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C'est un spécialiste qui vous parle ! Rien à voir, donc, avec des propos de comptoir. Au café du commerce, on n'est rarement confronté à un tel étalage de mièvrerie, certes teintée de suffisance : « L'idée c'est de voir ce proche, non pas comme un adversaire, mais comme une victime. […] il faut essayer de trouver un terrain d'entente, en insistant sur les choses qu'on partage. Et pourquoi pas, lui dire qu'on l'aime, qu'on s'inquiète. Rappeler les bons souvenirs qu'on avait avant qu'il ne bascule. L'important c'est de garder un lien. Parce qu'on est encore une opportunité de retour au réel. » Visiblement, sombrer dans le complotisme, c'est plus grave encore que de basculer du côté obscur de la Force.
Et c'est une maladie contagieuse dont il faut absolument de prémunir : « Parfois, il faut savoir mettre un pas de côté. Et lâcher prise. Pour essayer de ne pas briser ce qui reste de lien entre vous. Et surtout ne pas oublier, que dans ce type de situation, il faut aussi prendre soin de vous, parce que vous êtes, vous aussi, une victime collatérale de ces dérives complotistes. » Affligeant.
Et c'est une maladie contagieuse dont il faut absolument de prémunir : « Parfois, il faut savoir mettre un pas de côté. Et lâcher prise. Pour essayer de ne pas briser ce qui reste de lien entre vous. Et surtout ne pas oublier, que dans ce type de situation, il faut aussi prendre soin de vous, parce que vous êtes, vous aussi, une victime collatérale de ces dérives complotistes. » Affligeant.
« "On a vu ces derniers mois une certaine dérive de chaînes d'information qui se sont transformées en chaînes de débat, où opinion valait un fait, et où un fait était présenté comme une opinion. Des prises de parole se sont avérées désastreuses pour la santé publique", a ainsi reproché le sénateur EELV de Lyon Thomas Dossus. "Quels outils y a-t-il pour faire revenir un peu de raison sur ces chaînes d'information ?" »
« Roch-Olivier Maistre, qui a d'ailleurs consulté le professeur Delfraissy (président du Conseil scientifique) pour avoir sa lecture sur la couverture médiatique de la crise sanitaire […], a rappelé que les chaînes étaient tenues de délivrer "une information honnête, avec des points de vue équilibre". […] Roch-Olivier Maistre a rappelé que la loi posait le principe d'un "respect du pluralisme des courants de pensée et d'opinion". Il a considéré que les émissions de débat, avec la présence d'éditorialistes, aux opinions très marquées, posaient un "sujet plus délicat". "On est en droit de rappeler à ces chaînes, à ces éditeurs – et le CSA ne manquera pas de le faire – [qu'on] doit retrouver une pluralité de points de vue", a-t-il prévenu. »
« Roch-Olivier Maistre, qui a d'ailleurs consulté le professeur Delfraissy (président du Conseil scientifique) pour avoir sa lecture sur la couverture médiatique de la crise sanitaire […], a rappelé que les chaînes étaient tenues de délivrer "une information honnête, avec des points de vue équilibre". […] Roch-Olivier Maistre a rappelé que la loi posait le principe d'un "respect du pluralisme des courants de pensée et d'opinion". Il a considéré que les émissions de débat, avec la présence d'éditorialistes, aux opinions très marquées, posaient un "sujet plus délicat". "On est en droit de rappeler à ces chaînes, à ces éditeurs – et le CSA ne manquera pas de le faire – [qu'on] doit retrouver une pluralité de points de vue", a-t-il prévenu. »
« J'ai interpellé le CSA, qui, je vous le rappelle, a un rôle de régulation, et j'ai interpelé également les deux commissions d'enquête au niveau du Sénat et de l'Assemblée nationale. J'en suis à ma vingtième audition de commission d'enquête. […] Il me semble qu'on pourrait aussi entendre des patrons de chaînes, et en particulier de certaines chaînes […] qui font non plus de l'information mais qui créent du débat. Du débat pour faire du buzz ; du buzz pour faire du fric. Il y a un moment donné où il faut savoir s'arrêter. Donc j'ai interpellé le CSA, en disant : moi, cela ne me regarde pas, mais il y a probablement une façon pour le CSA d'avoir un effet de régulation. Je ne sais pas ce qu'il se passera. »
« Vendredi 18 décembre, les élus de Périgueux (Dordogne) ont voté à la majorité pour la mise en place d'un nouveau règlement intérieur du Conseil municipal. Si de nombreux articles du texte ont été discutés, l'opposition a d'abord critiqué le passage à l'écriture inclusive. "Compte tenu de la complexité réelle de notre langue, quel est l'intérêt de cet usage militant de la pratique inclusive qui déconstruit les savoirs, complexifie les pratiques, est inaudible à l'oral, s'affranchit des faits scientifiques et exclut les locuteurs en difficulté au nom de l'idéologie", a notamment fustigé Michel Cadet, du groupe J'aime Périgueux. Précédant les prises de parole, la maire Delphine Labails avait annoncé que sa municipalité était "très attachée" à l'écriture inclusive et qu'elle la conserverait. »
« Le nombre d'appels pour dénoncer des personnes qui ne respectent pas les règles du confinement pendant l'épidémie de coronavirus sont en augmentation et peuvent atteindre jusqu'à 70 % de la totalité des appels reçus par la police dans les grandes agglomérations. »
« Le référent adjoint d'Alternative police dans le Grand-Est, Sylvain André, estime sur France Info que c'est dû à "ce système de jalousie qui se met en place" entre les personnes qui n'ont pas les mêmes conditions de confinement. Pour Sylvain André, "dire que la personne a sorti quatre ou cinq fois son chien, que la personne s'est rendue à plusieurs reprises dans un magasin pour faire ses courses, ou dénoncer des jeunes enfants qui sont en train de s'adonner à des pratiques sportives, c'est effectivement un petit peu excessif" et "il n'y a aucune utilité". »
« À Paris, la maire du 20e arrondissement demande aux habitants de cesser les messages de délation pour non respect du confinement. Les appels encombrent le 17, réservé aux appels d'urgence, rapporte France Bleu Paris. Frédérique Calandra dénonce notamment des "appels fantaisistes" de dénonciation : "Des habitants qui prennent des photos, depuis leur fenêtre, de parents avec enfants en bas âges sortis pour se dégourdir les jambes. Et ils les envoient à la police". »
« Le référent adjoint d'Alternative police dans le Grand-Est, Sylvain André, estime sur France Info que c'est dû à "ce système de jalousie qui se met en place" entre les personnes qui n'ont pas les mêmes conditions de confinement. Pour Sylvain André, "dire que la personne a sorti quatre ou cinq fois son chien, que la personne s'est rendue à plusieurs reprises dans un magasin pour faire ses courses, ou dénoncer des jeunes enfants qui sont en train de s'adonner à des pratiques sportives, c'est effectivement un petit peu excessif" et "il n'y a aucune utilité". »
« À Paris, la maire du 20e arrondissement demande aux habitants de cesser les messages de délation pour non respect du confinement. Les appels encombrent le 17, réservé aux appels d'urgence, rapporte France Bleu Paris. Frédérique Calandra dénonce notamment des "appels fantaisistes" de dénonciation : "Des habitants qui prennent des photos, depuis leur fenêtre, de parents avec enfants en bas âges sortis pour se dégourdir les jambes. Et ils les envoient à la police". »
« Les résultats montrent une baisse de près de 25 %, bien qu'au premier semestre 80 % des expéditeurs habituels continuaient à transférer des fonds, envoyant en moyenne plus de 1 300 euros par an. "La situation sanitaire a ainsi accentué la fragilité d'une partie de ces travailleurs, pris en étau entre la baisse de leurs revenus et les sollicitations fortes de la famille au pays", résume-t-on à l'AFD. Les envois de fonds des diasporas, poursuit-elle, représentent des "sources de revenus essentielles pour de nombreux pays en Afrique", comme au Sénégal où ils représentent 12,8 % du PIB. "Ces montants sont d'ailleurs plus élevés que l'aide publique au développement, même lorsqu'on ne prend pas en compte les transferts informels, eux aussi conséquents." »
« À Grabels, dans l'Hérault, un enfant de sept ans n'a plus le droit d'aller dans son établissement scolaire. […] Le petit garçon est atteint de la maladie de cœliaque. Il s'agit d'une pathologie auto-immune liée à l'intolérance au gluten. Ce n'est pas directement à cause de cette maladie qu'il ne supporte pas le masque. Mais elle a causé chez l'enfant une fragilité psychologique, rendant la situation intolérable. […] Sa mère a tenté, depuis, d'obtenir une dérogation, appuyée par un certificat médical. Elle souhaitait en effet que son enfant puisse continuer à aller à l'école. Mais, l'inspection d'académie s'est opposée à cet aménagement. »
« "Hugo a tout le temps chaud. C'est tout juste s'il supporte un manteau, quel que soit le temps... alors le masque ! Un enfant, cela doit jouer, cela doit respirer normalement. Ce ne sont pas aux enfants de prendre soin de l'adulte, mais aux adultes d'être dans la bienveillance. J'en ai marre de voir souffrir les enfants parce que je pense que cette crise les fait souffrir", dénonce ainsi la mère de famille. »
« "Hugo a tout le temps chaud. C'est tout juste s'il supporte un manteau, quel que soit le temps... alors le masque ! Un enfant, cela doit jouer, cela doit respirer normalement. Ce ne sont pas aux enfants de prendre soin de l'adulte, mais aux adultes d'être dans la bienveillance. J'en ai marre de voir souffrir les enfants parce que je pense que cette crise les fait souffrir", dénonce ainsi la mère de famille. »
« Alors, la dernière connerie qu'ils ont trouvée pour essayer de lutter contre le racisme, c'est dans le prochain James Bond qu'ils sont en train de tourner en ce moment au cinéma. Le prochain personnage de James Bond, enfin, Agent 007, sera incarné par une femme renoi. Est-ce qu'on n'est pas en train d'aller trop loin dans la lutte contre le racisme ? "My name is Bond, Fatoumata Bond." Non ça ne va pas du tout, je ne suis pas d'accord. James Bond, c'est un personnage, on l'aime comme ça, vous l'aimez comme ça, on ne va pas le changer du jour au lendemain pour un quota. Ou alors OK. On dit que James Bond est une femme renoi. Mais dans ce cas-là, le jour où on tournera le biopic de Michael Jordan au cinéma, je veux que ce soit joué par Thierry Lhermitte, et que tout le monde valide ça normal. »
Peut-être l'auteur de ces propos aurait-il dû s'excuser, mais pas pour les raisons qu'il invoque. Le problème, c'est qu'il propage une infox à propos du prochain James Bond… Pourtant, les exemples ne manquent pas pour dénoncer les dérives de l'antiracisme !
Peut-être l'auteur de ces propos aurait-il dû s'excuser, mais pas pour les raisons qu'il invoque. Le problème, c'est qu'il propage une infox à propos du prochain James Bond… Pourtant, les exemples ne manquent pas pour dénoncer les dérives de l'antiracisme !
« Des photos venues de Pologne ont indigné de nombreux internautes. La raison des ces indignations : on y voit des gens poser à l'entrée de leur ville, devant des panneaux jaunes portant l'inscription "zone sans LGBT". Même l'ancien Premier ministre belge et eurodéputé libéral Guy Verhofstadt a réagi à ces photos indiquant : "Cela me fait mal à l'estomac. Je demande instamment à la Commission européenne de prendre des mesures immédiates contre ces pratiques dégoûtantes et contre les autorités polonaises qui ont affiché ces signes anti-LGBTI+." »
« Le député européen, qui a supprimé son tweet depuis, partageait alors un message de Bart Staszewski, un artiste polonais qui explique que ces photos partagées sont en réalité le résultat d'un projet photographique. Et la performance ne consiste pas seulement dans le fait de photographier des personnes LGBT+ devant ces panneaux. En réalité, il a lui-même créé ces pancartes jaunes, comme il l'a expliqué aux journalistes espagnols de Newtral. Il les a réalisées dans le but de dénoncer "les récentes déclarations qui ont été approuvées dans différentes régions et villes du Sud-Ouest du pays, qui se déclarent 'libres' de l'idéologie LGBT". »
« Le député européen, qui a supprimé son tweet depuis, partageait alors un message de Bart Staszewski, un artiste polonais qui explique que ces photos partagées sont en réalité le résultat d'un projet photographique. Et la performance ne consiste pas seulement dans le fait de photographier des personnes LGBT+ devant ces panneaux. En réalité, il a lui-même créé ces pancartes jaunes, comme il l'a expliqué aux journalistes espagnols de Newtral. Il les a réalisées dans le but de dénoncer "les récentes déclarations qui ont été approuvées dans différentes régions et villes du Sud-Ouest du pays, qui se déclarent 'libres' de l'idéologie LGBT". »
« À peine nommé, Clément Beaune a dénoncé sur France Inter les zones "sans LGBT" en Pologne, après des mois de silence de Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères. À Têtu, en kiosques ce mercredi, il annonce son intention de se rendre dans une de ces zones début 2021. "J'irai soutenir une des associations qui défendent le droit à l'avortement", ajoute-t-il. "Je viens d'une famille dans laquelle des personnes ont été déportées parce que juives, il y a seulement deux générations. Cela fait écho en moi. Pour autant, je n'aimerais pas qu'on dise que je me démène contre les zones 'sans LGBT' parce que je suis gay. Ce serait insultant de dire que je mène ce combat pour moi-même", dit-il. »
« Les responsables de la ville de San Francisco ont pris la décision d'interdire la cigarette à l'intérieur des appartements. [….] Fait étonnant : alors que la proposition originale interdisait également le cannabis, les élus ont finalement décidé de retirer ce volet. Les militants étaient montés au créneau affirmant qu'un tel texte leur retirerait le seul endroit légal qu'ils ont pour consommer de la marijuana. […] […] San Francisco est désormais la soixante-troisième ville de Californie à interdire la cigarette à l'intérieur. […] L'ordonnance doit passer par un deuxième vote du conseil la semaine prochaine avant que le maire ne la signe. La nouvelle loi entrera ensuite en vigueur trente jours plus tard. »
« Deux ans de prison avec sursis et dont un an de geôle ferme ! Les juges du tribunal d'instance de Mbour ont fait tonner le maillet. Ils ont suivi les réquisitions du procureur. Les trois pères qui ont encouragé puis poussé la bancale embarcation de leurs enfants, dont le jeune Doudou Faye, au large du Sénégal en direction de l'Espagne, sont ainsi sanctionnés pour "mise en danger de la vie d'autrui". Mise en danger qui a coûté la vie à l'adolescent Doudou, qui s'éteindra sans jamais illuminer son rêve de devenir footballeur international, à l'image d'un Samuel Eto'o ou d'un Sadio Mané. »
Une seule visite par demi-journée ! De quoi obliger les malheureux agents à courir d'un bout à l'autre de la ville… Sans parler des conflits qui en résulteront quand ils sont plusieurs sur le coup. Et pas plus d'un visiteur à chaque fois : un mari et sa femme ne pourront pas faire la moindre visite ensemble ! Alors qu'une famille compte pour une seule personne dans les commerces, soit dit en passant… Autre exigence imposée aux agents immobiliers : obligation de délivrer des bons de visite, à présenter en cas de contrôle policier. Enfin, cerise sur le gâteau : le Gouvernement en fait carrément ses supplétifs, en les priant d'inciter chaque visiteur à télécharger son application Tous Anti-Covid.
Selon le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, « il ne résulte pas des dispositions en vigueur qu'une manifestation sur la voie publique puisse être interdite, au seul motif qu’elle pourrait être regardée comme la manifestation extérieure d’un culte ». Dans un État prétendument laîc, cela devrait sembler évident ! Mais tel n'est pas l'avis des autorités préfectorales… Soit dit en passant, c'est précisément le scandale mis en lumière par une reportage controversé de Quotidien.
Une actrice revendique un changement de sexe ? 20 Minutes le signale… mais sans dire clairement de qui il s'agit. Tout en s'en justifiant : « Cet article a été rédigé en respectant les pronoms avec lesquels Elliot Page a annoncé vouloir être identifié. Dans le même souci du respect de l'identité de cet acteur, nous ne mentionnons pas le "deadname", ou "morinom", c'est-à-dire son ancien prénom. » Surtout au moment où il s'agit, précisément, de rendre public le passage d'un prénom à l'autre", cette pudeur bien-pensante procède d'un ridicule confondant.
« Le tribunal correctionnel de Toulon a considéré que le fait de tousser ostensiblement vers le visage d’un policier, en pleine épidémie de la Covid-19, constituait une "violence sur personne dépositaire de l’autorité publique". Jean-Daniel L., quarante-quatre ans, a été condamné ce mardi à quatre mois de prison ferme. Cet habitant de Saint-Mandrier avait tenté de se soustraire à un contrôle de police du côté des Sablettes, à La Seyne-sur-Mer, le 20 avril 2020. "De toute façon, je n’ai aucune maladie", s’est-il justifié. Le préjudice moral de la victime a été évalué à 400 euros. »
Fait beaucoup plus grave, dont on se demande dans quelle mesure il explique la sévérité du jugement : « Le prévenu avait déjà comparu la semaine passée, devant la même juridiction, pour avoir donné un coup de couteau à un policier lors d’un contrôle routier, alors qu’il avait pris le volant sans permis de conduire. Il avait alors écopé de trois ans de prison et avait été placé en détention à La Farlède. »
Fait beaucoup plus grave, dont on se demande dans quelle mesure il explique la sévérité du jugement : « Le prévenu avait déjà comparu la semaine passée, devant la même juridiction, pour avoir donné un coup de couteau à un policier lors d’un contrôle routier, alors qu’il avait pris le volant sans permis de conduire. Il avait alors écopé de trois ans de prison et avait été placé en détention à La Farlède. »
« Notre enquête est édifiante. Au début, nous étions assez incrédules. Je dois le reconnaître. Cela nous paraissait une bonne grosse blague. […] Nous avons appris, incidemment, que le chef de mission de EUAM Iraq, Christoph Buik, un policier allemand venu de la police spéciale de Cologne, pourtant rodé aux missions internationales de l'ONU en particulier, est aux abonnés absents depuis fin mars. Rentré chez lui, en Allemagne, au moment de la première vague du Covid-19, dans le cadre du rapatriement des personnes jugées "vulnérables", il n'est pas revenu depuis. Il n'est pas le seul. Sur les quelque soixante personnels, onze seulement sont restés sur place. Suivant l'exemple du chef, les autres sont rentrés et télétravaillent. La mission n'est donc plus que l'ombre d'elle-même. »
« Aucun problème, nous a-t-on répondu officiellement. Le chef de mission peut fort bien "exercer ses fonctions à distance, y compris participer aux réunions virtuelles avec les partenaires irakiens ainsi qu'avec les partenaires internationaux" a indiqué un responsable européen à B2. Il peut ainsi "maintenir un contact permanent avec le chef de la mission de l'OTAN, avec le PNUD, l'UNAMI (la mission de l'ONU en Iraq) et le commandement de la coalition" contre Daech. De même, il "est en contact permanent avec le chef de la délégation de l'UE", resté sur place, lui, à Bagdad ! Notre chef d'EUAM Iraq bosse, nous assure-t-on. Le chef de mission "peut utiliser les plateformes virtuelles de coopération et dialogue avec les partenaires". Et "il l'a constamment fait avec une présence très active dans les réunions de la mission". Cela "prouve que ses fonctions ont été assurées d'une manière adéquate ces derniers mois". Et, en même temps, il se soigne. "Depuis plusieurs mois déjà, le chef de mission s'est efforcé, en concertation avec des médecins spécialistes, d'améliorer sa condition médicale pour pouvoir être redéployé." »
« L'idée européenne est ainsi tournée en dérision par ceux-là même sensés la mettre en application. [….] Heureusement, la plupart des autres missions et opérations de la PSDC (en Géorgie, en Centrafrique, en Méditerranée…) n'ont pas une telle attitude et ont, malgré la crise du coronavirus, tenu bon. […] Le laxisme en cours doit cesser. Soit la mission EUAM est fermée. Son inutilité a, en effet, été démontrée au cours des mois. Un bon chef de délégation de l'UE avec quelques experts suffit alors largement. Nul besoin d'une mission PSDC. Soit le fonctionnement de cette mission est repris d'une main ferme. La mission est réorientée. Et ses cadres changés. Une enquête de l'OLAF, l'office européen de lutte anti-fraude, doit aussi être saisie pour faire la lumière sur ce qui apparait, au mieux, comme un gaspillage de fonds européen. »
« La PSDC n'a pas vraiment été conçue pour être un outil de gestion intellectuelle, à distance. Au contraire, elle permettait aux gens de Bruxelles d'avoir des jambes, des yeux et des oreilles sur le terrain. C'est précisé dans l'article 42 du Traité : la PSDC vise à "assurer à l'Union une capacité opérationnelle s'appuyant sur des moyens civils et militaires". Dans l'architecture européenne des missions de la PSDC, il y a un commandant d'opération, le commandant d'opération civile, basé à Bruxelles, et un chef de mission sur le terrain. Ce schéma, somme toute assez classique dans la gestion de crises, distingue le niveau "politique et stratégique" du niveau "technique et tactique". C'est d'ailleurs expressément décrit dans la décision mettant en place EUAM Iraq. "Le chef de mission est responsable de l'EUAM Iraq et en exerce le commandement et le contrôle sur le théâtre d'opérations" (article 6.2). Il "représente l'EUAM Iraq dans sa zone de compétence". »
« Aucun problème, nous a-t-on répondu officiellement. Le chef de mission peut fort bien "exercer ses fonctions à distance, y compris participer aux réunions virtuelles avec les partenaires irakiens ainsi qu'avec les partenaires internationaux" a indiqué un responsable européen à B2. Il peut ainsi "maintenir un contact permanent avec le chef de la mission de l'OTAN, avec le PNUD, l'UNAMI (la mission de l'ONU en Iraq) et le commandement de la coalition" contre Daech. De même, il "est en contact permanent avec le chef de la délégation de l'UE", resté sur place, lui, à Bagdad ! Notre chef d'EUAM Iraq bosse, nous assure-t-on. Le chef de mission "peut utiliser les plateformes virtuelles de coopération et dialogue avec les partenaires". Et "il l'a constamment fait avec une présence très active dans les réunions de la mission". Cela "prouve que ses fonctions ont été assurées d'une manière adéquate ces derniers mois". Et, en même temps, il se soigne. "Depuis plusieurs mois déjà, le chef de mission s'est efforcé, en concertation avec des médecins spécialistes, d'améliorer sa condition médicale pour pouvoir être redéployé." »
« L'idée européenne est ainsi tournée en dérision par ceux-là même sensés la mettre en application. [….] Heureusement, la plupart des autres missions et opérations de la PSDC (en Géorgie, en Centrafrique, en Méditerranée…) n'ont pas une telle attitude et ont, malgré la crise du coronavirus, tenu bon. […] Le laxisme en cours doit cesser. Soit la mission EUAM est fermée. Son inutilité a, en effet, été démontrée au cours des mois. Un bon chef de délégation de l'UE avec quelques experts suffit alors largement. Nul besoin d'une mission PSDC. Soit le fonctionnement de cette mission est repris d'une main ferme. La mission est réorientée. Et ses cadres changés. Une enquête de l'OLAF, l'office européen de lutte anti-fraude, doit aussi être saisie pour faire la lumière sur ce qui apparait, au mieux, comme un gaspillage de fonds européen. »
« La PSDC n'a pas vraiment été conçue pour être un outil de gestion intellectuelle, à distance. Au contraire, elle permettait aux gens de Bruxelles d'avoir des jambes, des yeux et des oreilles sur le terrain. C'est précisé dans l'article 42 du Traité : la PSDC vise à "assurer à l'Union une capacité opérationnelle s'appuyant sur des moyens civils et militaires". Dans l'architecture européenne des missions de la PSDC, il y a un commandant d'opération, le commandant d'opération civile, basé à Bruxelles, et un chef de mission sur le terrain. Ce schéma, somme toute assez classique dans la gestion de crises, distingue le niveau "politique et stratégique" du niveau "technique et tactique". C'est d'ailleurs expressément décrit dans la décision mettant en place EUAM Iraq. "Le chef de mission est responsable de l'EUAM Iraq et en exerce le commandement et le contrôle sur le théâtre d'opérations" (article 6.2). Il "représente l'EUAM Iraq dans sa zone de compétence". »
« Jusqu'à présent, un utilisateur de Tous Anti-Covid était enregistré comme "cas contact" d'une autre personne s'il était resté pendant plus de quinze minutes à moins d'un mètre d'un autre utilisateur déclaré positif au Covid-19. Dorénavant, les critères de distance changent. Tous Anti-Covid préviendra : les personnes restées "à une distance inférieure ou égale à un mètre pendant cinq minutes" d'un utilisateur de l'application déclaré positif au Covid-19 ; les personnes restées "à une distance supérieure à un mètre et inférieure ou égale à deux mètres pendant quinze minutes" d'un utilisateur de Tous Anti-Covid positif au Covid-19. »
Et pendant ce temps, on continue de traquer comme des délinquants les gens réticents à porter un masque dans des rues peu fréquentées, où l'on se croise en seulement quelques secondes, à souvent plusieurs mètres de distance… Logique, non ?
Et pendant ce temps, on continue de traquer comme des délinquants les gens réticents à porter un masque dans des rues peu fréquentées, où l'on se croise en seulement quelques secondes, à souvent plusieurs mètres de distance… Logique, non ?
Une telle négligence, c'est à peine croyable ! « Tout commence avec une bourde monumentale. Sur son compte Twitter, la ministre néerlandaise de la Défense Anlk Bijleveld – ou un membre de son équipe selon le gouvernement néerlandais – publie une photo où l'on peut voir cinq des six chiffres du code PIN permettant d'entrer dans la réunion Zoom. Un "accident" assure le ministère de la Défense. La photo a d'ailleurs été retirée entre temps. Mais Daniël Verlan, journaliste spécialisé dans le ‘tech' pour le média néerlandais RTL News, a eu le temps de voir l'info… […] "J'ai moi-même été un peu choqué que cela fonctionne. Je ne m'attendais pas à ce qu'il n'y ait aucune autre forme de sécurité ou de validation", affirme le journaliste sur Twitter. »
Restreindre au minimum les contacts physiques ne suffit pas ; certains réclament qu'on retire aux échanges à distance le peu de chaleur humaine qu'on pouvait encore leur conférer. Franchement, à quoi bon "sauver la planète" dans ces conditions ?
« L'équipe chargée de la lutte contre le changement climatique au Royaume-Uni s'intéresse à une nouvelle menace : les millions de courriels non nécessaires qui sont envoyés chaque jour, parfois rien que pour dire "merci". [….] L'équipe a été particulièrement intéressée par une étude selon laquelle l'énergie consommée par les plus de 64 millions de courriels non nécessaires envoyés chaque jour par les Britanniques rejette des milliers de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. »
« L'équipe chargée de la lutte contre le changement climatique au Royaume-Uni s'intéresse à une nouvelle menace : les millions de courriels non nécessaires qui sont envoyés chaque jour, parfois rien que pour dire "merci". [….] L'équipe a été particulièrement intéressée par une étude selon laquelle l'énergie consommée par les plus de 64 millions de courriels non nécessaires envoyés chaque jour par les Britanniques rejette des milliers de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. »