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Paris
« Pour David Belliard, maire adjoint écolo à la "transformation de l'espace public et mobilités", la série qui fait de la capitale une sorte de bonbon sucré instagrammable ne fait pas que véhiculer une image "conservatrice" de la capitale, elle vit sur le "déni climatique". […] Vous l'aurez compris, le déclassement de la capitale n'est donc pas seulement le résultat de la négligence de sa mairie socialiste mais un projet idéologique qui promet de la redessiner pour en chasser les touristes qui ne sont pas encore totalement dégoûtés par l'intermittence des transports publics, la pénurie de chauffeurs de bus, les rats ou encore le saccage du mobilier urbain au nom de l'enchevêtrement de planifications locales. »
« Emily in Paris ne garde de la ville-lumière que ses monuments, sa romance, ses magasins, son architecture. Une ville préservée des idéologies politiques qui défigurent les Champs-Élysées ou la place du Trocadéro, où la porte de la Chapelle et Stalingrad n'existent pas et où l'on ne sait pas ce que sont des élections. Une ville où l'on ne garde que le confort de notre siècle et la beauté de ceux qui l'ont précédé. On ne sait trop s'il faut en vouloir à ladite série car après tout, le but premier de l'art est peut-être, avant d'être engagé, d'être beau, sans compter que nombre de téléspectateurs y cherchent une distraction, non une leçon. La série attire en tout cas les touristes : et si, au lieu d'être fidèle à la ville, elle l'inspirait ? »
« Tout ne s'est pas passé comme prévu, raconte un des fondateurs du projet. […] Le manque de soleil à l'endroit où ils ont été installés a empêché la pompe d'évacuer l'urine dans le réservoir prévu à cet effet. Un problème d'emplacement donc… "On a décidé de l'emplacement des urinoirs en février. Il n'y avait alors pas une feuille sur les arbres. Maintenant, il y a un platane et c'est beaucoup moins ensoleillé", concède Benjamin Clouet de la société Ecosec. Résultat : des traces d'urine sur le trottoir, des odeurs incommodantes, des plantes vertes asséchées et le bois qui entoure les urinoirs qui se détériore de jour en jour. Dans un premier temps, Benjamin Clouet espérait solutionner la question en changeant son emplacement sur le trottoir d'en face, mais rien n'y a fait. »
« Première librairie exclusivement consacrée aux livres destinés aux malvoyants, la Librairie des Grands Caractères ouvrira ses portes, à Paris, rue Laplace, à deux pas du Panthéon, mercredi 20 janvier. Selon la Fédération des aveugles et des amblyopes, il existe, en France, 207 000 aveugles et 932 000 malvoyants. C'est donc à ces derniers ainsi qu'aux lecteurs confrontés à des troubles d'apprentissage ou à des difficultés cognitives que s'adresse cette nouvelle librairie, dirigée par Agnès Binsztok, la directrice éditoriale de deux maisons d'édition spécialisées dans ce secteur, À vue d'œil et Voir de près. »
« La mise en page des ouvrages présentés obéit à une fabrication très spécifique, avec des polices de caractères sobres – sans pleins, déliés ni empattements –, en corps importants (16 ou 20), un interlignage de huit millimètres au minimum et un contraste très défini sur un papier opaque. Le prix des ouvrages s'en ressent et reste plus élevé que le tarif ordinaire. »
« Dans un premier temps, seuls les catalogues des deux maisons d'édition de Mme Binsztok seront proposés à la vente. Soit six cents titres, enrichis de cent cinquante nouveautés par an. […] Jusqu'à présent, les deux maisons d'édition À vue d'œil et Voir de près vendaient majoritairement à des bibliothèques et à des médiathèques. Ses principales consœurs, Feryane, Libra Diffusio et les Editions de La Loupe, ont elles aussi recours à la vente par correspondance. Mme Binsztok les accueillera dans les rayonnages de la librairie à condition qu'elles adoptent sa charte typographique. Son souhait serait d'arriver un jour à ouvrir un lieu encore plus grand. »
« La mise en page des ouvrages présentés obéit à une fabrication très spécifique, avec des polices de caractères sobres – sans pleins, déliés ni empattements –, en corps importants (16 ou 20), un interlignage de huit millimètres au minimum et un contraste très défini sur un papier opaque. Le prix des ouvrages s'en ressent et reste plus élevé que le tarif ordinaire. »
« Dans un premier temps, seuls les catalogues des deux maisons d'édition de Mme Binsztok seront proposés à la vente. Soit six cents titres, enrichis de cent cinquante nouveautés par an. […] Jusqu'à présent, les deux maisons d'édition À vue d'œil et Voir de près vendaient majoritairement à des bibliothèques et à des médiathèques. Ses principales consœurs, Feryane, Libra Diffusio et les Editions de La Loupe, ont elles aussi recours à la vente par correspondance. Mme Binsztok les accueillera dans les rayonnages de la librairie à condition qu'elles adoptent sa charte typographique. Son souhait serait d'arriver un jour à ouvrir un lieu encore plus grand. »
Conclusion sans surprise, tirée d'un article publié le mois dernier : « Sans une politique globale, au minimum au niveau de la région, la pollution due au trafic routier ne baissera pas. »
Comme l'explique Éric Bergerolle, « passer de 50 à 30 km/h ne diminue pas toujours la pollution ». Précisément, « c'est la manière de réduire la vitesse des véhicules qui importe ». De façon à susciter une « onde verte ».