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Cela semble intéressant : « À noter aussi un article sur le lien entre missions conventionnelles et savoir-faire acquis dans les missions de dissuasion et sur l'importance de la guerre électronique. »
De fait, « il n'y a jamais d'urgence à faire car cela ne crée pas de valeur pour l'exploitant ». Outre les risques d'accident, jamais réduits à zéro, le gestion bien incertaine de l'"après" donne quand même à réfléchir.
Les actes d'un colloque, publiés sous la direction de Pierre Pascallon. De quoi donner un bon aperçu des débats actuels sur le sujet, si l'on en croit Olivier Kempf.
« Lorsque j'ai informé ma femme de ma décision de retourner sur le site accidenté, elle m'a simplement répondu de faire ce que je croyais devoir faire », raconte un volontaire. Respect !
Plus que la psychose suscitée par la catastrophe de Fukushima, c'est l'augmentation continuelle des coûts qui menacerait l'énergie nucléaire, selon notre confrère Éric Benhamou.
« Au lieu de remettre en cause l'industrie nucléaire dans son ensemble », Dominique Liuis appelle à « dresser les grands enseignements de la catastrophe » (une autorité forte, un nombre limité d'opérateurs). Nous sommes tentés de le suivre.
Alstom va fournir des turbines aux centrales indiennes, mais la construction d'EPR par Areva suscite de vives oppositions – à tel point qu'un manifestant a trouvé la mort sous les balles de la police.
Alors que Pékin mène actuellement un grand audit de ses centrales, la France s'attend à ce que la Chine rehausse ses exigences en matière de sûreté.
La fin du nucléaire, une majorité de Français se prononce "pour", selon une enquête publiée ce 13 avril. La plupart des sondés refusent toutefois qu'un arrêt à terme des centrales se fasse au détriment de leur portefeuille.
Qui ne veut aucun risque renonce au bénéfice, souligne Jean-Michel Bélouve. Fustigeant le "principe de précaution", il considère que ses agitateurs fuient leurs responsabilités.
Un "mix" d'énergies est toujours un "mix" de risques, souligne Jean-Marc Vittori.
Après l'accident de Tchernobyl en 1986, la France serait le seul pays à avoir conçu et réalisé une flotte d'engins susceptibles d'intervenir en cas de grave accident dans une centrale nucléaire.
Misant sur la poursuite par EDF de sa politique de diversification des fournisseurs, Westinghouse se heurte à une levée de boucliers de certains syndicats et élus locaux... Le gouvernement n'entend pas intervenir.