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« Le 14 mars [2024] au soir, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité en première lecture, une loi visant à lutter contre l’ultra-fast-fashion. Elle prévoit la définition d’une pratique commerciale de collections vestimentaires et d’accessoires à renouvellement très rapide, l’interdiction de la publicité pour les produits et entreprises relevant d’une pratique commerciale de collections à renouvellement très rapide et le renforcement des critères d’éco-modulation en fonction d’un éco-score. C’est ce dernier point qui inquiète les acteurs de l’habillement. »
« "Au départ, le malus devait être appliqué selon des critères de volume. C’est la semaine passée, le 7 mars, quand la proposition de loi a été examinée par la commission du Développement durable que les critères ont été changés", explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »
« "La méthodologie est trop complexe. Plusieurs critères dépassent le cadre strictement environnemental et sont dénués d’études d’impact ou de bases scientifiques, déplore Yohann Petiot. En plus, la méthodologie s’éloigne sur de très nombreux points du dispositif européen de calcul de l’empreinte environnementale (PEFCR) qui sera lui aussi soumis à une consultation publique à partir du 18 mars prochain par l’Union européenne." Le gouvernement avait promis de la simplification, ce ne sera visiblement pas pour tout de suite. En développant un éco-score différent de celui qui est en cours au niveau européen, il risque de créer une énième usine à gaz administrative. "Le calcul prôné par l’Union européenne se base sur une méthodologie scientifique, rigoureuse, qui a fait l’objet de dix ans de travail pour être mise au point. À l’inverse, les critères qu’a présenté l’Ademe ne se basent pas sur une méthode scientifique mais sur des choix arbitraires. Ils nous ont parlé de "durabilité émotionnelle"", déplore Christophe Girardier, dirigeant de Glimpact, qui accompagne les industriels sur le calcul de leur empreinte environnementale. »
« Pour un même produit, la note pourrait donc être différente en France et dans les autres pays d’Europe. "Certains critères présentés par l’Ademe ne sont pas compatibles avec les exigences européennes. D’un point de vue juridique, si la France met en œuvre son système, la nullité de son décret d’application pourrait être prononcée par les instances européennes", souligne Christophe Girardier. "En plus, on ne voit pas comment la DGCCRF pourrait contrôler en Chine la véracité des éco-scores qu’afficheront les acteurs de l’ultra-fast-fashion. Si la loi qui veut lutter contre ses acteurs se base sur cet éco-score, elle risque de rater sa cible et au final, pénaliser des acteurs français", déplore Yohann Petiot. C’est pourquoi les acteurs se mobilisent. L’Alliance du Commerce, l’Union françaises des Industries mode et habillement (UFIMH) et la Fédération Maille, Lingerie et Balnéaire ont écrit à Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires pour l’alerter. »
« "Au départ, le malus devait être appliqué selon des critères de volume. C’est la semaine passée, le 7 mars, quand la proposition de loi a été examinée par la commission du Développement durable que les critères ont été changés", explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »
« "La méthodologie est trop complexe. Plusieurs critères dépassent le cadre strictement environnemental et sont dénués d’études d’impact ou de bases scientifiques, déplore Yohann Petiot. En plus, la méthodologie s’éloigne sur de très nombreux points du dispositif européen de calcul de l’empreinte environnementale (PEFCR) qui sera lui aussi soumis à une consultation publique à partir du 18 mars prochain par l’Union européenne." Le gouvernement avait promis de la simplification, ce ne sera visiblement pas pour tout de suite. En développant un éco-score différent de celui qui est en cours au niveau européen, il risque de créer une énième usine à gaz administrative. "Le calcul prôné par l’Union européenne se base sur une méthodologie scientifique, rigoureuse, qui a fait l’objet de dix ans de travail pour être mise au point. À l’inverse, les critères qu’a présenté l’Ademe ne se basent pas sur une méthode scientifique mais sur des choix arbitraires. Ils nous ont parlé de "durabilité émotionnelle"", déplore Christophe Girardier, dirigeant de Glimpact, qui accompagne les industriels sur le calcul de leur empreinte environnementale. »
« Pour un même produit, la note pourrait donc être différente en France et dans les autres pays d’Europe. "Certains critères présentés par l’Ademe ne sont pas compatibles avec les exigences européennes. D’un point de vue juridique, si la France met en œuvre son système, la nullité de son décret d’application pourrait être prononcée par les instances européennes", souligne Christophe Girardier. "En plus, on ne voit pas comment la DGCCRF pourrait contrôler en Chine la véracité des éco-scores qu’afficheront les acteurs de l’ultra-fast-fashion. Si la loi qui veut lutter contre ses acteurs se base sur cet éco-score, elle risque de rater sa cible et au final, pénaliser des acteurs français", déplore Yohann Petiot. C’est pourquoi les acteurs se mobilisent. L’Alliance du Commerce, l’Union françaises des Industries mode et habillement (UFIMH) et la Fédération Maille, Lingerie et Balnéaire ont écrit à Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires pour l’alerter. »
On-Mag présente cinq modèles recommandés par Ecoustics : Thorens TD-125, VPI HW-19, Technics SL-1700, Yamaha YP-701 et Dual 701. « Cette sélection se cantonne à des modèles d'occasion dont les marques existent toujours en 2023 et dont les pièces détachées seraient a priori disponibles. »
« Souvenez-vous… Il y a quasiment un an, sur le plateau de BFM, Michel-Édouard Leclerc (sentant la peur de l'inflation avant les autres) annonce bloquer le prix de la baguette à 29 centimes. […] Le 15 avril […], un boulanger de Nice (indépendant mais sous enseigne Paul) attaque l'enseigne devant l'Autorité de la Concurrence. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
En dépit d'une orientation idéologique très marquée (sa rédaction se voulant particulièrement "éveillée"), Numerama publie généralement des articles de qualité. Celui-ci, censé présenter « les meilleures liseuses en 2022 », fait manifestement exception. Certains conseils n'ont pas beaucoup de sens : pourquoi la taille de l'écran d'une liseuse devrait-elle être indexée sur la fréquence de lecture ? Cela dépend plutôt de l’acuité ou des priorités de chacun (confort de lecture vs encombrement). Surtout, le risque de s'enfermer dans un environnement "propriétaire" avec certains modèles est insuffisamment souligné, tandis que sont carrément passés sous silence les bénéfices d'une solution Android ouverte à l'installation de diverses applications. Navrant.
« Au cours de leur vie étudiante, Achim Sebti et Guillaume Klein constatent que dans un cursus d'enseignement supérieur, la mobilité est forte, avec une moyenne de quatre déménagements. Fréquemment, pour ne pas organiser et financer un déménagement, les meubles sont jetés. […] En réponse à cette problématique, les deux jeunes diplômés de l'ESC Saint-Étienne créent Eco-Loc en 2016, un service de location de mobilier et électroménager sur les métropoles de Saint-Étienne et Lyon. […] Les clients réservent leurs produits en ligne […] : lit, frigo, machine à laver, table, ou encore mobilier de bureau, qu'ils vont louer au mois. La start-up se charge ensuite de la livraison, de l'installation et de la mise en service, puis vient récupérer les produits à la fin de la location. Eco-Loc gère aussi le SAV, et répare le mobilier ou l'électroménager endommagé. »
« Pour l'heure, Leroy Merlin et Boulanger utilisent Circular X. Le premier pour le petit outillage, le second teste dans son magasin d'Englos, dans le Nord, une offre de seconde vie autour des lave-linge, robots cuiseurs, consoles de jeux, smartphones... […] Cette nouvelle activité devrait fournir aussi de nouveaux revenus à Recommerce, le modèle économique étant fondé sur une commission sur le montant des transactions réalisées. »
« Il existe, depuis le XXe siècle, certaines méthodes afin de forcer à la surconsommation », affirme Valentine Costantini, le 29 octobre 2021, sur le site Actualitté, manifestement inspirée par la lecture d'un ouvrage intitulé Pour une écologie du 99% – 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.
« "Tu ne le portes plus ? Vends-le !", martèle à la télévision le slogan de Vinted, l'une des plus grandes plates-formes en ligne qui permet de revendre des vêtements et des accessoires de mode d'occasion. "Si tu ne le portes plus, garde-le !" préconise, au contraire, provocateur, Patrice Duchemin, sociologue de la consommation. Car, selon lui, le développement du marché de la seconde main entraîne de la surconsommation. C'est ce que montre d'ailleurs un sondage exclusif Kantar-CMI-Marianne réalisé en septembre auprès de cinq cents personnes âgées de vingt-cinq à soixante-cinq ans. »
« La start-up espagnole Wallapop, spécialisée dans les petites annonces entre particuliers, a annoncé ce jeudi 25 février avoir bouclé un tour de table de 191 millions de dollars, soit environ 157 millions d'euros. Mené par Korelya Capital, le fonds de capital-risque français créé par Fleur Pellerin et soutenu par le groupe coréen Naver, il fait également participer les partenaires historiques de Wallapop – Accel, Insight Partners, 14W, GP Bullhound et Northzone. Cette levée de fonds, qui valorise Wallapop à 690 millions d'euros, doit permettre à la pépite barcelonaise de poursuivre son développement, notamment en matière d'infrastructure, et de se lancer dans d'autres pays, dont l'Italie. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
« Longtemps considéré comme un phénomène marginal pour le commerce, le marché de l'occasion prend du poids chaque jour. Et intéresse au plus haut point un nombre grandissant d'enseignes. Mais ne s'improvise pas marchand d’occasion qui veut, tant le secteur est spécifique. »
« C'est qui le patron va changer d'échelle. L'initiative […] va s'ouvrir aux industriels qui le souhaitent. […] Pour résumer les débats interne (parce que CQLP est une coopérative) en une “accroche”, l'idée est de proposer beaucoup plus de produits pour engager beaucoup plus de consommateurs à soutenir beaucoup plus d'agriculteurs. Comment ? Pour comprendre le principe : “Intel Inside”. OK, c'est ambitieux, mais c'est l'idée. Des brioches pourront être élaborées avec des œufs respectant le cahier des charges CQLP (à commencer évidemment par la rémunération de l'aviculteur), des desserts avec le lait, des plats cuisinés avec le bœuf, etc. L'industriel pourrait alors le revendiquer on-pack et donner ainsi une valeur supplémentaire à son produit et donc à l'ingrédient équitable. »
Défaillance précoce des manettes : la Commission européenne appelée à se pencher sur le cas Nintendo
« Au nom de l'UFC-Que Choisir et des autres associations participantes, le BEUC [Bureau européen des unions de consommateurs] lance une alerte auprès de la Commission européenne et des autorités nationales de protection des consommateurs (DGCCRF pour la France), via le mécanisme d'alerte externe, pour pratiques commerciales trompeuses, agressives et déloyales. Cette action européenne entend […] qu'une décision contraignante et commune soit prise par les autorités de protection de consommateurs concernées, notamment celles d'imposer à Nintendo de remédier aux défaillances prématurées de ces manettes, de réparer gratuitement les manettes défectueuses et d'informer les consommateurs sur la durée de vie limitée des manettes. »
C'est ce que propose Ecomatelas. « Aujourd'hui, l'enseigne revend près de vingt mille lits par an et entend fournir prochainement l'ensemble du territoire national avec de nouvelles implantations. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
« On connaissait Yes Yes pour ses smartphones reconditionnés, et voilà que le groupe se lance aussi dans le jeu vidéo. […] Ainsi, via le site Web YesYes, il est possible en quelques clics de revendre, ou d'acheter une PS4. Les consoles sont […] vendues avec une garantie d'un an. […] Concrètement, si vous souhaitez revendre une PS4 Pro avec une manette d'origine, le tout en bon état (et fonctionnel bien sûr), Yes Yes vous proposera 180 euros. Pour la PS4 Slim 500 Go, le prix s'élèvera à 140 euros. Côté revente, la PS4 Pro reconditionnée est affichée à 299 euros, quand la PS4 Slim est proposée à 249 euros. »
On reproche souvent aux appareils électroniques leur fragilité et la difficulté qu'il y a à changer leur batterie. Aussi n'est-il pas inutile de rappeler, de temps en temps, que certains produits se distinguent en la matière, à l'image des tablettes "durcies", et notamment de ce modèle Samsung Samsung Tab Active 3 repéré par Good Ereader. Revers de la médaille : c'est vraisemblablement un peu plus lourd, un plus gros, un peu plus cher qu'un modèle standard… si bien que la plupart des consommateurs n'en veulent pas.
« Vinted facture aux acheteurs 5 % du prix d'achat plus 70 centimes de commission. Cette dernière apparaît sous le nom de "protection acheteurs" lors de la transaction. Un terme tendancieux selon l'UFC-Que Choisir, car elle ne concerne que "les services basiques d'un site de vente en ligne" et en aucun cas "une protection en cas de litige". […] Par ailleurs, Vinted annonce que cette commission est optionnelle. Ce qui est faux, car à aucun moment, il n'est possible de la refuser ni sur le site ni sur l'application. Il s'agit donc en réalité de frais d'utilisation, avance l'association de consommateurs, qui vient de mettre en demeure Vinted, lui demandant de faire preuve de transparence. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
Le partenariat entre Loop et Carrefour s'est concrétisé dernièrement dans quelques magasins. Olivier Dauvers a visité l'un d'entre eux : on y trouve vingt-cinq produits différents vendus dans des emballages consignés. Le prix affiché comprend à chaque fois le montant de la consigne. À savoir : 10 centimes pour une petite bouteille de Coca-Cola, 1 euro pour un pot de Nutella, 4 euros pour une boîte de Nesquik. Le retour des emballages peut se faire via l'usage d'un smartphone et d'un automate, ou bien en caisse. Actuellement, leur nettoyage se fait en Angleterre, mais cette opération devrait bientôt être rapatriée en région parisienne. Affaire à suivre.
Ce produit tiendra-t-il ses promesses ? Sur le papier, en tout cas, cela semble séduisant.
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
C'est la promesse de son fabricant, Bolid'ster, qui le décline en quinze modèles, dont le moins cher est vendu près de 180 euros. Des produits bénéficiant d'une garantie de dix ans. « En cas de défaut lié à la matière ou à la fabrication, ils sont réparés ou remplacés » ; « Bolid'ster propose même à ses clients d'arranger leur jean abîmé si celui-ci n'est plus sous garantie ». Le fabricant assure, par ailleurs, que « la quasi-totalité des pièces qui composent le jean (rivets, puces, fil…) provient de France » ; en outre, souligne-t-il, il « a rapatrié sa production dans les Landes, à l'exception de deux modèles conçus au Portugal ».
« Un site dédié […] et vingt-cinq corners ouverts en magasin, en France, Italie, Espagne et Belgique : Kiabi , après des tests menés l'été dernier, accélère sur la seconde main. »