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Visiblement, les restaurants végétariens chers à Nicky Larson (substitut francophone aux love-hotels) n'ont pas totalement fermé… Aujourd'hui, ce sont les Pokemon qui sont frappés par la censure : « Dans cet épisode, Sacha, Ondine […] et Pierre rencontrent un jeune garçon appelé Tommy, qui vit seul dans la forêt. La petite troupe de dresseurs va alors tout faire pour le convaincre de rejoindre sa famille. Sauf que la rencontre entre Tommy et Ondine ne va pas se passer comme prévu. […] Dans la version originale de l'épisode, Tommy devient obnubilé par la poitrine d'Ondine. La caméra effectue alors un zoom sur la poitrine de la dresseuse durant un temps. Tommy lui demande alors si la jeune femme peut l’allaiter, ce qui ne manquera pas d'énerver Ondine, qui va alors décider de le frapper. Dans la version occidentale, le zoom est supprimé et la question remplacée par "Vous humains ou Pokémon ?". […] Une autre scène de cet épisode a été supprimée ! Cette fois-ci, elle concerne le père de Tommy. Dans la version originale de l'épisode, son père, visiblement ravi de voir son fils se réveiller après avoir été assommé, ouvre sa chemise pour demander s'il se souvient avoir été allaité dans son enfance. Pour la version occidentale, la remarque du père a été modifiée, remplacée : "Hey Tommy, tu te souviens de papa ?". Voilà voilà... »
« Alors, la dernière connerie qu'ils ont trouvée pour essayer de lutter contre le racisme, c'est dans le prochain James Bond qu'ils sont en train de tourner en ce moment au cinéma. Le prochain personnage de James Bond, enfin, Agent 007, sera incarné par une femme renoi. Est-ce qu'on n'est pas en train d'aller trop loin dans la lutte contre le racisme ? "My name is Bond, Fatoumata Bond." Non ça ne va pas du tout, je ne suis pas d'accord. James Bond, c'est un personnage, on l'aime comme ça, vous l'aimez comme ça, on ne va pas le changer du jour au lendemain pour un quota. Ou alors OK. On dit que James Bond est une femme renoi. Mais dans ce cas-là, le jour où on tournera le biopic de Michael Jordan au cinéma, je veux que ce soit joué par Thierry Lhermitte, et que tout le monde valide ça normal. »
Peut-être l'auteur de ces propos aurait-il dû s'excuser, mais pas pour les raisons qu'il invoque. Le problème, c'est qu'il propage une infox à propos du prochain James Bond… Pourtant, les exemples ne manquent pas pour dénoncer les dérives de l'antiracisme !
Peut-être l'auteur de ces propos aurait-il dû s'excuser, mais pas pour les raisons qu'il invoque. Le problème, c'est qu'il propage une infox à propos du prochain James Bond… Pourtant, les exemples ne manquent pas pour dénoncer les dérives de l'antiracisme !
En cause : son refus de réécrire sa biographie avec un langage dit inclusif ; son souhait de voir l'élection présidentielle américaine épargnée par la fraude ; et des réserves exprimées au second degré sur le port du masque.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
« Père de City Hunter (alias Nicky Larson), Cat's Eye ou encore Family Compo, Tsukasa Hojo est "un mangaka qui porte des messages universels, bien loin des préjugés dont il fait l'objet. […] Il s'est fait la voix des délaissés, celles et ceux qu'on rejette sans même un regard". C'est par ces mots que Pierre-William Fregonese, dans son nouvel ouvrage, rend hommage à l'un des mangakas les plus influents de ces trente dernières années. Intitulé Forever Tsukasa Hojo, le dernier livre du journaliste nous donne à lire une biographie mais surtout un véritable essai autour de son œuvre. »
« Un homme, âgé de soixante et un ans cette année, qui n'a finalement jamais été vraiment starifié en France, contrairement à son pays natal où son talent a su transcender les générations. Et pour cause, la plupart de ses œuvres ont su (parfois en avance) questionner les lecteurs sur de nombreuses thématiques, à l'image de la place de la femme ou encore la reconnaissance de la communauté LBGT. Avec force détails, Forever Tsukasa Hojo est aussi une enquête particulièrement précise autour d'un auteur qui a toujours su mettre son génie créatif au service de sa liberté d'opinion. »
« Un homme, âgé de soixante et un ans cette année, qui n'a finalement jamais été vraiment starifié en France, contrairement à son pays natal où son talent a su transcender les générations. Et pour cause, la plupart de ses œuvres ont su (parfois en avance) questionner les lecteurs sur de nombreuses thématiques, à l'image de la place de la femme ou encore la reconnaissance de la communauté LBGT. Avec force détails, Forever Tsukasa Hojo est aussi une enquête particulièrement précise autour d'un auteur qui a toujours su mettre son génie créatif au service de sa liberté d'opinion. »
Voilà ce que prévoit le projet de loi de finances pour 2021. Et cela, alors que « début septembre, la ministre reconnaissait que les jeunes éligibles à ce coup de pouce financier et culturel achetaient surtout des objets revendables ».
Connaissez-vous « l'univers extraordinaire des BL aka Boys Love » ?
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« "Tous les deux mois, on traite l'intégralité du cinéma, les fauteuils, la moquette. C'est la fréquence la plus courte proposée sur ce genre de contrat de maintenance, on ne peut pas faire plus", explique Patrice Le Marchand. En plus de la désinfection, qui est effectuée la nuit et s'étale sur une semaine, six chiens passent ensuite dans toutes les salles, à la recherche d'éventuelles punaises de lit. "Ce sont des chiens dressés pour ça. Ils passent au milieu de tous les rangs. Quand ils sentent quelque chose, ils s'arrêtent et lèvent la tête, détaille le directeur du cinéma. »
« Dans Dimension Voyage, Warrius commande le Karyu, mais a connu Albator au sein de la flotte Gaia. Si les deux hommes ont suivi des chemins différents, ils sont restés en bons termes. Warrius apportera une aide discrète mais décisive aux pirates de l'espace, en leur permettant d'accéder à la forteresse du Trident, où repose l'Arcadia n°3 conçu par Tochirô. Malgré sa courte apparition, cette version de Warrius a conservé tout son capital sympathie. »
« Disney va modifier les attractions Splash Mountain de ses parcs américains. […] Le thème actuel de "Splash Mountain" est tiré d'un film Disney très controversé, Mélodie du Sud. Dès sa sortie en 1946, il avait suscité de nombreuses critiques qui lui reprochaient de diffuser des clichés racistes et de peindre sous un jour idyllique les plantations esclavagistes du vieux Sud des États-Unis. Pour ces raisons, le film n'est plus diffusé au cinéma depuis les années 1980 et n'a jamais fait l'objet de sortie en DVD. Mélodie du Sud a également été délibérément tenu à l'écart du catalogue de la plateforme de vidéo à la demande Disney +. »
« La bataille se déroule aussi en France, où les droits du roman de Margaret Mitchell sont entrés dans le domaine public au début de l'année. Spécialiste de la littérature américaine, le petit éditeur Gallmeister, en prévision, avait travaillé à une nouvelle traduction. Ainsi, la phrase citée plus haut devenait : "C'est la nurse de vot'enfant ? Ma'ame Scarlett, l'est trop jeune pour s'occuper du seul bébé de m'sieur Charles !" »
« Ce n'est pas seulement, comme titre Le Figaro, un "coup de jeune". C'est aussi une re-traduction marquée par le souci antiraciste, même si cette révolution reste inachevée. Le "r", banni par la traduction originelle "ptit nèg" de Pierre François Caillé en 1939, n'est pas totalement réhabilité. Il manque toujours à l'appel dans "vot'enfant". Mais ce métaplasme (il me semble que cette suppression s'appelle ainsi, vous me corrigerez) peut ici passer pour du simple langage parlé populaire. La traduction est un art passionnant, mais difficile (voir notre émission). »
« Détenteur des droits de Autant en emporte le vent jusqu'au début 2020, Gallimard aurait pu aussi anticiper, en se colletant à une nouvelle traduction moins tintinesque, voire tout simplement laisser faire Gallmeister. Mais non. Le prestigieux éditeur des pamphlets antisémites de Céline et de Gabriel Matzneff a choisi de publier en Folio une simple réédition de sa traduction originelle, le même jour que la sortie du volume de Gallmeister, en se prémunissant des critiques par l'exhumation d'une lettre de Mitchell au traducteur Caillé : "Je crois que votre traduction est la seule traduction étrangère de mon livre dans laquelle les personnages nègres parlent en dialecte." »
« Ce n'est pas seulement, comme titre Le Figaro, un "coup de jeune". C'est aussi une re-traduction marquée par le souci antiraciste, même si cette révolution reste inachevée. Le "r", banni par la traduction originelle "ptit nèg" de Pierre François Caillé en 1939, n'est pas totalement réhabilité. Il manque toujours à l'appel dans "vot'enfant". Mais ce métaplasme (il me semble que cette suppression s'appelle ainsi, vous me corrigerez) peut ici passer pour du simple langage parlé populaire. La traduction est un art passionnant, mais difficile (voir notre émission). »
« Détenteur des droits de Autant en emporte le vent jusqu'au début 2020, Gallimard aurait pu aussi anticiper, en se colletant à une nouvelle traduction moins tintinesque, voire tout simplement laisser faire Gallmeister. Mais non. Le prestigieux éditeur des pamphlets antisémites de Céline et de Gabriel Matzneff a choisi de publier en Folio une simple réédition de sa traduction originelle, le même jour que la sortie du volume de Gallmeister, en se prémunissant des critiques par l'exhumation d'une lettre de Mitchell au traducteur Caillé : "Je crois que votre traduction est la seule traduction étrangère de mon livre dans laquelle les personnages nègres parlent en dialecte." »
« On va aller contextualiser un film qui ne rapporte plus grand chose, qui n'est pas vraiment regardé par les nouveaux publics (sauf ces derniers jours, merci la pub), et en fait, qui ne touche pas trop à des problématiques chaud-patate. Par exemple, en France, demandez à insérer un encart avant chaque diffusion d'Autant en emporte le vent, vous pourrez vous poser en progressiste à peu de frais. Proposez la même chose avant le clip Jour de Paye de Booba, au motif qu'il y est question de mamans et de "fourrure avec les poils de ta chatte" (sic) et là, vous serez un vil conservateur parce que… et l'art alors, hein ? Quoi c'est violent ? T'as pas les codes ! Quoi ? Quel rapport entre ne pas avoir les codes et contextualiser ? Je… vite, une boule de fumée ninja ! »
« Vous l'aurez compris, contextualiser Autant en emporte le vent, en fait, ça n'a strictement aucun sens en tant que tel. Et si un gamin n'importe où dans le monde décide de prendre ce film comme base pour ses études d'histoire, il est peut-être temps de lui coller une mandale, de le coller dans une machine temporelle et de le renvoyer à l'époque où des ados demandaient à voir ce film, soit il y a environ quatre-vingts ans. »
« La réalité, c'est que nous sommes face à ce que nous ne connaissons que trop bien depuis bien trop longtemps : une formidable hypocrisie, dans laquelle le seul objectif de la petite troupe qui s'y engage est de montrer patte blanche dans un éternel effort de se réclamer d'une supériorité morale imaginaire. Contextualiser ce film, ce n'est ni plus ni moins que de la pub pour rappeler que "Eh les mecs, on vous a dit qu'on trouvait que l'esclavage, c'était pas bien ?" de la part de gens qui estiment souvent que graphiste, c'est pas vraiment un métier. »
« Vous l'aurez compris, contextualiser Autant en emporte le vent, en fait, ça n'a strictement aucun sens en tant que tel. Et si un gamin n'importe où dans le monde décide de prendre ce film comme base pour ses études d'histoire, il est peut-être temps de lui coller une mandale, de le coller dans une machine temporelle et de le renvoyer à l'époque où des ados demandaient à voir ce film, soit il y a environ quatre-vingts ans. »
« La réalité, c'est que nous sommes face à ce que nous ne connaissons que trop bien depuis bien trop longtemps : une formidable hypocrisie, dans laquelle le seul objectif de la petite troupe qui s'y engage est de montrer patte blanche dans un éternel effort de se réclamer d'une supériorité morale imaginaire. Contextualiser ce film, ce n'est ni plus ni moins que de la pub pour rappeler que "Eh les mecs, on vous a dit qu'on trouvait que l'esclavage, c'était pas bien ?" de la part de gens qui estiment souvent que graphiste, c'est pas vraiment un métier. »
« Le scénario assez embrouillé situe toute l’intrigue dans la capitale japonaise au sortir de la guerre dont les conséquences économiques et psychologiques sont toujours vivaces. Un tantinet mélodramatique, Tokyo Joe est surtout intéressant pour la description de la vie à Tokyo dans cette période particulière de l’occupation américaine (SCAP) avec ce qui en découle ainsi que pour la prestation efficace, mais calibrée, d’Humphrey Bogart. […] Les extérieurs, sous la forme de transparences factices, ont été captés au Japon par une seconde équipe ayant obtenu la première autorisation d’après-guerre de filmer la ville de Tokyo : à sa sortie, le film plaira au public, car les spectateurs américains le considéraient comme une sorte de documentaire. Effectivement le tableau du Japon, miné par la défaite et la présence américaine, est intéressant : Stuart Heisler a su évoquer la morosité ambiante dans laquelle se déroule cette histoire d’amour et de trafic aérien. »
« L'alphabet latin aura connu une réussite insolente et toutes les ruptures de l'histoire qui auraient pu remettre en cause son statut l'ont au contraire renforcé dans sa domination. Aujourd'hui, il est le seul alphabet répandu sur les cinq continents habités, le seul à sortir aussi aisément de sa base religieuse du catholicisme occidental, le seul dans lequel toutes les langues importantes disposent d'une transcription. Cela est certainement dû au caractère pratique du système "un son, une lettre" qui lui permet de s'adapter à toutes les langues. Ainsi Rome survit dans la mondialisation moderne. »
« Les Ombres de la République » : le titre de notre page Facebook a été choisi en écho à celui d'un "projet multimédia" lancé par Lucasfilm au milieu des années quatre-vingt dix : « Les Ombres de l'Empire » – ou « Shadows of the Empire » outre-Atlantique.
Au programme, à l'époque, il y avait, entre autres, un roman et – c'était une initiative originale – une musique inspirée de ce livre, composée spécialement pour l'occasion par Joel McNeely. Et voilà qu'elle fairt l'objet d'une réédition, en CD comme jadis, mais aussi – c'est nouveau – en disque vinyle.
Le CD original comportait une petite section multimédia – à une époque où tout le monde était loin de disposer d'un ordinateur pour consulter le contenu d'un CD-ROM. Celui-ci sera-t-il inclus dans la réédition ? On verra bien ! En attendant, c'est avec plaisir qu'on réécoutera plus particulièrement le morceau évoquant la séduction de la princesse Leia… À vos platines !
Au programme, à l'époque, il y avait, entre autres, un roman et – c'était une initiative originale – une musique inspirée de ce livre, composée spécialement pour l'occasion par Joel McNeely. Et voilà qu'elle fairt l'objet d'une réédition, en CD comme jadis, mais aussi – c'est nouveau – en disque vinyle.
Le CD original comportait une petite section multimédia – à une époque où tout le monde était loin de disposer d'un ordinateur pour consulter le contenu d'un CD-ROM. Celui-ci sera-t-il inclus dans la réédition ? On verra bien ! En attendant, c'est avec plaisir qu'on réécoutera plus particulièrement le morceau évoquant la séduction de la princesse Leia… À vos platines !
« En raison de conditions de travail difficiles sur l'archipel, les animateurs sont toujours plus nombreux à rejoindre des studios chinois. Faisant craindre une fuite des cerveaux préjudiciable à tout le secteur. »
Un exemple ?
« Ce qui distingue Colored Pencil Animation Japon de ses homologues japonais, c'est que ses animateurs sont employés par la société en CDI, que le salaire mensuel des jeunes diplômés est supérieur à la moyenne du secteur – avec environ 175 000 yens (1 500 euros) – et que l'équipe travaille dans un environnement convivial avec des horaires flexibles. »
Un exemple ?
« Ce qui distingue Colored Pencil Animation Japon de ses homologues japonais, c'est que ses animateurs sont employés par la société en CDI, que le salaire mensuel des jeunes diplômés est supérieur à la moyenne du secteur – avec environ 175 000 yens (1 500 euros) – et que l'équipe travaille dans un environnement convivial avec des horaires flexibles. »
« Après bien des résistances et un rappel à l'ordre du Conseil d'État, le législateur français a été obligé d'organiser un système de remboursement et d'exonération pour les professionnels appelés eux aussi à payer cette dîme culturelle. Pourquoi les "pro" payent-ils ? Tout simplement parce que la redevance est collectée à l'importation ou première mise en circulation en France, là où il est impossible de déterminer le sort d'un disque dur externe, d'une tour de CD vierges, etc. (copies privées, copies professionnelles). Les remboursements restent à un niveau très faible, puisqu'ils sont conditionnés à la production d'une facture mentionnant la redevance pour copie privée. Pratique rarissime dans la distribution. Les exonérations restent elles à un niveau très faible. En 2015, elles profitaient à 1 720 entreprises. En 2020, le chiffre est donc en recul alors qu'il y a des millions de structures sociales en France. »
Emmanuel Lechypre vient d'être mis en quarantaine… mais pas pour des motifs sanitaires. On espère qu'il reviendra vite à l'antenne ! C'est l'occasion de recommander La Librairie de l'éco, l'excellente émission qu'il anime sur BFM Business. Au programme chaque semaine : un entretien avec un ou deux auteurs, la redécouverte d'un ouvrage notoire paru il y a plusieurs dizaines d'années, et surtout des comptes-rendus de lecture où se confrontent des potins de vue opposés mais néanmoins complémentaires – le plus souvent, ceux de Christian Chavagneux et Jean-Marc Daniel.
Un podcast où vous retrouverez Philippe Mesnard, aux commandes de son émission, avec Gersende Bessède, qui nous fait partager encore une fois sa passion pour la science-fiction, et aussi votre serviteur, pour évoquer Les Chevaliers du Zodiaque et plus particulièrement la figure des femmes dans la saga.
Ce livre consacré à Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque) est expédié dans un emballage bien protégé. Et surtout sa commande vous donne accès à la version numérique de l'ouvrage. Et cela sans verrou numérique pour vous compliquer la vie. On en reparlera quand on l'aura lu, mais, de ce point de vue, c'est un exemple à suivre !
C'est notre Disney préféré ! Alors, forcément, on était curieux d'en découvrir la déclinaison "live". Le résultat n'est pas terrible. Le plaisir est tout particulièrement gâché par la réécriture partielle de l'histoire, motivée par des considérations ouvertement idéologique. Dans l'œuvre d'origine, Jasmine n'était pourtant pas du genre à se laisser marcher sur les pieds…