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« Aux États-Unis, les clients d’Apple peuvent très facilement faire un diagnostic de leur I-Phone grâce à un logiciel spécifique similaire à celui utilisé en Apple Store. Celui-ci vise les bidouilleurs qui veulent effectuer une réparation sur leur appareil par l’intermédiaire du programme "Self Service Repair". »
« "Nous sommes prudemment optimistes quant à la nouvelle suite de diagnostics d’Apple. Le fait même qu’Apple l’ait conçue est un bon signe, et elle finira par être très utile", affirme Ifixit. »
« Le site note bien quelques bugs, comme lorsque le téléphone embarque une batterie non officielle. Là où on s’attendrait à voir une petite pastille verte ou jaune indiquant son état, l’outil n’affiche qu’une page blanche. Ifixit regrette aussi qu’Apple ne fasse que le minimum imposé par la loi quand elle pourrait aller plus loin. Le programme ne peut diagnostiquer que des I-Phone 12 ou plus alors que la version Apple Store de l’utilitaire fonctionne sur des appareils plus anciens. »
« Le programme de diagnostic d’Apple n’est pas encore disponible en Europe, mais Cupertino a prévu un déploiement sur le Vieux Continent dans l’année. »
« "Nous sommes prudemment optimistes quant à la nouvelle suite de diagnostics d’Apple. Le fait même qu’Apple l’ait conçue est un bon signe, et elle finira par être très utile", affirme Ifixit. »
« Le site note bien quelques bugs, comme lorsque le téléphone embarque une batterie non officielle. Là où on s’attendrait à voir une petite pastille verte ou jaune indiquant son état, l’outil n’affiche qu’une page blanche. Ifixit regrette aussi qu’Apple ne fasse que le minimum imposé par la loi quand elle pourrait aller plus loin. Le programme ne peut diagnostiquer que des I-Phone 12 ou plus alors que la version Apple Store de l’utilitaire fonctionne sur des appareils plus anciens. »
« Le programme de diagnostic d’Apple n’est pas encore disponible en Europe, mais Cupertino a prévu un déploiement sur le Vieux Continent dans l’année. »
« Fallait-il que nous trouvions une excuse pour éprouver ce service ? Toujours est-il que l'état de la batterie de l'I-Phone 12 d'un collègue nous en fournit une. Le "magasin de réparation en service interne" propose toutes les pièces nécessaires : la nouvelle batterie bien sûr, mais aussi une paire d'adhésifs pour recoller l'écran, et des vis de remplacement. Le tout coûte 77,11 euros, mais 26,26 euros peuvent être récupérés en renvoyant l'ancienne batterie. Les outils et accessoires nécessaires peuvent être achetés à l'unité, du couvercle de protection de l'écran à 0,56 euros jusqu'à l'"équipement de démontage à chaud" à 263,62 euros, en passant par le plateau de réparation à 51,60 euros. Plus simplement, le "kit d'outils" complet peut être loué pour 59,95 euros… et 1 200 euros de caution. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
Celui-ci « propose un "kit de nettoyage pour Airpods" qui promet de venir restaurer le revêtement en maille, pour retrouver […] une performance acoustique maximale », comme le rapporte Stéphane Ficca. « Concrètement », précise-t-il sur Clubic, « le kit est fourni avec un liquide à venir déposer sur les grilles des Airpods, qu'il faudra laisser agir durant soixante secondes » ; « dès lors, on utilise une petite brosse pour déloger les impuretés, puis on utilise un gel spécifique pour venir recueillir ces mêmes impuretés ».
« Les fans de Ed Sheeran qui voudront assister à ses concerts parisiens fin juillet devront avoir en main un smartphone s'ils veulent entrer dans l'enceinte du Stade de France. »
« Olympia Production assure dans Le Parisien que les clients n'auront rien à faire, si ce n'est télécharger l'app (ils recevront des courriels de rappel). Et vérifier tout de même que le ticket est bien arrivé. Attention à bien recharger le smartphone avant le concert, car sans présentation du ticket dans l'app, on ne rentrera pas. »
« On comprend qu'il ne sera pas possible d'imprimer le billet ni d'en réaliser une capture d'écran. Pas de souci s'il y a une panne de réseau, l'app sera tout de même utilisable. S'il est possible de commander jusqu'à dix billets par personne, le smartphone ne pourra en contenir qu'un seul (exception faite pour les mineurs dont les tickets pourront être stockés dans le téléphone de l'acheteur). »
« Le client peut transférer les billets achetés à des proches simplement en renseignant leurs adresses mail (si on s'est trompé d'adresse, on peut la rectifier). Mais ces derniers ne pourront pas retransférer le billet à un tiers. Résultat, selon Olympia Production : il est impossible de revendre plus cher et de faire circuler les billets. Il reste en revanche possible de vendre à prix normal un ticket via une bourse d'échange partenaire. »
« Olympia Production assure dans Le Parisien que les clients n'auront rien à faire, si ce n'est télécharger l'app (ils recevront des courriels de rappel). Et vérifier tout de même que le ticket est bien arrivé. Attention à bien recharger le smartphone avant le concert, car sans présentation du ticket dans l'app, on ne rentrera pas. »
« On comprend qu'il ne sera pas possible d'imprimer le billet ni d'en réaliser une capture d'écran. Pas de souci s'il y a une panne de réseau, l'app sera tout de même utilisable. S'il est possible de commander jusqu'à dix billets par personne, le smartphone ne pourra en contenir qu'un seul (exception faite pour les mineurs dont les tickets pourront être stockés dans le téléphone de l'acheteur). »
« Le client peut transférer les billets achetés à des proches simplement en renseignant leurs adresses mail (si on s'est trompé d'adresse, on peut la rectifier). Mais ces derniers ne pourront pas retransférer le billet à un tiers. Résultat, selon Olympia Production : il est impossible de revendre plus cher et de faire circuler les billets. Il reste en revanche possible de vendre à prix normal un ticket via une bourse d'échange partenaire. »
Les nouveaux moniteurs Sony Inzone présentent peut-être des qualités… mais leur trépied orignal rend impossible de travailler les yeux collés à quinze centimètres de l'écran, faute de pouvoir en rapprocher suffisamment le clavier. C'est une illustration parmi d'autres des besoins spécifiques en cas de basse vision.
« Nous sommes extrêmement sceptiques sur les partenariats entre les constructeurs de smartphones et les marques photo, en grande partie parce qu'ils sont souvent majoritairement marketing. Prenons l'exemple de Hasselblad, partenaire de Oneplus depuis 2021 (et de Oppo, qui appartient au même groupe, depuis 2022). Toute la communication du Oneplus 9 reposait sur ce partenariat, alors que la marque reconnaissait elle-même que Hasselblad n'avait absolument rien fait d'un point de vue matériel. Il ne s'agissait que de filtres couleur dans l'application Appareil photo et d'un logo au dos du smartphone. »
« Fin 2021, nous avons eu la possibilité de visiter le siège de Zeiss, à Oberkochen en Allemagne. Partenaire de Sony depuis de nombreuses années et du constructeur chinois Vivo depuis peu, Zeiss est le spécialiste mondial des lentilles (aussi bien pour les appareils photo que pour les télescopes, les microscopes ou les lunettes). Et c'est justement là que ce partenariat a de quoi surprendre : Zeiss ne fabrique pas les lentilles des appareils photo de Vivo. »
« Les deux marques ont des projets communs, notamment en termes de R&D, mais Zeiss joue surtout un rôle du validateur. Il teste les prototypes de Vivo et donne son approbation, en apposant son logo et en proposant des modes logiciels dédiés pour reproduire une sensation Zeiss. À la fin, la plus grande partie du travail reste le fruit des ingénieurs chinois de Vivo. Peut-être que le tout évoluera vers des innovations matérielles dans le futur, mais cette collaboration est aujourd'hui assez limitée. C'est une question d'influence et de marketing. »
« Quid de Leica, qui a tout de même permis à Huawei de devenir le meilleur constructeur en photo ? Ici, nous ne saurions pas vraiment nous prononcer. Leica nous semble un meilleur partenaire que Zeiss ou Hasselblad, puisqu'il sait contribuer à la conception d'optiques dédiées aux smartphones. Il faut toutefois prendre en compte un élément important : Huawei, seul, est déjà un monstre en la matière. Il a forcément appris beaucoup de Leica, mais il aurait sans doute pu devenir très fort seul. On imagine mal Huawei régresser sans Leica dans les prochains mois. »
« Fin 2021, nous avons eu la possibilité de visiter le siège de Zeiss, à Oberkochen en Allemagne. Partenaire de Sony depuis de nombreuses années et du constructeur chinois Vivo depuis peu, Zeiss est le spécialiste mondial des lentilles (aussi bien pour les appareils photo que pour les télescopes, les microscopes ou les lunettes). Et c'est justement là que ce partenariat a de quoi surprendre : Zeiss ne fabrique pas les lentilles des appareils photo de Vivo. »
« Les deux marques ont des projets communs, notamment en termes de R&D, mais Zeiss joue surtout un rôle du validateur. Il teste les prototypes de Vivo et donne son approbation, en apposant son logo et en proposant des modes logiciels dédiés pour reproduire une sensation Zeiss. À la fin, la plus grande partie du travail reste le fruit des ingénieurs chinois de Vivo. Peut-être que le tout évoluera vers des innovations matérielles dans le futur, mais cette collaboration est aujourd'hui assez limitée. C'est une question d'influence et de marketing. »
« Quid de Leica, qui a tout de même permis à Huawei de devenir le meilleur constructeur en photo ? Ici, nous ne saurions pas vraiment nous prononcer. Leica nous semble un meilleur partenaire que Zeiss ou Hasselblad, puisqu'il sait contribuer à la conception d'optiques dédiées aux smartphones. Il faut toutefois prendre en compte un élément important : Huawei, seul, est déjà un monstre en la matière. Il a forcément appris beaucoup de Leica, mais il aurait sans doute pu devenir très fort seul. On imagine mal Huawei régresser sans Leica dans les prochains mois. »
« Apple a récemment revu à la hausse les notes de réparabilité de la plupart de ses smartphones. Une augmentation parfois assez spectaculaire, comme pour l'I-Phone 11 Pro Max passé de 4,5 / 10 en août 2021 à 7 / 10 en date du 21 février 2022. Globalement, la gamme d'I-Phone 11 a bénéficié d'une belle embellie de ses notes, tandis que les autres générations se contentent de quelques dixièmes supplémentaires. Les seules exceptions étant l'I-Phone SE 2, l'I-Phone 7/7 Plus et l'I-Phone 8/8 Plus dont les notes se dégradent. […] Ce qui justifie la hausse de la note des I-Phone 11, c'est surtout […] la démontabilité des appareils. […] Les caractéristiques de fixation entre les pièces se sont améliorées également. […] Grosse augmentation aussi pour le critère […] qui évalue le rapport entre le prix de vente des pièces par le constructeur (ou l'importateur) et le prix de vente des équipements par le constructeur. »
« La tablette Lenovo Tab M10 Plus semble partir d'un constat, celui d'un "léger" souci dans son suivi. […] La marque a, semble t-il, pris conscience de ce problème et s'engage donc, avec la Lenovo Tab M10 Plus, à fournir au moins trois ans de mises à jour à sa tablette Android, C'est bien, c'est super même, mais cela devrait aller de soi. Personne n'achète un produit garanti physiquement pendant deux ans par la loi mais dont le suivi logiciel n'est pas assuré par la moindre mise à jour. […] Cette Lenovo Tab M10 Plus de troisième génération embarquera un Android 12 et Lenovo assure que la solution évoluera vers un Android 13 l'année prochaine avec au moins trois années de support technique et de sécurité. »
« Samsung va apporter une solution logicielle à la polémique qui a éclaté cette semaine à propos d'un bridage discret mais vaste d'applications sur plusieurs de ses Galaxy. Il s'est avéré qu'au moins dix mille apps mobiles de toutes catégories [….] subissaient un bridage de leurs performances afin de limiter la charge sur le processeur et par ricochet sur la dissipation thermique et l'autonomie. La baisse a pu atteindre 50 % avec certains logiciels. »
« Le tri des logiciels se fait sur la base de leurs noms, puisqu'il a pu être démontré qu'un utilitaire de benchmark renommé avec le titre d'un jeu se voyait immédiatement ralenti. Ce qui a révélé au passage que Samsung écartait les utilitaires de mesure de performances de cette liste noire, leur laissant donner une image beaucoup plus positive de l'appareil lors des tests. »
« Samsung a expliqué à plusieurs sites qu'il allait distribuer une mise à jour qui permettrait aux utilisateurs de retrouver un contrôle des performances sur les jeux. […] Samsung en revanche ne dit rien sur le cas des apps de benchmark qui étaient opportunément évitées par le bridage. Rien non plus sur la liste des modèles de Galaxy concernés. »
« Le tri des logiciels se fait sur la base de leurs noms, puisqu'il a pu être démontré qu'un utilitaire de benchmark renommé avec le titre d'un jeu se voyait immédiatement ralenti. Ce qui a révélé au passage que Samsung écartait les utilitaires de mesure de performances de cette liste noire, leur laissant donner une image beaucoup plus positive de l'appareil lors des tests. »
« Samsung a expliqué à plusieurs sites qu'il allait distribuer une mise à jour qui permettrait aux utilisateurs de retrouver un contrôle des performances sur les jeux. […] Samsung en revanche ne dit rien sur le cas des apps de benchmark qui étaient opportunément évitées par le bridage. Rien non plus sur la liste des modèles de Galaxy concernés. »
« Le service client de Bouygues Telecom a appelé une partie de ses clients en fin de semaine dernière pour leur demander de mettre à jour leur I-Phone vers I-OS 15.3.1 sortie plus tôt dans le mois. Une démarche étonnante de la part d'un opérateur mobile, justifiée par la perte de couverture réseau si ces abonnés restaient avec I-OS 15.3 ou une version antérieure. Un lecteur client chez NRJ Mobile, opérateur virtuel qui repose sur le réseau mobile de Bouygues, nous a par ailleurs indiqué avoir reçu un SMS mi-février pour l'inciter également à mettre à jour son I-Phone 13. Cette fois, l'opérateur précisait qu'il était nécessaire de passer à I-OS 15.2 au minimum pour ne pas subir de perte d'accès au réseau mobile. »
« Que ce soit I-OS 15.2 ou I-OS 15.3.1, il semble qu'une mise à jour du système dédié aux I-Phone a été essentielle pour continuer à accéder au réseau mobile de Bouygues Telecom. Parmi les cas signalés, trois utilisaient un I-Phone 13 et c'est peut-être le seul modèle touché par ce problème. [….] Pour rappel, les mises à jour d'I-OS peuvent aussi mettre à jour les paramètres de chaque opérateur. »
« Que ce soit I-OS 15.2 ou I-OS 15.3.1, il semble qu'une mise à jour du système dédié aux I-Phone a été essentielle pour continuer à accéder au réseau mobile de Bouygues Telecom. Parmi les cas signalés, trois utilisaient un I-Phone 13 et c'est peut-être le seul modèle touché par ce problème. [….] Pour rappel, les mises à jour d'I-OS peuvent aussi mettre à jour les paramètres de chaque opérateur. »
« L'opérateur a annoncé ce vendredi [4 février 2022] le lancement de son service Réparation express. […] Ce service […] sera encore une fois mené en partenariat avec Wefix. […] Bouygues Telecom prend un engagement sur le temps de réparation : celui-ci sera compris entre un et cinq jours ouvrés. […] Bouygues Telecom rejoint ainsi Orange, qui propose depuis peu un service de réparation "en moins de vingt-quatre heures en moyenne". SFR propose pour sa part un système de réparation qui nécessite d'abord de prendre contact avec son SAV. Free Mobile, de son côté, ne dispose pas de son propre service de réparation. Mais, un peu comme Bouygues Telecom auparavant, l'opérateur de Xavier Niel travaille avec un réseau partenaire. »
En dépit d'une orientation idéologique très marquée (sa rédaction se voulant particulièrement "éveillée"), Numerama publie généralement des articles de qualité. Celui-ci, censé présenter « les meilleures liseuses en 2022 », fait manifestement exception. Certains conseils n'ont pas beaucoup de sens : pourquoi la taille de l'écran d'une liseuse devrait-elle être indexée sur la fréquence de lecture ? Cela dépend plutôt de l’acuité ou des priorités de chacun (confort de lecture vs encombrement). Surtout, le risque de s'enfermer dans un environnement "propriétaire" avec certains modèles est insuffisamment souligné, tandis que sont carrément passés sous silence les bénéfices d'une solution Android ouverte à l'installation de diverses applications. Navrant.
La question est posée, incidemment, par Notebookcheck (20 janvier 2022), qui regrette l'usage confidentiel du module PCI Express mobile (MXM), un « connecteur normalisé […] qui existe depuis plus de dix ans ».
Un « plan fédéral pour l'économie circulaire » a été annoncé en Belgique. Comme l'explique RTL (13 janvier 2022), il est question, entre autres, de « favoriser la réparabilité via l'affichage d'un indice de réparabilité » et de « fournir de l'information sur le maintien de la compatibilité logicielle » ; à ce titre, « le consommateur sera informé de la durée pendant laquelle son appareil supportera les mises à jour successives ».
« Samsung est bien décidé à en finir avec les piles jetables dans les télécommandes », rapporte I-Génération (3 janvier 2022). Plus précisément, le fabricant prévoit de « collecter les ondes radio des routeurs et les convertir en énergie ». Pourquoi pas ? Ce qui retient notre attention, c'est le calcul suivant proposé par Samsung : « En supposant qu'un téléviseur soit utilisé pendant environ sept ans, changer les piles de sa télécommande une seule fois par an signifierait que quatorze piles seraient utilisées et jetées. » Sept ans ? Telle serait donc, visiblement, la durée normale d'utilisation d'un téléviseur selon le géant coréen de l'électronique.
« C'est une bien triste nouvelle pour les quatre derniers utilisateurs de Blackberry 10 dans le monde. L'entreprise canadienne rappelle qu'à partir du 4 janvier 2022, les services de connexion ne seront plus disponibles : cela signifie qu'à compter de mardi prochain, les appareils fonctionnant sous BB10, mais aussi BB 7.1 et PlayBook OS 2.11, ne fonctionneront plus convenablement qu'ils soient connectés à un réseau cellulaire ou Wi-Fi. […] Néanmoins, peu d'utilisateurs devraient être touchés. La version 10 de Blackberry OS remonte en effet à 2013, mais trois ans plus tard le constructeur opérait son virage vers Android. »
« Les téléviseurs un peu anciens de LG ne sont pas les seuls modèles à accueillir une application d'Apple uniquement dédiée aux programmes du service de streaming de la Pomme. Panasonic monte aussi dans ce train, avec une app Apple TV+ qui doit apparaître comme par magie dans le menu aux applications des postes compatibles. En l'occurrence, le constructeur précise que les modèles 4K (OLED et LCD) équipés du système d'exploitation My Home Screen (certains remontent à 2017) peuvent désormais offrir aux abonnés d'Apple TV + tout le catalogue de leurs séries et films préférés. »
Ce concept Luna peut sembler séduisant : « Dell met […] l'accent sur le recours à un assemblage simple de ses composants, batterie comprise. Des vis classiques permettent de monter ou de démonter la machine. Pas de recours à de la colle pour fixer certains composants. […] Clavier, pavé tactile, batterie, écran, haut-parleurs et autres peuvent être remplacés. L'idée étant également de pouvoir employer à nouveau les pièces dans d'autres machines en cas de pépin. […] Il ne faut qu'une heure trente à un technicien pour désassembler totalement l'engin.
Autre aspect positif : « le recours à une batterie à longue durée de vie » ; « plus longues à recharger, plus chères, ces batteries peuvent durer jusqu'à deux fois plus longtemps qu'une batterie "moderne" ».
Mais voilà : « Le point sur lequel Dell ne s'appesantit pas est sur l'intégration complète de la carte mère. […] Mémoire vive et stockage sont soudés, inamovibles et indissociables de l'ensemble. On a certes un accès direct à tous ces composants mais il faudra bien les choisir au moment de l'achat puisqu'il sera impossible d'intervenir dessus dans un second temps. Cette carte mère, en cas de panne, sera bonne à recycler. Il faudra acheter à nouveau l'ensemble processeur, mémoire vive et stockage. »
De plus, il ne s'agit que d'un concept… Et de toute façon, l'émergence de standards, dans l'industrie du PC portable, semble difficile, et pas seulement parce que les fabricants sont tentés de garder la main sur la maintenance : « Si cela était possible cela uniformiserait totalement la production actuelle et il n'y aurait alors non seulement plus d'âme dans ces produits mais plus non plus d'innovation. Tout le monde ferait la même machine et le client choisirait la moins chère. Ce serait la fin assurée de cette industrie. Les châssis avec une charnière à 360 degrés seraient un standard différent, les écrans détachables en formeraient encore un autre. Non seulement la faisabilité diplomatique de ce concept nécessiterait une entente des différents acteurs du marché, mais elle imposerait que tout innovateur, s'il voulait introduire un nouveau produit, serait obligé de le partager avec les autres pour valider son idée… »
Et pourtant, un PC portable facilement réparable serait plus pertinent que jamais : « Les évolutions logicielles étant ce qu'elles ont été pendant des années, le passage d'une machine à une autre semblait nécessaire pour suivre l'appétit en ressources imposé par le software. Mais depuis quelques années, sur la majorité des usages de l'informatique, on assiste à une stagnation. Les machines milieu et haut de gamme de 2013-2014 sont toujours parfaitement aptes à exécuter les tâches quotidiennes d'un point de vue calcul pour peu qu'elles soient épaulées par suffisamment de mémoire vive et de stockage. […] Surf, bureautique ou multimédia ne sont pas un problème avec un Core I5 de quatrième ou cinquième génération. Les diagonales d'écran ont également fini par gagner en sagesse, on a recentré beaucoup de la production autour d'un standard Full HD et même si beaucoup des engins présentés par les marques proposent désormais un écran Ultra HD avec des technologies très évoluées comme le OLED ou des normes HDR avancées, cela ne reste qu'une frange de la production et des ventes. »
Autrement dit : « Le souci vient donc moins des compétences de la machine que des accessoires. Un écran qui lâche, une nappe qui, à force d'être trop manipulée en interne, finit par poser problème. Un port USB, HDMI ou jack qui ne tient plus, un connecteur d'alimentation hors-service, un ventilateur qui se désaxe, une batterie qui n'a plus d'autonomie ou des charnières qui finissent par se décrocher du châssis. Ces postes là sont réparables. Enfin seraient réparables. Facilement même si les pièces détachées nécessaires étaient disponibles à des prix acceptables. Réparables si la recherche d'une finesse extrême ne venait pas non plus rendre toute tentative difficile ou impossible. Le pire étant que cette finesse, qui n'a pas vraiment d'autre but que l'esthétique globale du produit, n'apporte que des ennuis aux machines mobiles : fragilité accentuée, recours à des composants qu'il faut coller et ouverture parfois impossible du châssis. »
Et c'est là que nous, consommateurs, comme on dit, avons une responsabilité : « ce sont également les acheteurs qui se plongent avec délice dans le piège du design des constructeurs. A préférer une solution plus fine dont aucun composant ne pourra être extrait, où la réparabilité est annihilée à grands coup de colle et de matériaux emboîtes plutôt qu’un engin souvent quelques millimètres plus épais mais totalement réparable. » D'ailleurs, ajouterons-nous, certains PC portables sont d'ores et déjà beaucoup plus réparables et évolutifs qu d'autres, sans qu'ils se vendent forcément mieux…
Autre aspect positif : « le recours à une batterie à longue durée de vie » ; « plus longues à recharger, plus chères, ces batteries peuvent durer jusqu'à deux fois plus longtemps qu'une batterie "moderne" ».
Mais voilà : « Le point sur lequel Dell ne s'appesantit pas est sur l'intégration complète de la carte mère. […] Mémoire vive et stockage sont soudés, inamovibles et indissociables de l'ensemble. On a certes un accès direct à tous ces composants mais il faudra bien les choisir au moment de l'achat puisqu'il sera impossible d'intervenir dessus dans un second temps. Cette carte mère, en cas de panne, sera bonne à recycler. Il faudra acheter à nouveau l'ensemble processeur, mémoire vive et stockage. »
De plus, il ne s'agit que d'un concept… Et de toute façon, l'émergence de standards, dans l'industrie du PC portable, semble difficile, et pas seulement parce que les fabricants sont tentés de garder la main sur la maintenance : « Si cela était possible cela uniformiserait totalement la production actuelle et il n'y aurait alors non seulement plus d'âme dans ces produits mais plus non plus d'innovation. Tout le monde ferait la même machine et le client choisirait la moins chère. Ce serait la fin assurée de cette industrie. Les châssis avec une charnière à 360 degrés seraient un standard différent, les écrans détachables en formeraient encore un autre. Non seulement la faisabilité diplomatique de ce concept nécessiterait une entente des différents acteurs du marché, mais elle imposerait que tout innovateur, s'il voulait introduire un nouveau produit, serait obligé de le partager avec les autres pour valider son idée… »
Et pourtant, un PC portable facilement réparable serait plus pertinent que jamais : « Les évolutions logicielles étant ce qu'elles ont été pendant des années, le passage d'une machine à une autre semblait nécessaire pour suivre l'appétit en ressources imposé par le software. Mais depuis quelques années, sur la majorité des usages de l'informatique, on assiste à une stagnation. Les machines milieu et haut de gamme de 2013-2014 sont toujours parfaitement aptes à exécuter les tâches quotidiennes d'un point de vue calcul pour peu qu'elles soient épaulées par suffisamment de mémoire vive et de stockage. […] Surf, bureautique ou multimédia ne sont pas un problème avec un Core I5 de quatrième ou cinquième génération. Les diagonales d'écran ont également fini par gagner en sagesse, on a recentré beaucoup de la production autour d'un standard Full HD et même si beaucoup des engins présentés par les marques proposent désormais un écran Ultra HD avec des technologies très évoluées comme le OLED ou des normes HDR avancées, cela ne reste qu'une frange de la production et des ventes. »
Autrement dit : « Le souci vient donc moins des compétences de la machine que des accessoires. Un écran qui lâche, une nappe qui, à force d'être trop manipulée en interne, finit par poser problème. Un port USB, HDMI ou jack qui ne tient plus, un connecteur d'alimentation hors-service, un ventilateur qui se désaxe, une batterie qui n'a plus d'autonomie ou des charnières qui finissent par se décrocher du châssis. Ces postes là sont réparables. Enfin seraient réparables. Facilement même si les pièces détachées nécessaires étaient disponibles à des prix acceptables. Réparables si la recherche d'une finesse extrême ne venait pas non plus rendre toute tentative difficile ou impossible. Le pire étant que cette finesse, qui n'a pas vraiment d'autre but que l'esthétique globale du produit, n'apporte que des ennuis aux machines mobiles : fragilité accentuée, recours à des composants qu'il faut coller et ouverture parfois impossible du châssis. »
Et c'est là que nous, consommateurs, comme on dit, avons une responsabilité : « ce sont également les acheteurs qui se plongent avec délice dans le piège du design des constructeurs. A préférer une solution plus fine dont aucun composant ne pourra être extrait, où la réparabilité est annihilée à grands coup de colle et de matériaux emboîtes plutôt qu’un engin souvent quelques millimètres plus épais mais totalement réparable. » D'ailleurs, ajouterons-nous, certains PC portables sont d'ores et déjà beaucoup plus réparables et évolutifs qu d'autres, sans qu'ils se vendent forcément mieux…
« Petite institution atypique du casque audio, la marque danoise Aiaiai a créé, avec le TMA-2, un concept de casque modulaire particulièrement ingénieux », aux yeux de Guillaume Fourcadier. « Tout ici, des transducteurs aux coussinets, est remplaçable et améliorable au gré des envies de l'utilisateur », explique-t-il sur On-Mag. Concrètement, « il existe différents arceaux (plus ou moins larges, avec ou sans Bluetooth intégré), plusieurs coques-transducteurs, ou encore différents coussinets (circum et supra, dans différents matériaux), qu'il est normalement possible de commander pièce par pièce ». Cela méritait d'être signalé !
« D'ici fin janvier, on saura si les boutons dédiés aux services de streaming des télécommandes pourront être réglementés en France. C'est dans deux mois qu'une commission d'enquête parlementaire […] rendra ses conclusions sur ce sujet brûlant. »
« Il s'agit de statuer sur la "nuisance" que représenteraient ces boutons, qui permettent aux constructeurs de box et de télés connectées de mettre un peu de beurre dans leurs épinards (les plates-formes s'arrachent ces espaces privilégiés à grands coups de dollars).
« Ces histoires de gros sous désavantagent les chaînes et les plateformes françaises. Un tout petit acteur comme Salto n'a pas les moyens de jouer des coudes pour occuper un bouton de la télécommande d'une télé Samsung ou LG. Pourtant, l'enjeu est de taille à l'heure où ces périphériques n'ont même plus de pavé numérique. »
« On peut néanmoins se demander si c'est bien la place du législateur de s'intéresser à ces questions et, le cas échéant, d'aller jusqu'à réglementer les boutons des télécommandes. »
« Mais on ne plaisante pas avec la visibilité des services français, qui ont déjà obtenu un ajout à la loi de 1986 sur l'audiovisuel : à partir du 1er janvier, les "services d'intérêt général" devront figurer en bonne place ("visibilité appropriée") sur les interfaces des téléviseurs connectés et les magasins d'applications. La loi prévoit une mise en avant sur l'écran d'accueil, les résultats d'une recherche ou encore dans les recommandations. Des sanctions sont prévues contre les récalcitrants. »
« Il s'agit de statuer sur la "nuisance" que représenteraient ces boutons, qui permettent aux constructeurs de box et de télés connectées de mettre un peu de beurre dans leurs épinards (les plates-formes s'arrachent ces espaces privilégiés à grands coups de dollars).
« Ces histoires de gros sous désavantagent les chaînes et les plateformes françaises. Un tout petit acteur comme Salto n'a pas les moyens de jouer des coudes pour occuper un bouton de la télécommande d'une télé Samsung ou LG. Pourtant, l'enjeu est de taille à l'heure où ces périphériques n'ont même plus de pavé numérique. »
« On peut néanmoins se demander si c'est bien la place du législateur de s'intéresser à ces questions et, le cas échéant, d'aller jusqu'à réglementer les boutons des télécommandes. »
« Mais on ne plaisante pas avec la visibilité des services français, qui ont déjà obtenu un ajout à la loi de 1986 sur l'audiovisuel : à partir du 1er janvier, les "services d'intérêt général" devront figurer en bonne place ("visibilité appropriée") sur les interfaces des téléviseurs connectés et les magasins d'applications. La loi prévoit une mise en avant sur l'écran d'accueil, les résultats d'une recherche ou encore dans les recommandations. Des sanctions sont prévues contre les récalcitrants. »