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Objectif affiché : augmenter la durée de vie des batteries. Par défaut, à l'occasion d'une mise à jour de Mac OS (version 10.15.5), leur chargement sera limité, à peut-être 80 % de leur capacité, « Apple recommandant de désactiver l'option si l'utilisateur doit profiter de l'intégralité de sa batterie pour des déplacements réguliers ». Cependant, précise Nextimapct, « cette fonction ne sera proposée qu’à l'ensemble des Macbook ayant des ports Thunderbolt 3 ». Par ailleurs, « la machine peut indiquer par erreur que la batterie a besoin d’être vérifiée », mais « le message disparaît alors durant la seconde phase de recharge ».
Comparant les PC portables proposés aujourd'hui par Lenovo et HP, Notebookcheck préfère la gamme "pro" de ce dernier. Entre autres avantages propres à plusieurs de ses modèles : la possibilité d'y connecter un chargeur sans passer par la prise USB. À première vue, celle-ci semble suffisante. Mais en cas de panne (ce qui arrive…), elle est apparemment très coûteuse à réparer.
« Si certains contestent la réalité du phénomène, depuis la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte de 2015, la notion d'obsolescence programmée est définie juridiquement », rappelle Françoise Malrieu, présidente du groupe de travail enjeux climatiques à l'Institut français des administrateurs, dans un article publié par Les Échos en décembre 2019. « Il s'agit de "l'ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise à réduire délibérément la durée de vie d'un produit pour en augmenter le taux de remplacement" », poursuit-elle. De son point de vue, « le terme "techniques" est suffisamment vaste pour englober toutes les formes qui peuvent se manifester pour inciter à un renouvellement rapide des produits ». Même la publicité, voire le design ? En entretenant la confusion entre sabotage et incitation au renouvellement, on franchit un pas de plus que le législateur. À noter : l'auteur de cet article assimile notamment à de l'obsolescence programmée « l'arrêt de la production de pièces de rechange et de pièces détachées (automobile, appareils ménagers), ou l'impossibilité de changer des éléments : batteries de certains téléphones ou les nouvelles spécificités des consommables (imprimantes…) ».
Surfant sur la hantise du coronavirus, les défenseurs des emballages plastiques à usage unique plaident leur cause, à Bruxelles ou ailleurs. Dernièrement, la demande de film aurait tout particulièrement augmenté. « Parallèlement », rapporte Clubic, « un grand nombre d'autorités locales ou nationales ont d'ores et déjà annoncé le report du bannissement des plastiques à usage unique ».
« Alors qu'elle avait déjà fait parlé d'elle, la solution de recyclage enzymatique mise au point par la société française Carbios a figuré, le 8 avril dernier, en une de la prestigieuse revue scientifique Nature. Un coup de projecteur dont les effets se font déjà sentir : en moins d'une semaine, le cours de l'action de la PME auvergnate a plus que doublé pour dépasser les 16 euros à la réouverture de la bourse, mardi 14 avril. […] Concrètement, Carbios a mis au point une enzyme capable de "digérer" les déchets plastiques composés de polytéréphtalate d'éthylène (PET), pour mieux les recycler. Dérivé du pétrole, ce polymère […] se retrouve dans les bouteilles jetables, les barquettes d'emballage ou encore les fibres textiles. Contrairement au recyclage thermomécanique, qui dégrade la qualité du plastique, l'enzyme de Carbios s'attaque à la structure même du polymère pour le réduire à ses composants : les monomères. Qui peuvent ensuite être recombinés pour former du plastique comme neuf, se rapprochant ainsi du rêve d'un recyclage infini. »
Jean-Philippe Thery n'est pas convaincu : « Les promoteurs du retrofit vous expliqueront que l'opération permet de rouler en voiture électrique pour un moindre coût, puisqu'elle ne vous coûtera "que" 5 000 euros. […] Combien de kilomètres faudra-t-il accomplir pour amortir l'investissement ? […] 77 000 kilomètres. […] C'est vrai qu'en se dépêchant pour accomplir les 77 000 kilomètres lui permettant enfin de justifier son achat, l'heureux propriétaire de l'engin aura économisé l'équivalent de quatre vols aller-retour en classe économique entre Paris et Rio de Janeiro, lesquels lui coûteraient – ça tombe bien – environ 5 000 euros. Par égard pour l'effort louable qu'il fournit, on évitera peut-être d'informer notre courageux militant qu'il faudrait environ 268 000 voitures rétrofitées comme la sienne pour compenser les émissions de CO2 de l'intégralité des vols entre les deux villes sur un an. […] Tout ça bien sûr, sans tenir compte des 268 000 mécaniques en état de marche qu'il conviendrait de recycler ou détruire, ni de la logistique pour les transporter… […] Le tarif de 5 .000 euros s'entend "aide de l'État déduite", sans que l'on comprenne très bien le montant de cette dernière, entre 3 000 et 5 000 euros. Quoiqu'il en soit, notre contribution financière est une fois de plus aimablement sollicité pour financer le rétrofit. […] Je réitère donc que, plutôt que de distribuer des chèques aux acquéreurs de véhicules électriques – qu'ils soient d'usine ou rétrofités – l'État et les collectivités locales devraient en équiper les flottes dont l'usage s'y prête particulièrement, lorsque ceux-ci effectuent des trajets récurrents. En rappelant que le développement durable passe aussi par le tri sélectif, y compris des bonnes et des mauvaises idées. »
Lenovo vient de lancer en Chine son modèle A7. Peut-être d'autres initiatives de ce genre suivront-elles !
Cette appareil, placé dans un pot, conseillait des amateurs qui voulaient se faire une main verte. Mais voilà : « Parrot a confirmé que le Flower Power était désormais obsolète », comme le rapporte Mac 4 Ever. C'est « l'occasion de rappeler que tous ces objets connectés ne fonctionnent plus en l'absence de serveur, et que même les produits "lourds" (voitures, TV, chaîne hi-fi, frigo) sont de plus en plus dépendants de la connectivité permanente ».
À noter : « Parrot propose apparemment des API, mais encore faut-il qu'une bonne âme se charge de créer un petit serveur local ». Preuve que l'ouverture du code, quoique souhaitable, n'est pas une solution miracle.
À noter : « Parrot propose apparemment des API, mais encore faut-il qu'une bonne âme se charge de créer un petit serveur local ». Preuve que l'ouverture du code, quoique souhaitable, n'est pas une solution miracle.
Loin s'en faut ! Ifixit épingle le Huawei Mate XS, dont le démontage semble particulièrement délicat.
Entretien passionnant avec Capucine Mercier, P-DG de PLIM, une entrepris des Deux-Sèvres qui se lance dans la fabrication de masques. Sous l'impulsion de l'État, certes, mais en regrettant que la durée d'usage ne soit pas mieux mesurée par les pouvoirs publics.
« Au vu de la demande liée à la pandémie, l'État a décidé de créer de nouveaux "masques barrières" anti-projection de gouttelettes, qui permettent de réserver les masques certifiés FFP1 et FFP2 pour le milieu médical. […] Nous ne travaillons qu'avec du textile, donc lavable et durable. C'est-à-dire qu'une fois qu'on a un masque, il peut durer x années […] et la limite du masque ne vient pas du masque en tant que tel mais des élastiques qui auront plus de mal à résister à des températures de 60 ° C au lavage. Mais ils se changent. […] Le jetable, c'est très bien pour le monde médical mais pas pour l'usage du simple quidam. Cela reviendrait à utilise de la main-d'œuvre pour rien. On perd de l'énergie alors que l'on n'arrive pas à assurer la quantité de masque que l'on doit produire en France pour protéger les gens. […] Depuis la semaine dernière, nous travaillons sur un nouveau prototype que nous aimerions homologuer comme masque chirurgical (FFP1). […] Encore une fois, l'une des limites concerne le lavage : sera-t-on capable de concevoir des masques chirurgicaux respectant la norme Afnor NF EN 14 683 avec les tissus que l'on a à disposition et notre savoir-faire textile ? Si on se rappelle, avant l'arrivée de produits jetables, les compresses médicales étaient lavées, séchées et repassées. C'est donc peut-être faisable, mais rien n'est sûr... »
« Il y a des propositions de masques jetables, de masques lavables et durables […] et de non-tissés. C'est-à-dire qu'ils sont semi-lavables, semi-jetables et qu'ils ne durent que cinq lavages, par exemple. […] Il y a bien une colonne [dans la catégorisation officielle] qui distingue les masques lavables de ceux à usage unique mais pas de différence entre les durables et ceux qui ne sont garantis que pour quelques lavages. Ce n'est pas très clair. […] Les tests doivent être faits sur le nombre de lavages finis que le fabricant impose. C'est-à-dire que, si le confectionneur garantit un masque fabriqué en non-tissé pour cinq lavages, il doit réaliser les tests après ces cinq lavages pour certifier que son produit est toujours efficace jusqu'à ce point. Ce protocole-là, aujourd'hui, n'est pas encore assez bien compris ni suivi. […] Les premières évaluations de la DGA ont été réalisées sur des produits qui n'ont pas été lavés. […] Depuis le 1er avril, la DGA et l'Institut français du textile et de l'habillement (IFTH) ont changé le protocole. […] L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) recommande de laver avec un plateau de 30 minutes à 60°C - ce dont aucune machine ménagère n'est capable – ainsi qu'un séchage mécanique en sèche-linge - ce que tout le monde ne possède pas – et un repassage à 120 ° C. C'est ultra-contraignant ! L'ANSM fait très bien son travail pour donner des règles de désinfection mais elles ne sont pas adaptées aux simples quidams. Maintenant, il y a en quelque sorte un consensus sur les conditions d'usage et de lavage par la voie d'une notice publiée par le groupement national mais je la trouve un peu légère. Depuis le début, de notre côté, nous avions communiqué des pistes d'usage et de lavage des masques pour ne pas laisser les gens au dépourvu. Ces recommandations complètent cette notice mais ne sont pas validées. Je considère que ce n'est pas notre rôle mais celui des organismes de sécurité sanitaire de tester des recommandations adaptées aux citoyens et de les faire valider. »
« Au vu de la demande liée à la pandémie, l'État a décidé de créer de nouveaux "masques barrières" anti-projection de gouttelettes, qui permettent de réserver les masques certifiés FFP1 et FFP2 pour le milieu médical. […] Nous ne travaillons qu'avec du textile, donc lavable et durable. C'est-à-dire qu'une fois qu'on a un masque, il peut durer x années […] et la limite du masque ne vient pas du masque en tant que tel mais des élastiques qui auront plus de mal à résister à des températures de 60 ° C au lavage. Mais ils se changent. […] Le jetable, c'est très bien pour le monde médical mais pas pour l'usage du simple quidam. Cela reviendrait à utilise de la main-d'œuvre pour rien. On perd de l'énergie alors que l'on n'arrive pas à assurer la quantité de masque que l'on doit produire en France pour protéger les gens. […] Depuis la semaine dernière, nous travaillons sur un nouveau prototype que nous aimerions homologuer comme masque chirurgical (FFP1). […] Encore une fois, l'une des limites concerne le lavage : sera-t-on capable de concevoir des masques chirurgicaux respectant la norme Afnor NF EN 14 683 avec les tissus que l'on a à disposition et notre savoir-faire textile ? Si on se rappelle, avant l'arrivée de produits jetables, les compresses médicales étaient lavées, séchées et repassées. C'est donc peut-être faisable, mais rien n'est sûr... »
« Il y a des propositions de masques jetables, de masques lavables et durables […] et de non-tissés. C'est-à-dire qu'ils sont semi-lavables, semi-jetables et qu'ils ne durent que cinq lavages, par exemple. […] Il y a bien une colonne [dans la catégorisation officielle] qui distingue les masques lavables de ceux à usage unique mais pas de différence entre les durables et ceux qui ne sont garantis que pour quelques lavages. Ce n'est pas très clair. […] Les tests doivent être faits sur le nombre de lavages finis que le fabricant impose. C'est-à-dire que, si le confectionneur garantit un masque fabriqué en non-tissé pour cinq lavages, il doit réaliser les tests après ces cinq lavages pour certifier que son produit est toujours efficace jusqu'à ce point. Ce protocole-là, aujourd'hui, n'est pas encore assez bien compris ni suivi. […] Les premières évaluations de la DGA ont été réalisées sur des produits qui n'ont pas été lavés. […] Depuis le 1er avril, la DGA et l'Institut français du textile et de l'habillement (IFTH) ont changé le protocole. […] L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) recommande de laver avec un plateau de 30 minutes à 60°C - ce dont aucune machine ménagère n'est capable – ainsi qu'un séchage mécanique en sèche-linge - ce que tout le monde ne possède pas – et un repassage à 120 ° C. C'est ultra-contraignant ! L'ANSM fait très bien son travail pour donner des règles de désinfection mais elles ne sont pas adaptées aux simples quidams. Maintenant, il y a en quelque sorte un consensus sur les conditions d'usage et de lavage par la voie d'une notice publiée par le groupement national mais je la trouve un peu légère. Depuis le début, de notre côté, nous avions communiqué des pistes d'usage et de lavage des masques pour ne pas laisser les gens au dépourvu. Ces recommandations complètent cette notice mais ne sont pas validées. Je considère que ce n'est pas notre rôle mais celui des organismes de sécurité sanitaire de tester des recommandations adaptées aux citoyens et de les faire valider. »
Michelin et le CEA sont dans le coup. « Le principe de notre masque est de minimiser au maximum la quantité de matériau filtrant et de réduire la surconsommation de masques jetables », explique Pierre Emmanuel Frot. « Distribué avec cinq filtres lavables et réutilisables vingt fois, notre dispositif équivaut à cent masques jetables pour 28 euros », précise-t-il ; selon lui, « le prix de revient par utilisation est donc de 28 centimes, contre 3 euros pour les masques jetables FFP2 ». « Autre innovation », relevée par L'Usine nouvelle : « une fois les filtres utilisés, il suffira d'en racheter sans avoir à jeter le masque ».
Le Gouvernement fait la promotion, via le site Vie publique, d'une « consultation citoyenne pour préparer l'après-crise sanitaire ». Parmi les thèmes abordés : « la mesure du bien commun » et « la lutte contre l'obsolescence programmée ».
Dans cet article, Henri Rivollier salue deux initiatives censées « lutter contre l'obsolescence prématurée ». Et non contre la seule « obsolescence programmée ». C'est assez rare pour être signalé. La nuance peut sembler subtile, mais le choix des mots n'est jamais neutre.
Des entreprises agissent-elles, dans l'ombre, pour saboter leurs produits ? L'auteur de ce billet, Claude-Albéric Maetz, un universitaire, en est visiblement convaincu. Ce faisant, affirme-t-il, ces entreprises « non vertueuses » s'exposent au risque suivant : « la divulgation du secret qui entoure l'élaboration puis la mise en œuvre d'une démarche d'obsolescence programmée ». D'autant que, selon lui, « les outils qui permettent de minimiser le risque juridique lié à la dénonciation des comportements d'obsolescence programmée existent ». Peut-être faudrait-il se demander pourquoi aucun scandale de ce type n'a jamais été dénoncé…
Apple a préféré négocier avec les plaignants, auxquels il versera au moins 310 millions de dollars. « Un accord financier a été donc trouvé entre les deux parties a été trouvé vendredi 28 février 2020, après deux ans de procédure », rapporte L'Usine digitale. Ce faisant, l'entreprise évite « un procès dont les retentissements médiatiques auraient encore davantage écorné son image ». Mais elle conforte aussi ses détracteurs dans leur conviction qu'elle est coupable de saboter délibérément ses propres produits… Ce que contestent pourtant les justices italienne et française.
Constatant un dysfonctionnement sur Facetime, certains s'étaient posé la question : « S'agit-il d'un bug ou Apple a-t-il introduit ce dysfonctionnement intentionnellement afin de rendre ses anciens appareils encore plus obsolètes ? » (Voir l'édition suisse de 20 Minutes.) Quelques jours plus tard, Apple annonce qu'il a corrigé le problème : « Mises à jour correctives pour les I-Phone et I-Pad pris en charge par I-OS 13. Plusieurs soucis sont éliminés, dont celui affectant les appels Facetime qui étaient devenus impossibles avec les appareils sous iOS 9.3.6, Mac OS 10.11.6 et versions antérieures. »
« Dimanche après-midi, les négociants d'électricité sur les marchés de gros en France pouvaient recevoir du courant et se voir verser de l'argent pour cela ! […] La croissance des énergies renouvelables dans les mix énergétiques des pays européens accroît le déséquilibre du marché. Appelés en priorité par le réseau de transport d'électricité, les producteurs d'énergie solaire et éolienne bénéficient en effet de tarifs de rachat garanti de leur électricité. Ils n'ont donc aucun intérêt à débrancher leurs centrales, quelle que soit la demande. […] "Plus on déploiera d'éoliennes, plus les prix négatifs seront fréquents. Cela révèle une faille du marché qui n'arrive pas à gérer les creux de consommations", estime Nicolas Goldberg, du cabinet Colombus Consulting. »
Alors qu'un grave dysfonctionnement affecte toute une série de SSD, cela ne fait aucun doute pour Green IT : c'est un « nouveau cas d'obsolescence programmée ». Il y a pourtant des raisons d'en douter : HPE, notamment, a lui-même publié un communiqué pour avertir ses clients et les appeler à télécharger un correctif ; de quoi prévenir la panne, y compris dans son propre intérêt (risque de réputation, voire de poursuite en cas de perte de données essentielles au fonctionnement d'une entreprise). Ces éléments-là, l'auteur du billet ne les prend pas en considération. Il semble sûr de ses accusations… même s'il avoue ne pas pouvoir les étayer. Sa conclusion est significative : « Il est quasiment impossible de démontrer l'intentionnalité de la démarche de Western Digital. Cependant, lorsque le fabricant a racheté la branche disque dur de Samsung en 2011, il en avait déjà profité pour diviser par deux la durée de garantie, passant à l'époque de cinq à trois ans pour les disques professionnels et de deux à un ans pour les disques grand public. Rien de tel qu'un petit "bug" pour en remettre une couche ! » Inversion de la charge de la preuve ?
HPE met lui-même en garde ses clients contre un grave dysfonctionnement de certains produits. L'installation d'un nouveau firmware permet toutefois d'y remédier. « "Après la défaillance du SSD, ni le SSD ni les données ne peuvent être récupérés", explique HPE dans une note publié ce 20 mars sur son site officiel. La marque précise en outre que "les SSD qui ont été mis en service en même temps seront tous défaillants presque simultanément", et préconise donc d'agir vite. »
« Samsung a tenu sa promesse et remplit sa part du contrat. Le constructeur sud-coréen garantit en effet quatre ans de support logiciel sur ses smartphones. Quatre ans qui, dans le cas du Galaxy S7, sont désormais échus. Mais il faut dire que le Galaxy S7 ne reçoit déjà plus les nouvelles versions d'Android depuis 2018. En effet, seuls Google et OnePlus mettent à jour leurs smartphones vers les nouvelles versions majeures d'Android pendant trois ans. Samsung est limité à deux ans. S'ensuivent des mises à jour moins régulières, destinées à combler d'éventuelles failles de sécurité ou dysfonctionnements divers. Mais tout n'est pas perdu pour les utilisateurs de Galaxy S7. Si Samsung ne daignera plus à l'avenir les maintenir à jour, la communauté Android le fera pour lui. Les forums de XDA sont pleins à craquer de ROM alternatives et, notamment de versions de Lineage OS qui peuvent vous permettre de passer votre Galaxy S7 sur la dernière version d'Android. »