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« Depuis ce mercredi 7 avril, il faut obligatoirement porter un masque sur le littoral (plages), précise l'arrêté préfectoral pris le 6 avril par le préfet des Alpes-Maritimes Bernard Gonzales. La mesure est applicable jusqu'au lundi 3 mai inclus. »
« Il est ainsi mentionné que "le port du masque est de nature à limiter le risque de circulation du virus dans l'espace public caractérisé par une concentration de personnes" et qu'il "y a lieu d'imposer, par souci de lisibilité et de cohérence, le port du masque sur la totalité de l'espace public […] où il existe plusieurs zones à fort risque de contamination". »
« Il faut toutefois préciser que l'obligation du port du masque ne s'applique pas aux personnes pratiquant des activités physiques ou sportives. Ces dernières doivent néanmoins être en possession d'un masque afin de le porter systématiquement dès qu'elles cessent leurs activités et se trouvent à l'arrêt à proximité de piétons. »
« Il est ainsi mentionné que "le port du masque est de nature à limiter le risque de circulation du virus dans l'espace public caractérisé par une concentration de personnes" et qu'il "y a lieu d'imposer, par souci de lisibilité et de cohérence, le port du masque sur la totalité de l'espace public […] où il existe plusieurs zones à fort risque de contamination". »
« Il faut toutefois préciser que l'obligation du port du masque ne s'applique pas aux personnes pratiquant des activités physiques ou sportives. Ces dernières doivent néanmoins être en possession d'un masque afin de le porter systématiquement dès qu'elles cessent leurs activités et se trouvent à l'arrêt à proximité de piétons. »
ette information remonte au mois de janvier, mais elle nous avait échappé, en dépit de sa gravité :
« L'immense fête sauvage organisée à Lieuron, en Ille-et-Vilaine, au moment du Nouvel An, connaît ses premiers rebonds judiciaires. L'un de ses organisateurs a été mis en examen […], a annoncé lundi [4 janvier 2021] le procureur de Rennes. »
« Cet homme de 22 ans avait communiqué le lieu de rendez-vous de la rave-party à plus de mille personnes jeudi dernier, en pleine pandémie de Covid-19. […] Devant la presse, le magistrat a précisé que cet homme, né en 1999, est sans antécédent judiciaire. Il a été mis en examen notamment pour organisation illicite de cette manifestation, mise en danger de la vie d'autrui ou encore tenue illicite d'un débit de boissons. Le procureur a annoncé dans la soirée son placement en détention provisoire. »
« L'organisateur a été interpellé samedi, à 15 heures, à Iffendic (Ille-et-Vilaine). Une perquisition a permis de saisir une somme d'argent qui pourrait provenir de la caisse de l'événement, ainsi que des produits stupéfiants, un important matériel de sonorisation et un véhicule poids lourd, avait précisé le procureur ce week-end. »
« L'immense fête sauvage organisée à Lieuron, en Ille-et-Vilaine, au moment du Nouvel An, connaît ses premiers rebonds judiciaires. L'un de ses organisateurs a été mis en examen […], a annoncé lundi [4 janvier 2021] le procureur de Rennes. »
« Cet homme de 22 ans avait communiqué le lieu de rendez-vous de la rave-party à plus de mille personnes jeudi dernier, en pleine pandémie de Covid-19. […] Devant la presse, le magistrat a précisé que cet homme, né en 1999, est sans antécédent judiciaire. Il a été mis en examen notamment pour organisation illicite de cette manifestation, mise en danger de la vie d'autrui ou encore tenue illicite d'un débit de boissons. Le procureur a annoncé dans la soirée son placement en détention provisoire. »
« L'organisateur a été interpellé samedi, à 15 heures, à Iffendic (Ille-et-Vilaine). Une perquisition a permis de saisir une somme d'argent qui pourrait provenir de la caisse de l'événement, ainsi que des produits stupéfiants, un important matériel de sonorisation et un véhicule poids lourd, avait précisé le procureur ce week-end. »
« Le petit avion à hélice traînant une banderole de supermarché au-dessus des plages appartiendra sans doute bientôt au passé. L'Assemblée nationale a voté vendredi l'interdiction de cette forme de publicité à l'horizon 2022. La mort programmée de cette activité a été approuvée en première lecture par les députés qui examinent le projet de loi "climat et résilience". »
« Le parquet de Paris a classé sans suite une enquête ouverte fin janvier contre le chanteur Francis Lalanne […], a-t-on appris auprès de son avocat. À la suite d'une tribune publiée sur le site en ligne France Soir le 22 janvier, le parquet avait ouvert une enquête pour "provocation à la commission d'atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation", confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) qui avait entendu le chanteur le 5 février. Dans cette tribune intitulée "J'appelle", ce dernier assurait qu'"il faut à présent mettre l'État hors d'état de nuire au peuple français" et demandait la "destitution" du chef de l'État, Emmanuel Macron. […] Le parquet a jugé l'infraction insuffisamment caractérisée, selon Me Emmanuel Ludot, pour qui "cette décision est logique". »
« Le ministère de l'Intérieur l'avait annoncé : si les déplacements interrégionaux n'étaient pas interdits, les forces de l'ordre étaient néanmoins mobilisées pour veiller au respect des règles sanitaires durant ce week-end de Pâques. Une famille en a fait les frais sur une plage de La Grande-Motte (Hérault) ce dimanche lorsqu'elle s'est vue infliger trois amendes de 135 euros, et donc un total de 405 euros, pour avoir consommé une bouteille de rosé alors que la consommation d'alcool est désormais interdite sur la voie publique. »
« Mais au-delà de l'amende, de nombreux internautes se sont interrogés sur l'armement de ces gendarmes. Sur les images diffusées par la presse régionale, on voit en effet distinctement un membre des forces de l'ordre portant un impressionnant fusil, en présence d'enfants et sur un lieu de plaisance. Le gendarme en question porte en effet un HK G36, un fusil d'assaut qui équipe certaines unités de police et de gendarmerie, depuis le passage de Bernard Cazeneuve au ministère de l'Intérieur afin de faire face à la menace terroriste. »
« À la Gendarmerie nationale, on nous explique que le gendarme est issu d'un peloton de surveillance et intervention de la Gendarmerie (PSIG) et qu'il s'agit de son armement habituel : « Ce gendarme issu du PSIG vient prêter renfort au gendarme départemental qui dresse le PV, il n'y a rien d'anormal à cela. Nous sommes en période de vigilance haute concernant le terrorisme et, lorsque l'on part en intervention, on ne sait jamais sur quoi on va tomber : il ne fait que porter son arme habituelle qu'il n'aurait certainement pas pu laisser dans le véhicule. En cas d'appel, ce gendarme doit pouvoir intervenir immédiatement dans une église attaquée ou pour faire face à une agression. Et même dans une intervention sur un lieu de plaisance, on ne sait jamais sur qui on tombe. »
« Mais au-delà de l'amende, de nombreux internautes se sont interrogés sur l'armement de ces gendarmes. Sur les images diffusées par la presse régionale, on voit en effet distinctement un membre des forces de l'ordre portant un impressionnant fusil, en présence d'enfants et sur un lieu de plaisance. Le gendarme en question porte en effet un HK G36, un fusil d'assaut qui équipe certaines unités de police et de gendarmerie, depuis le passage de Bernard Cazeneuve au ministère de l'Intérieur afin de faire face à la menace terroriste. »
« À la Gendarmerie nationale, on nous explique que le gendarme est issu d'un peloton de surveillance et intervention de la Gendarmerie (PSIG) et qu'il s'agit de son armement habituel : « Ce gendarme issu du PSIG vient prêter renfort au gendarme départemental qui dresse le PV, il n'y a rien d'anormal à cela. Nous sommes en période de vigilance haute concernant le terrorisme et, lorsque l'on part en intervention, on ne sait jamais sur quoi on va tomber : il ne fait que porter son arme habituelle qu'il n'aurait certainement pas pu laisser dans le véhicule. En cas d'appel, ce gendarme doit pouvoir intervenir immédiatement dans une église attaquée ou pour faire face à une agression. Et même dans une intervention sur un lieu de plaisance, on ne sait jamais sur qui on tombe. »
« L'Agence France-Presse a fait part de son mécontentement concernant un canular de la marque Volkswagen, qu'elle a qualifié d'"abus de confiance très grave". Mardi, la branche américaine du constructeur avait annoncé officiellement que la marque était rebaptisée "Voltswagen" afin d'enclencher son virage vers l'énergie électrique. De nombreux médias, dont l'AFP, avaient repris cette information. »
« "Nous comprenons quand un porte-parole n'est pas en mesure de confirmer ou de commenter une information. Mais nous n'avons jamais pensé qu'ils puissent faire de fausses déclarations", a déclaré l'AFP dans une lettre destinée au groupe Volkswagen. Et d'ajouter dans le courrier : "Nous pensons fermement que des journalistes et médias rigoureux ne devraient pas être utilisés par des entreprises comme Volkswagen à des fins de marketing et de publicité. Pour nous, il s'agit d'un abus de confiance très grave qui ne doit pas se reproduire". »
Des médias « rigoureux » ne devraient-ils pas surtout se poser plus de questions ? Tout le monde n'es n'est pas tombé dans le piège aussi facilement que l'AFP. Dans Challenges, par exemple, Éric Bergerolle est toujours resté méfiant.
« "Nous comprenons quand un porte-parole n'est pas en mesure de confirmer ou de commenter une information. Mais nous n'avons jamais pensé qu'ils puissent faire de fausses déclarations", a déclaré l'AFP dans une lettre destinée au groupe Volkswagen. Et d'ajouter dans le courrier : "Nous pensons fermement que des journalistes et médias rigoureux ne devraient pas être utilisés par des entreprises comme Volkswagen à des fins de marketing et de publicité. Pour nous, il s'agit d'un abus de confiance très grave qui ne doit pas se reproduire". »
Des médias « rigoureux » ne devraient-ils pas surtout se poser plus de questions ? Tout le monde n'es n'est pas tombé dans le piège aussi facilement que l'AFP. Dans Challenges, par exemple, Éric Bergerolle est toujours resté méfiant.
« Samedi 3 avril, une messe de Pâques de quatre heures, célébrée en l'église Saint-Eugène-Sainte-Cécile à Paris (9e), s'est tenue sans aucun respect des règles sanitaires. […] Étienne, 31 ans et Parisien, venu ce jour-là pour le baptême de son frère, se retrouve au milieu d'une église "pleine à craquer". Horrifié, il a tenu à alerter Le Parisien en nous envoyant le lien de la vidéo de la cérémonie. […] Sur la vidéo, on assiste aussi à une série de baptêmes où les personnes se plongent la tête dans l'eau d'un même baptistaire, les uns après les autres. "Je suis encore sous le choc. À un un moment où la situation sanitaire en France est grave, où on en est à fermer les écoles… Voir de tels comportements… C'est tout simplement criminel ! C'est dangereux !", s'insurge notre témoin. »
« Les enquêteurs ont conclu qu'Erna Solberg avait été la co-organisatrice et avait dépassé le nombre d'invités autorisés. Ils lui ont infligée 20 000 couronnes d'amendes soit un peu plus de 2 000 euros. Dans un communiqué, le commissaire a rappelé que "la loi était la même pour tous" et surtout que la Première ministre avait une image publique à faire respecter : "Madame Solberg est la plus importante élue du pays, et a, à plusieurs occasions, été la figure de proue des décisions du gouvernement sur les mesures visant à enrayer la pandémie. Il est donc jugé justifié de donner une sanction pour maintenir la confiance du public dans les règles sanitaires." Une sanction qu'avait déjà acquiescé la Première ministre puisque après les révélations de ces épisodes de dîners, elle s'était excusée publiquement et s'était dite prête à recevoir une amende. »
Alors que trois cents Lyonnais venaient de se rassembler au bord de la Saône, Xavier Martinage a affirmé dans Capital ( 31/03/2021) que « tous les participants étaient en situation de délit puisque […] ils ne respectaient pas la limite de rassemblement de six personnes, ils consommaient également de l'alcool sur la voie publique et ceux qui sont restés après 19 heures, violaient le couvre-feu ». C'était certes illégal, mais de là à ériger leur action en délit, il y a un pas que le pouvoir n'a pas encore osé franchir ! Du moins au regard du droit, car en pratique, il est vrai que c'est d'ores et déjà une autre affaire. C'est affligeant de constater à quel point les journalistes peuvent être complices de cette confusion.
« En Seine-Saint-Denis, la situation serait très critique : dans un lycée à Drancy, on dénombrerait même pas moins de vingt parents d'élèves morts du Covid-19. C'est, en tout cas, ce que titraient de très nombreux médias, lundi matin [29 mars 2021], la nouvelle dramatique s'étant répandue comme traînée de poudre : "Seine-Saint-Denis : vingt parents d'élèves d'un même lycée sont morts du Covid-19" (Paris Match), "Coronavirus à Drancy : au lycée Eugène-Delacroix où vingt parents d'élèves sont décédés et 22 classes seront fermées dès lundi" (20 Minutes), "Le cas hors normes du lycée de Drancy, où le Covid-19 a tué 20 parents d'élèves, la fermeture demandée" (La Dépêche), etc. […] 1 % des deux mille adolescents qui fréquentent l'établissement auraient perdu leur père ou leur mère, des adultes pourtant sans doute pour la plupart à peine quadragénaires ? Sauve qui peut ! Il y a, en effet, de quoi se claquemurer chez soi. »
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« En 1971, 343 femmes affirment avoir avorté illégalement par le manifeste des 343. Cinquante ans plus tard, nous sommes 343 femmes et personnes pouvant vivre une grossesse à déclarer avoir avorté au-delà des délais légaux français. » Parmi les signataires figurent les chanteuses Vanessa Paradis et Yael Naim, les actrices Laure Calamy et Isabelle Carré ou encore l'ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem.
« "La Murcie sera la première région autonome à autoriser le veto éducatif parental", titre le journal de centre-gauche El Pais, samedi 20 mars. Le gouvernement de la région autonome située dans le Sud-Est de l'Espagne veut adopter une mesure qui permette aux parents de censurer les activités éducatives de leurs enfants à l'école, en particulier sur des questions morales ou liées à la sexualité. […] Cette mesure incluant le veto parental "prévoit notamment le consentement tacite (…) des parents, qui devront s'opposer expressément à ce que leurs enfants assistent à tel ou tel débat ou atelier sur le temps scolaire", dévoile le quotidien le plus lu du pays. »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Le Gouvernement a remis au Conseil d'État un mémoire, qui n'a pas été publié mais dont Contexte a eu une copie, dans lequel il lui demande de contourner les arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) car ils seraient contraires à "l'identité constitutionnelle française", en particulier à la protection de la sécurité intérieure qui doit prévaloir sur la protection de la vie privée. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
Témoignage édifiant de Léonidas Kalogeropoulos (Médiations et Arguments), lors d'un entretien avec Stéphane Soumier diffusé le 24 mars 2021 :
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« Selon Le Figaro, la journaliste de France Info, Claire Koç, a annoncé […] avoir déposé plainte pour incitation à la haine, harcèlement et menaces de mort contre des militants pro-Erdogan. Elle fait désormais l'objet d'une protection policière. […] "Dès les premiers articles (sur son livre, NDLR), j'ai commencé à recevoir beaucoup d'insultes sur les réseaux sociaux, surtout sur Twitter. Puis des menaces", a-t-elle confié au Figaro. Et d'ajouter : "En alléguant que je serais une terroristes kurde, ces dingues ultranationalistes m'ont collé une cible dans le dos ! Ça fait peur car ça ne s'arrête pas. J'ai comptabilisé plus de 1 500 messages haineux, provenant de Turcs de France, mais aussi d'immigrés maghrébins et africains". "Mes parents, membres de la minorité religieuse des alévis, ont fui cette animosité des ultrareligieux en Turquie. Et moi, je revis ces intimidations ici...", a conclu Claire Koç. »
Extrait d'un reportage signé Thierry Vincent, publié le 23 mars 2021, rendant compte d'une manifestation organisée à Annecy pour contester les règles sanitaires. De la part de Marianne, on ne s'attendait pas à de telles inepties. Jugez par vous-même :
« Derrière cette joie de vivre apparente grenouillent en réalité des complotistes parfois proches de l'extrême droite. Déjà, le nom du collectif organisateur, "le grand rassemblement", peut faire penser au "grand remplacement", la thèse popularisée par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus, selon laquelle les élites mondialistes ont organisé la substitution de la population blanche de notre continent par des extra-européens. Jacques Roura, l'organisateur, ne voit pas le problème. Naïveté feinte ou véritable ignorance, l'homme affirme ne jamais avoir entendu parler du grand remplacement. "C'est un hasard malencontreux", se hasarde cet ancien mélenchoniste. »
« Derrière cette joie de vivre apparente grenouillent en réalité des complotistes parfois proches de l'extrême droite. Déjà, le nom du collectif organisateur, "le grand rassemblement", peut faire penser au "grand remplacement", la thèse popularisée par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus, selon laquelle les élites mondialistes ont organisé la substitution de la population blanche de notre continent par des extra-européens. Jacques Roura, l'organisateur, ne voit pas le problème. Naïveté feinte ou véritable ignorance, l'homme affirme ne jamais avoir entendu parler du grand remplacement. "C'est un hasard malencontreux", se hasarde cet ancien mélenchoniste. »
« Il ressort du compte rendu visé ci-dessus que, au cours de l'émission "Face à l'info" diffusée sur le service de télévision C-News le 29 septembre 2020, un chroniqueur s'est exprimé sur la situation des mineurs étrangers isolés en France et a notamment déclaré à plusieurs reprises qu'ils étaient, pour la "plupart" ou "tous" des "voleurs", des "violeurs" et des "assassins", à tout le moins qu' "il y en a beaucoup qui le deviennent", évoquant une "invasion" à laquelle la France devrait mettre un terme. Ces propos, émanant d'une personne bénéficiant d'une large exposition médiatique, ont été tenus à un horaire de diffusion susceptible d'attirer des audiences significatives. Aucune réaction marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« Ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs » : tel est le portrait des mineurs étrangers isolés brossé par Éric Zemmour. Cela n'a pas été du goût du CSA, qui vient de prononcer, en conséquence, une sanction à l'encontre de C-News.
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».
« L'Église catholique va-t-elle pouvoir continuer à proclamer sa doctrine ? C'est la question que pose la mise en examen, le 24 février dernier, de Jean-Pierre Maugendre, le directeur de publication du site internet Renaissance Catholique, pour "provocation à la discrimination à l'égard d'un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle". Cette mise en examen fait suite à une plainte, avec constitution de partie civile, déposée par l'association Stop Homophobie le 30 juillet 2020. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
« Mercredi soir, Yann Barthès a reçu dans Quotidien sur TMC l'historienne et psychanalyste Élisabeth Roudinesco, auteure de Soi-même comme un roi – Essai sur les dérives identitaires, publié aux éditions Seuil. Lors de son intervention, l'invitée a provoqué la colère de certains internautes après des propos sur les personnes transgenres. "Il n'y a pas un troisième sexe. Il y a une bisexualité. Il y a un genre. Le transgenre a été invité à partir de personnes qui avaient des problèmes avec l'identité. Ce qu'on a appelé le transexualisme. Il ne faut pas les discriminer. Ça existe. Mais je trouve qu'il y a un peu une épidémie de transgenres. Il y en a beaucoup trop", a déclaré Élisabeth Roudinesco, installant un malaise sur le plateau. Elle s'est alors expliquée : "Il y a des gens qui se sentent dans une identité qui n'est pas la leur depuis l'enfance. C'est appelé le transexualisme. Quand un enfant de huit ans dit qu'il est de l'autre sexe, en quoi est-il habilité ?" »
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !