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« Le Collectif des Guides Rhône Saône, qui regroupe soixante-dix guides-conférenciers, alerte depuis deux ans sur les dangers que représente la traversée de la voie verte par les croisiéristes débarquant au quai Claude Bernard. Les seniors, souvent étrangers et peu familiers des lieux, doivent traverser une bande cyclable très fréquentée pour rejoindre ou quitter leurs autocars stationnés à proximité. Selon eux, cette voie est devenue "une véritable autoroute cyclable, où jamais un cycliste ne s'arrête pour laisser traverser les piétons, déplorent les guides dans leur dernier communiqué. »
« Malgré une amélioration de la signalisation au printemps 2024, avec des pictogrammes au sol et des panneaux supplémentaires entre les ponts de la Guillotière et de l’Université, la situation reste préoccupante pour ces derniers, "nous n’avons pas vu de changement dans l’attitude des cyclistes". Le 12 septembre dernier, un nouvel accident a impliqué une cycliste et un piéton, aboutissant à l’hospitalisation de la cycliste. Depuis octobre 2022, le collectif a interpellé la Ville et la Métropole de Lyon. Toutefois, leurs derniers courriers de juillet et septembre 2024 sont restés sans réponse. »
« Le collectif demande, par ailleurs, la création de passages piétons, l’installation de panneaux rappelant la priorité aux piétons et des dos d’âne. »
« Malgré une amélioration de la signalisation au printemps 2024, avec des pictogrammes au sol et des panneaux supplémentaires entre les ponts de la Guillotière et de l’Université, la situation reste préoccupante pour ces derniers, "nous n’avons pas vu de changement dans l’attitude des cyclistes". Le 12 septembre dernier, un nouvel accident a impliqué une cycliste et un piéton, aboutissant à l’hospitalisation de la cycliste. Depuis octobre 2022, le collectif a interpellé la Ville et la Métropole de Lyon. Toutefois, leurs derniers courriers de juillet et septembre 2024 sont restés sans réponse. »
« Le collectif demande, par ailleurs, la création de passages piétons, l’installation de panneaux rappelant la priorité aux piétons et des dos d’âne. »
Sens des priorités, utilisation à bon escient des deniers publics, mobilisation des fonctionnaires sur des missions essentielles… Un exemple de plus : « La municipalité a pris des mesures "pour que les Lyonnais se rafraîchissent alors que le Rhône est placé en vigilance orange canicule". Entre autres mesures, les bénéficiaires des minimas sociaux se verront octroyer 5.690 places de cinéma remises par les mairies des arrondissements. »
À l’approche du « Mois des Fiertés », la Métropole de Lyon avait annoncé « une série d’évènements » organisés « en partenariat avec les associations LGBT+ du territoire ». Le dimanche 16 juin 2024, apr exemple, les habitants étaient conviés à « une après-midi ludique et familiale » : « des lectures de contes pour petits et grands seront animées par les drag queens Zanni Lalune et Félusine », était-il précisé ; « des animations ludiques seront aussi proposées sur les stands tenus par les associations LGBT+ partenaires du Mois des Fiertés ». Dont acte.
« Quelle sanction est-il prévue ? » « Seuls les véhicules […] composé d’au moins deux personnes et véhicules Crit’Air 0, ainsi que les taxis et bus pourront emprunter cette voie réservée. » D’accord, c’est l’été, mais est-il si difficile, parmi tous les fonctionnaires embauchés par la métropole de Lyon, d’en trouver un seul susceptible d’écrire un français correct ?
« Entre le pont Bonaparte qui relie le Vieux-Lyon à Bellecour, et la passerelle Saint-Vincent à hauteur de la Fresque des Lyonnais, le coût de nettoyage d'environ 700 mères carrés de tags a été estimé par la collectivité à 55 000 euros. »
« La Métropole de Lyon ne compte pas mettre la main au portefeuille. […] La crainte non dévoilée serait de remettre en état les quais pour finalement devoir recommencer quelques semaines plus tard. Pour contrer cette spirale qu’ils ont eux-mêmes créés, les écologistes envisagent de détaguer puis ensuite d’occuper l’espace en faisant réaliser à des artistes une grande fresque murale le long de la rivière. Sauf que les architectes des Bâtîments de France sont très pointilleux sur ce genre de rajout dans un secteur classé à l’Unesco. »
« Alors en attendant de trouver la solution miracle, ou le chemin jusqu’à son portefeuille, la Métropole laissera les quais dans un état qui ne va faire qu’empirer. De son côté, la Ville de Lyon met en avant l'argent dépensé depuis des mois, car à chaque passage de manifestations anti-réforme des retraites, des dizaines de tags revendicatifs ou insultants apparaissaient sur le parcours. »
« La Métropole de Lyon ne compte pas mettre la main au portefeuille. […] La crainte non dévoilée serait de remettre en état les quais pour finalement devoir recommencer quelques semaines plus tard. Pour contrer cette spirale qu’ils ont eux-mêmes créés, les écologistes envisagent de détaguer puis ensuite d’occuper l’espace en faisant réaliser à des artistes une grande fresque murale le long de la rivière. Sauf que les architectes des Bâtîments de France sont très pointilleux sur ce genre de rajout dans un secteur classé à l’Unesco. »
« Alors en attendant de trouver la solution miracle, ou le chemin jusqu’à son portefeuille, la Métropole laissera les quais dans un état qui ne va faire qu’empirer. De son côté, la Ville de Lyon met en avant l'argent dépensé depuis des mois, car à chaque passage de manifestations anti-réforme des retraites, des dizaines de tags revendicatifs ou insultants apparaissaient sur le parcours. »
Céline de Laurens, adjointe au maire de Lyon chargée de la Santé, le dit explicitement : elle veut « créer une nouvelle norme sociale de comportement ». C'est la raison pour laquelle la mairie écologiste vient d'interdire la cigarette aux abords des écoles. Cela confirme le dévoiement de la politique, plus prononcé encore sous l'impulsion des écologistes : elle ne consiste plus à fixer des règles communes, mais à à s'immiscer dans chaque aspect de sa vie, non pas seulement pour vous imposer des obligations, mais pour façonner vos inclinations, vos aspirations… Cela devrait nous inquiéter.
« C'est une rame de tram un peu particulière qui a été inaugurée ce mercredi matin [15 juin 2022] à Lyon. Il s'agit de la "rame des fiertés", une rame de tramway entièrement revisitée par l'artiste lyonnaise Morgane Fadanelli, dédiée à la lutte contre les LGBTphobies. […] "À l'occasion du Mois des Fiertés, la Métropole réaffirme sa volonté de célébrer la diversité en matière d'identité de genre et d'orientation sexuelle, et de faire cesser tous les actes de violence à l'encontre des personnes LGBT+", a-t-on précisé. Cette rame a été inaugurée par Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon et Michèle Picard, vice-présidente [chargée] de la lutte contre les discriminations et de l'égalité femmes-hommes. »
Voilà ce qu'affirme Bruno Bernard, le président écolo de la Métropole de Lyon. Mais il le fait pour justifier que des vélos soient mis à disposition des personnes en fauteuil roulant. Et certainement pas pour dénoncer les politiques anti-voitures qui vont directement à l'encontre de ce droit à se déplacer librement, en toute autonomie.
La violence au service de la raison ? Réaction après qu'un drapeau français a été brûlé : « Quentin Carpentier, […] adjoint de la maire du 9e, a estimé que "si on relativise, c'est un non événement. Mais l'émotion c'est irrationnel et on doit en tenir compte". Et de poursuivre : "La violence symbolique est nécessaire et légitime si elle est bien dirigée. La violence tout court peut être nécessaire et légitime si elle est bien dirigée. Mais là, c'est une violence symbolique qui tape complètement à côté de la cible et dont l'effet médiatique est négatif". »
« Ce n'est pas toujours facile de faire ses courses sur la place Gabriel-Péri à Lyon. Le Progrès révèle ce samedi que le supermarché Casino de la Guillotière a décidé depuis quelques jours de fermer exceptionnellement ses portes à 17 heures au lieu de 19 h 30. »
« Le groupe stéphanois est obligé au quotidien de faire appel à de nombreux agents de sécurité : cinq au total dont un maître-chien qui surveillent le magasin des vols et des agressions. […] Il y a aussi le problème de l'accessibilité du supermarché, car les attroupements sont nombreux sur la place, surtout lorsque le marché clandestin est installé. »
« Le groupe Casino a reconnu qu'il s'agissait d'une décision unique en France de réduire ainsi la plage horaire d'ouverture de l'établissement de la Guillotière. Le fait qu'il y ait parfois plus d'agents de sécurité que de personnel du supermarché ? Là aussi, c'est du jamais-vu dans le pays. »
« La maire du 7e arrondissement de Lyon, Fanny Dubot, explique au Progrès avoir fait installer des arceaux à vélo devant le Casino dans le but d'empêcher la formation de groupes d'individus. Mais aussi d'avoir proposé au supermarché de déplacer son entrée dans la Grande rue de la Guillotière, ce qui a été refusé par les principaux intéressés. »
« Casino ne sait pas encore s'il repassera un jour aux horaires pleins dans le quartier à cheval sur les 3e et 7e arrondissements. Mais promet qu'il n'envisage pas de fermer définitivement le supermarché. »
« Le groupe stéphanois est obligé au quotidien de faire appel à de nombreux agents de sécurité : cinq au total dont un maître-chien qui surveillent le magasin des vols et des agressions. […] Il y a aussi le problème de l'accessibilité du supermarché, car les attroupements sont nombreux sur la place, surtout lorsque le marché clandestin est installé. »
« Le groupe Casino a reconnu qu'il s'agissait d'une décision unique en France de réduire ainsi la plage horaire d'ouverture de l'établissement de la Guillotière. Le fait qu'il y ait parfois plus d'agents de sécurité que de personnel du supermarché ? Là aussi, c'est du jamais-vu dans le pays. »
« La maire du 7e arrondissement de Lyon, Fanny Dubot, explique au Progrès avoir fait installer des arceaux à vélo devant le Casino dans le but d'empêcher la formation de groupes d'individus. Mais aussi d'avoir proposé au supermarché de déplacer son entrée dans la Grande rue de la Guillotière, ce qui a été refusé par les principaux intéressés. »
« Casino ne sait pas encore s'il repassera un jour aux horaires pleins dans le quartier à cheval sur les 3e et 7e arrondissements. Mais promet qu'il n'envisage pas de fermer définitivement le supermarché. »
« À chaque mandat, des élus oublient de s'effacer au moment voulu, et sont repris de volée avec des accusations de prise illégale d'intérêts et détournements de fonds publics. C'est exactement les faits reprochés à Emeline Baume. […] Le maire LR de Tassin-la-Demi-Lune, Pascal Charmot, a saisi le procureur de la République après le vote en commission permanente le 22 février dernier d'une subvention de 80 000 euros à l'association parisienne FING, pour Fondation Internet Nouvelle Génération. »
« La droite a épluché chaque vote, chaque subvention, et s'est rendue compte que dans le cas présent, Émeline Baume, première vice-présidente de Bruno Bernard, qui avait été rapporteure du vote, présidente de la séance et avait participé au vote, fait partie du conseil d'administration de FING. »
« Faire partie de conseils d'administration est chose courante, et la loi exige que le politique, impliqué de près ou de loin dans une structure concernée par un vote de la collectivité, se retire de la séance au moment où le dossier arrive sur la table. »
« Sauf qu'Émeline Baume a donc réalisé le grand chelem de ce qu'il ne faut absolument pas faire. Du pain béni pour l'opposition qui demande ainsi à la justice d'enquêter sur le poids qu'a pu avoir l'élue écologiste dans le choix de l'association, du montant de la subvention et sur le résultat du vote. »
« La Métropole de Lyon, interrogée par le Progrès, estime qu'il s'agit, dans le cas de FING, d'une "petite erreur de forme" et que la subvention sera revotée prochainement dans les règles. »
« La droite a épluché chaque vote, chaque subvention, et s'est rendue compte que dans le cas présent, Émeline Baume, première vice-présidente de Bruno Bernard, qui avait été rapporteure du vote, présidente de la séance et avait participé au vote, fait partie du conseil d'administration de FING. »
« Faire partie de conseils d'administration est chose courante, et la loi exige que le politique, impliqué de près ou de loin dans une structure concernée par un vote de la collectivité, se retire de la séance au moment où le dossier arrive sur la table. »
« Sauf qu'Émeline Baume a donc réalisé le grand chelem de ce qu'il ne faut absolument pas faire. Du pain béni pour l'opposition qui demande ainsi à la justice d'enquêter sur le poids qu'a pu avoir l'élue écologiste dans le choix de l'association, du montant de la subvention et sur le résultat du vote. »
« La Métropole de Lyon, interrogée par le Progrès, estime qu'il s'agit, dans le cas de FING, d'une "petite erreur de forme" et que la subvention sera revotée prochainement dans les règles. »
Quand nous avons lu cet article, il y était question, à plusieurs reprises, de « Louis 14 ». Cela a depuis été rectifié… bien qu'une parenthèse ait été maintenue, avec la traduction en chiffres arabes, à l'intention des "Grand Lyonnais" qui non seulement ne sauraient pas lire les chiffres romains, mais en plus n'auraient jamais entendu parler du Roi-Soleil, ni de la statue à son effigie qui trône place Bellecour. Notez cependant qu'à linstant où nous le partageons, il est toujours question, dans cet article, du « 19e siècle », en dépit des recommandations typographiques.
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
« Il y a presque deux ans, la rue de la République avait connu un important chantier. L'ensemble des anciens pavés de l'axe piéton du 2e arrondissement de Lyon avaient été enlevés pour laisser la place à des pierres neuves, censées durer dans le temps. »
« Trois mois après avoir fait pleuvoir les coups de pioche en plein centre-ville, les ouvriers s'étaient rendus compte d'une non-conformité dans la pose. […] Les pavés avaient donc été enlevés, puis reposés, avec ce qui devaient être de meilleurs joints. […] Mais […] une nouvelle fois, les joints choisis n'ont pas tenu ! Les pavés commençaient notamment à casser à leurs extrémités. La Métropole de Lyon explique que les travaux initiaux avaient été décalés à cause de la crise sanitaire, puis effectués en période de canicule, "ce qui a entraîné les défauts constatés". […] Les ouvriers devront enlever l'ensemble des briques pour mieux les poser. »
« La Métropole de Lyon indique que l'entreprise qui jongle avec les pavés depuis deux ans prendra en charge le coût de la main-d'œuvre de ce nouveau plantage. Les pierres nécessaires seront néanmoins fournies par la collectivité. »
« Trois mois après avoir fait pleuvoir les coups de pioche en plein centre-ville, les ouvriers s'étaient rendus compte d'une non-conformité dans la pose. […] Les pavés avaient donc été enlevés, puis reposés, avec ce qui devaient être de meilleurs joints. […] Mais […] une nouvelle fois, les joints choisis n'ont pas tenu ! Les pavés commençaient notamment à casser à leurs extrémités. La Métropole de Lyon explique que les travaux initiaux avaient été décalés à cause de la crise sanitaire, puis effectués en période de canicule, "ce qui a entraîné les défauts constatés". […] Les ouvriers devront enlever l'ensemble des briques pour mieux les poser. »
« La Métropole de Lyon indique que l'entreprise qui jongle avec les pavés depuis deux ans prendra en charge le coût de la main-d'œuvre de ce nouveau plantage. Les pierres nécessaires seront néanmoins fournies par la collectivité. »
Le réchauffement climatique, prétexte à l'exploitation optimale du « potentiel fiscal » des Lyonnais
« Une dette maîtrisée n'est pas dangereuse », soutient Audrey Hénocque, adjointe aux Finances ; et d'affirmer « qu'il existe un risque plus grave qu'un endettement de dix ou onze ans pour une ville de cinq cent mille habitants avec un bon potentiel fiscal » ; « je veux parler du dérèglement climatique », précise-t-elle. Dont acte.
Cinquante policiers déployés à Lyon dans le quartier de la Part-Dieu, en début de soirée, le 29 janvier 2021. On traque les citoyens sans histoire qui se montrent à visage découvert ou ne sont pas encore rentrés chez eux, passée l'heure du couvre-feu. Vingt-huit amendes sont distribuées à ce titre. « De plus, cinq personnes ont été interpellées : deux pour recel de vol, une pour port d'arme, une autre pour des violences sur un agent et un pickpocket. » Et cela… en une heure seulement, visiblement !
« Auvergne-Rhône-Alpes a levé 20 millions d'euros sur dix ans, au taux de – 0,005 %. Un taux négatif ! Une première pour une collectivité française, pour un endettement à long terme. […] Auvergne-Rhône-Alpes avait déjà émis en 2019 un emprunt avec un taux d'intérêt négatif, mais c'était sur une maturité beaucoup plus courte de dix-huit mois. »
« En raison de l'abondance des liquidités mises à disposition par les banques centrales, nombre de grands pays développés peuvent depuis quelques années se financer à des taux négatifs. La région présidée par Laurent Wauquiez (LR) peut faire de même grâce à sa forte capacité de désendettement, attestée par la note "AA" (la troisième meilleure possible) accordée par l'agence de rating Standard & Poor's. »
« Auvergne-Rhône-Alpes pourrait disposer d'une note meilleure encore si elle n'était pas bridée par une disposition interdisant à une collectivité de bénéficier d'une note supérieure à celle de l'État. »
« En raison de l'abondance des liquidités mises à disposition par les banques centrales, nombre de grands pays développés peuvent depuis quelques années se financer à des taux négatifs. La région présidée par Laurent Wauquiez (LR) peut faire de même grâce à sa forte capacité de désendettement, attestée par la note "AA" (la troisième meilleure possible) accordée par l'agence de rating Standard & Poor's. »
« Auvergne-Rhône-Alpes pourrait disposer d'une note meilleure encore si elle n'était pas bridée par une disposition interdisant à une collectivité de bénéficier d'une note supérieure à celle de l'État. »
« Ce qui est sur c'est que les Lyonnais et la Vierge Marie se souviendront longtemps de ce 8 décembre 2020. La clameur qui est montée des rues à la fin du spectacle en témoignent ! Dans la pure tradition populaire de cette fête centenaire, sans touristes sans sponsors et sans artifices commerciaux, des Gones (et peut être aussi des Fenottes) ont rendu hommage à la protectrice de la ville et ont paré cette dernière de ses plus beaux atours ! »
À l'occasion du dernier conseil municipal de l'année 2020, la ville de Lyon devait adhérer à l'Association nationale des Villes et Territoires accueillants (ANVITA). Une association dont les membres jugent les arrivées de migrants en Europe « inéluctables en raison des conflits, de la pauvreté et du changement climatique » ; « nous refusons toute politique remettant en cause l’accueil inconditionnel, entravant les libertés fondamentales et constituant une forme de violence institutionnelle », proclament-ils dans la charte de l'association.
« Ce feu d'artifice part d'une quinzaine de postes de tir distants. Il est surtout composé de pièces de feu d'artifice compacts F2 et F3 homologués, qui nécessitent une vingtaine de mètres de sécurité. On notera la présence de fusées de détresse nautiques. Celles-ci ne sont pas utilisées par les artificiers parce qu'elles peuvent dévier avec le sens du vent et devenir, de fait, potentiellement dangereuses. Ces pièces de feu d'artifice sont accessibles légalement et ne nécessitent pas d'autorisation particulière pour l'utilisation. Toutes personnes au-dessus de dix-huit ans peuvent s'en procurer. »
« Avec quinze postes de tir, il faut quinze personnes et un cerveau qui donne le top départ via Whatsapp, un peu comme à l'époque où on le faisait avec les talkies-walkies. Ils n'ont pas dû utiliser des boîtiers numériques de déclenchement automatique, car ceux-ci coûtent bien trop chers. Il faut quinze secondes pour allumer les compacts, quinze secondes pour partir vite, et le feu d'artifice est lancé simultanément. Pour l'allumeur, il ne reste plus qu'à faire semblant d'être ébahi du spectacle et le tour est joué. »
« Il est […] tout à fait normal que les autorités politiques se saisissent de cet événement et agissent en conséquence. Ils prennent leurs responsabilités. Cependant, l'anecdote reste amusante. C'est bien la preuve qu'il est possible d'organiser des feux d'artifice sur plusieurs points distants et sans attroupement. Les Lyonnais semblent très satisfaits de ce tir, le rendu est très réussi, il n'y a pas eu d'accidents, cela montre que le but est rempli. C'est ce que nous avions proposé, et cela nous a été refusé plusieurs fois par les préfets. Cette année, il n'y a pas eu de 14 Juillet. Si, au mois d'avril, nous ne remplissons pas nos carnets de commande, c'est toute notre filière qui risque de disparaître.
« Je perds 1 500 euros par jour, le stockage coûte très cher. J'ai perdu 80 % de mon chiffre d'affaires. Si je n'ai pas de commande pour le 14 Juillet, je ne peux pas m'endetter sur dix ans, je vais devoir déposer le bilan. On ne s'improvise pas artificier, la sécurité est un enjeu qu'il faut savoir maîtriser et qui ne s'apprend pas du jour au lendemain. Aujourd'hui, c'est toute une filière qui est menacée alors que nous pouvons remplir les commandes tout en nous adaptant aux règles sanitaires. »
« Avec quinze postes de tir, il faut quinze personnes et un cerveau qui donne le top départ via Whatsapp, un peu comme à l'époque où on le faisait avec les talkies-walkies. Ils n'ont pas dû utiliser des boîtiers numériques de déclenchement automatique, car ceux-ci coûtent bien trop chers. Il faut quinze secondes pour allumer les compacts, quinze secondes pour partir vite, et le feu d'artifice est lancé simultanément. Pour l'allumeur, il ne reste plus qu'à faire semblant d'être ébahi du spectacle et le tour est joué. »
« Il est […] tout à fait normal que les autorités politiques se saisissent de cet événement et agissent en conséquence. Ils prennent leurs responsabilités. Cependant, l'anecdote reste amusante. C'est bien la preuve qu'il est possible d'organiser des feux d'artifice sur plusieurs points distants et sans attroupement. Les Lyonnais semblent très satisfaits de ce tir, le rendu est très réussi, il n'y a pas eu d'accidents, cela montre que le but est rempli. C'est ce que nous avions proposé, et cela nous a été refusé plusieurs fois par les préfets. Cette année, il n'y a pas eu de 14 Juillet. Si, au mois d'avril, nous ne remplissons pas nos carnets de commande, c'est toute notre filière qui risque de disparaître.
« Je perds 1 500 euros par jour, le stockage coûte très cher. J'ai perdu 80 % de mon chiffre d'affaires. Si je n'ai pas de commande pour le 14 Juillet, je ne peux pas m'endetter sur dix ans, je vais devoir déposer le bilan. On ne s'improvise pas artificier, la sécurité est un enjeu qu'il faut savoir maîtriser et qui ne s'apprend pas du jour au lendemain. Aujourd'hui, c'est toute une filière qui est menacée alors que nous pouvons remplir les commandes tout en nous adaptant aux règles sanitaires. »
« Les tensions se sont notamment déroulées sur le pont de la Guillotière, entre les 2e et 7e arrondissements. Sur place, durant près d'une demi-heure, les policiers ont été la cible de nombreux projectiles, et tout particulièrement des bouteilles. Une véritable pluie de verre s'abattait par moments sur les forces de l'ordre. Et quand un émeutier faisait mouche, en percutant de plein fouet le casque d'un fonctionnaire, la foule exultait. »
« Du carrousel de la Guillotière, en passant par la place Antonin Poncet ou Bellecour, un parterre de débris scintillait après les heurts, entre débris de gaz lacrymogènes et de fumigènes. De quoi interroger sur l'origine de ces munitions de fortune qui ont armé les agitateurs tout au long de l'après-midi. Pas besoin de chercher très loin, les manifestants qui ont participé aux violences n'ont eu qu'à renverser de nombreux silos à verre puis à puiser dans les tas déversés sur la chaussée. […] La préfecture du Rhône, redoutant des débordements, comptait pourtant bien faire enlever les silos sur le tracé de la manifestation.
« Selon nos informations, le préfet du Rhône Pascal Mailhos avait ainsi demandé à la Métropole de Lyon, compétente en la matière, de faire le nécessaire pour au moins retirer le contenu des containers. […] Mais le représentant de l'État dans le Rhône s'est, cette fois, heurté à la maladresse des services du président de la collectivité, l'écologiste Bruno Bernard. En effet, certains silos précisément placés sur le parcours du cortège ont bien été vidés…mais le vendredi après-midi. Une journée plus tard, de nombreux Lyonnais étaient venus déposer leurs stocks de bouteilles vides dans les silos. Pire, d'autres conteneurs pourtant dans le tracé à sécuriser n'ont tout simplement pas été délestés de leurs bouteilles, sauf par les casseurs quand il était trop tard. […] "La demande a évidemment été prise en compte par la Métropole mais il semblerait que le prestataire ait oublié quelques conteneurs", reconnaît la collectivité. »
« Du carrousel de la Guillotière, en passant par la place Antonin Poncet ou Bellecour, un parterre de débris scintillait après les heurts, entre débris de gaz lacrymogènes et de fumigènes. De quoi interroger sur l'origine de ces munitions de fortune qui ont armé les agitateurs tout au long de l'après-midi. Pas besoin de chercher très loin, les manifestants qui ont participé aux violences n'ont eu qu'à renverser de nombreux silos à verre puis à puiser dans les tas déversés sur la chaussée. […] La préfecture du Rhône, redoutant des débordements, comptait pourtant bien faire enlever les silos sur le tracé de la manifestation.
« Selon nos informations, le préfet du Rhône Pascal Mailhos avait ainsi demandé à la Métropole de Lyon, compétente en la matière, de faire le nécessaire pour au moins retirer le contenu des containers. […] Mais le représentant de l'État dans le Rhône s'est, cette fois, heurté à la maladresse des services du président de la collectivité, l'écologiste Bruno Bernard. En effet, certains silos précisément placés sur le parcours du cortège ont bien été vidés…mais le vendredi après-midi. Une journée plus tard, de nombreux Lyonnais étaient venus déposer leurs stocks de bouteilles vides dans les silos. Pire, d'autres conteneurs pourtant dans le tracé à sécuriser n'ont tout simplement pas été délestés de leurs bouteilles, sauf par les casseurs quand il était trop tard. […] "La demande a évidemment été prise en compte par la Métropole mais il semblerait que le prestataire ait oublié quelques conteneurs", reconnaît la collectivité. »