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Dans un nouveau livre, Paul Quilès, Jean-Marie Collin et Michel Drain dénoncent « des méthodes qui n'ont rien à envier aux techniques classiques de la propagande ».
La tentation de recourir jadis au feu nucléaire aurait été beaucoup plus pressante qu'on ne l'imagine aujourd'hui, si l'on en croit Jean-François Bouchard. La question aurait même été posée pendant la guerre d'Indochine !
Corentin Brustlein propose une critique très positive de ce livre signé Nicolas Roche. Partage pour archivage.
Janvier 1966. Après un accrochage aérien, trois bombes nucléaires échouent au large des côtes espagnoles. L'Usine nouvelle nous remémore cet épisode peut-être oublié de la Guerre froide.
Tokyo aurait tardé à communiquer sa décision de mettre fin aux hostilités. Mais Washington aurait aussi voulu souligner le pouvoir dévastateur dont il disposait, des journalistes ayant même été convoqués pour en témoigner.
Pour l'anecdote : « L'ordre présidentiel d'engagement pouvait être transmis sur les ondes de la radio publique ou d'une chaîne de télévision […] un peu dans le style de ce que faisait la BBC durant la Seconde Guerre mondiale. »
« Philippe Wodka-Gallien publie un remarquable petit ouvrage consacré à l'après Hiroshima et Nagasaki », annonce notre confrères Philippe Chapleau.
Quelques considérations sur l'histoire de l'arme nucléaire et de la théorisation de son emploi.
Certains installations nucléaires américaines reposent toujours sur du matériel informatique hérité des années soixante ou soixante-dix. Des considérations budgétaires, mais aussi sécuritaires, contribueraient au statu quo.
Présentation d'un livre consacré à la dissuasion nucléaire française paru au printemps dernier, signé Philippe Wodka-Gallien.
Remettre en cause la dissuasion nucléaire contribue à son effectivité... Un paradoxe saisissant !
« Traditionnellement, le discours sur la dissuasion nucléaire française ne mentionnait pas les DOM-COM. [...] Les choses sont-elles en train de changer ? »
Cet ouvrage « remet bien en perspective les fondements d'une politique de défense fondée sur la dissuasion : politiques, militaires, technologiques, industriels, voire culturels ».
Ce serait « une ineptie », prévient un spécialiste de l'Otan.