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Un Dijonnais de dix-huit ans a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir donné un nom incongru à son réseau wifi. La Justice ne plaisante pas avec l'apologie du terrorisme, dont elle entérine une acception très large.
Critique d'une proposition de loi jugée « inutile » voire « pernicieuse » par Me Eolas, animateur du Journal d'un avocat.
Caradisiac rapporte la mésaventure d'un automobiliste injustement verbalisé après avoir soufflé dans le ballon, certes innocenté, mais après un an de procédure.
L'accusé aurait incité un correspondant à commettre un attentat un 31 février... Il n'en a pas moins été condamné à deux ans de prison ferme.
Une voiture achetée d'occasion s'avère défectueuse. Condamné à rembourser, le vendeur fait la sourde oreille. Mais sa victime n'est même pas autorisée à se débarrasser du véhicule, la transaction ayant été annulée par la Justice...
Un internaute aurait été condamné à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir téléchargé onze petits films. Un "forfait" d'une telle banalité que ce verdict apparaît bien injuste au regard des éléments disponibles.
« Ce que souhaite Jean-Jacques Urvoas », rapportent nos confrères du Monde, « c'est donc [...] de rétablir le caractère systématique des fouilles à nu dans certains lieux, comme les parloirs ».
Un internaute aurait été mis en cause sept fois par les autorités en raison d'une erreur informatique. C'est dire les failles de ce dispositif répressif, au-delà des négligences du FAI incriminé. On se croirait dans Brazil !
Lu sur Echoradar : « La loi française semble plus stricte que la loi américaine. [...] À ce sujet, la justice française a récemment sanctionné un jeune Dijonnais pour avoir créé un serveur permettant d'anonymiser des envois d'information. »
La Cour nationale du droit d'asile est censée distinguer les vrais homosexuels des faux. Une tâche ubuesque ou délicate, selon les points de vue, qui résume à certains égards toutes les ambiguïtés touchant à l'accueil des réfugiés.
Perquisitions musclées, arrestations injustifiées : quelques exemples parmi beaucoup d'autres. Il semblerait que nous soyons relativement peu nombreux à nous en indigner. C'est d'autant plus sidérant.
Quand l'outrage vire à l'apologie du terrorisme, cela peut coûter cher, très cher même : un an de prison ferme pour ce boulanger, certes déjà familier des condamnations judiciaires.
Sur la condamnation d'une blogueuse accusée d'avoir dénigré un resrtaurant : autopsie d'une ordonnance de référé surréaliste.
Comment les États-Unis débattent des modalités d'exécution des condamnés à mort. Ou le pendant macabre du concours Lépine. Répugnant.
Un nouvel exemple de désinformation, émanant cette fois-ci du Point, preuve que la réacosphère ne dispose pas d'un monopole en la matière.
Le commentaire de Me Eolas : la voix de la raison, hélas étrangère à bien des esprits militants, complices du règne de l'émotion qu'ils prétendent dénoncer par ailleurs...
Au regard du droit, on peut renier son baptême, mais on ne saurait exiger que toutes les traces en soient effacées.
« Par sa maladresse oratoire, son obstination dans le déni, et sa victimisation systématique », ce gamin bouffi d'orgueil « a ruiné tout ce que sa défense a pu obtenir », raconte Me Eolas. Ce martyr semble avoir piètre allure !
« La peine est sévère, sans être d'une sévérité inouïe, et conforme à ce qui est prononcé en comparution immédiate », soutient Me Eolas.
« Jean-Michel Apathie ne cache pas son étonnement devant la condamnation de Nicolas, jeune manifestant contre la loi Taubira [...] à quatre mois de prison, dont deux fermes. »