nouvelles Hyundai Ioniq 5 et Kia EV6. Mais la marque française assure qu'au final et vu l'état du réseau de charge actuel, le résultat sur long parcours sera équivalent, notamment grâce au système de refroidissement des batteries, qui serait très performant sur Mégane et permettrait donc de charger rapidement "à chaud", un point trop souvent négligé. »
« Sur la route, cette relative légèreté offre un sentiment de "normalité" inhabituel dans une électrique, au point que nous avions souvent l'impression de conduire une voiture essence. Le confort général aussi est très "normal" selon les standards Renault. Comprenez"d'excellent niveau" ! Et cela change de la plupart des compactes électriques, qui cherchent à stabiliser leur imposante masse en virage au moyen de suspensions plutôt dures, voire exagérément dures. »
« Mais toute médaille a son revers. […] Le fait d'avoir à l'avant un moteur électrique qui donne tout son couple tout de suite a mis en évidence de sérieux soucis de motricité. La malchance (pour Renault) a en effet voulu que nous découvrions la voiture sous la pluie, donc sur route glissante. Et même si votre serviteur n'est certes pas le plus patient des conducteurs, avoir une auto qui, au démarrage, cherche son adhérence pendant quelques secondes, cela fait bizarre. Après quoi, l'antipatinage intervient enfin, mais sans grande finesse, ce qui produit de désagréables à-coups. Plus loin, au moment de négocier un rond-point, ce sont les difficultés du train avant lors des changements d'appuis qui se sont manifestés, ce qui a braqué les projecteurs sur un ESP qui, lui aussi, avait grandement besoin d'un meilleur calibrage. Mais les ingénieurs sont heureusement conscients de ces problèmes, et nous assurent y avoir remédié sur leurs derniers véhicules de développement, en travaillant justement sur l'antipatinage et l'ESP. »
À noter, par ailleurs :
« Renault n'offre pas la possibilité de recharge ultra-rapide 800 volts proposée sur les nouvelles Hyundai Ioniq 5 et Kia EV6. Mais la marque française assure qu'au final et vu l'état du réseau de charge actuel, le résultat sur long parcours sera équivalent, notamment grâce au système de refroidissement des batteries, qui serait très performant sur Mégane et permettrait donc de charger rapidement "à chaud", un point trop souvent négligé. »