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Selon 60 millions de consommateurs, « le fléau touche toutes les filières qui ont l'obligation de mentionner le pays d'origine, mais en particulier le secteur viticole, où les affaires de vrais-faux vins français se multiplient ».
Au pays du Soleil-Levant, alors qu'on manque de pommes de terre ces jours-ci, on préfère rationner les chips, vendues à prix d'or, plutôt que de recourir à des importations. Étonnant.
C'est français et ça marche ! La clef du succès : « l'amélioration constante du produit, le respect de la vie privée et la neutralité des résultats ». Dès ce soir, on s'y essaie enfin. Patriotisme économique !
Les sympathisants du FN sont apparemment les moins enclins à préférer les voitures françaises. Cela étant, entre l'achat d'une Clio fabriquée en Turquie et celui d'une Yaris produite dans l'Hexagone, lequel faudrait-il privilégier ?
Sans doute tous les avions se ressemblent-ils aux yeux des communicants de TBWA… Mais tel n'est pas le cas ! C'est une bourde au demeurant sans conséquence.
Le remplacement du Famas par un fusil étranger suscite la controverses. Mais tandis que les démagogues s'indignent, il semblerait que le Gouvernement travaille à rendre à la France la capacité de produire ses propres munitions.
Le général Bosser défend le choix du HK-416. « Dans le combat moderne », explique-t-il, « il ne faut pas accorder trop d'importance au fusil en tant que marque de souveraineté ». Ses arguments tranchent avec le patriotisme d'opérette.
« Samsung a décidé de ne plus inscrire sa marque sur ses smartphones Galaxy vendus au Japon », comme le rapportait Clubic au printemps dernier. En effet, sur ce marché, « ce n'est pas du tout un avantage d'être sud-coréen » – au contraire !
En écho à la polémique sur les P4... C'est l'occasion de rappeler « que les besoins multiples [...] ne permettent plus de commander en grand nombre un seul type de matériel, et que la nationalité d'un véhicule est parfois trompeuse ».
« Il semblerait qu'une fois de plus, le sacro-saint "achetez français, sauvez l'industrie française" ait aveuglé bien des élus et nombre de journalistes avides de sensationnalisme. »
« Il n'y avait tout simplement pas de véhicule 100 % français répondant à ce besoin », se justifie l'Hôtel de Brienne. De toute façon, les vieux P4 étaient eux-mêmes fabriqués en grande partie par Mercedes.
« Une fois de plus [...] le ministre Montebourg préfère l'affrontement théâtral au traitement des dossiers, les vitupérations à l'intelligence pratique. »
Fustigeant une opération « contraire à l'intérêt national », Camberra s'est opposé à la fusion des bourses de Singapour et d'Australie.