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Extrait d'un article signé Benoît Franquebalme, publié dans Marianne le 1erjanvier 2022.
« C'est dans War of the Bounty Hunters, un comics sorti en mai 2021, que les lecteurs ont découvert cette mystification. […] Le mois suivant, le directeur de la conception et le concepteur principal des jouets Lego Star Wars ont dû s'expliquer en parlant d'une décision venue d'en haut : "Ce n'est probablement pas quelque chose qui a été annoncé publiquement mais c'est simplement quelque chose que Disney ne veut plus utiliser." »
« Dans les films, les comics, sur les jouets, dans les séries… "Slave 1", ses brouilleurs radar et ses doubles canons laser rotatifs seront désormais appelés "Firespray" ("Aérosol"), nom du modèle de vaisseau dont il est issu. Ou pas appelés du tout à l'image du Livre de Boba Fett, série diffusée depuis le 29 décembre sur Disney +. Le vaisseau controversé n'apparaît d'ailleurs pas dans le premier épisode. »
« En juillet dernier, des Jedi transgenres (c'est sérieux) sont aussi apparus dans les comics. […] On guette maintenant avec impatience les nouvelles étapes du wokisme à la sauce Mickey. Leïa va-t-elle être relookée pour ne plus apparaître comme l'esclave sexuelle de Jabba le Hutt ? Dartk Vador continuera-t-il à être tout noir ? Suspense. En attendant, vous pouvez vous faire plaisir en achetant des vaisseaux Slave 1 sur le site lego.com où ils sont bizarrement encore en vente. »
« C'est dans War of the Bounty Hunters, un comics sorti en mai 2021, que les lecteurs ont découvert cette mystification. […] Le mois suivant, le directeur de la conception et le concepteur principal des jouets Lego Star Wars ont dû s'expliquer en parlant d'une décision venue d'en haut : "Ce n'est probablement pas quelque chose qui a été annoncé publiquement mais c'est simplement quelque chose que Disney ne veut plus utiliser." »
« Dans les films, les comics, sur les jouets, dans les séries… "Slave 1", ses brouilleurs radar et ses doubles canons laser rotatifs seront désormais appelés "Firespray" ("Aérosol"), nom du modèle de vaisseau dont il est issu. Ou pas appelés du tout à l'image du Livre de Boba Fett, série diffusée depuis le 29 décembre sur Disney +. Le vaisseau controversé n'apparaît d'ailleurs pas dans le premier épisode. »
« En juillet dernier, des Jedi transgenres (c'est sérieux) sont aussi apparus dans les comics. […] On guette maintenant avec impatience les nouvelles étapes du wokisme à la sauce Mickey. Leïa va-t-elle être relookée pour ne plus apparaître comme l'esclave sexuelle de Jabba le Hutt ? Dartk Vador continuera-t-il à être tout noir ? Suspense. En attendant, vous pouvez vous faire plaisir en achetant des vaisseaux Slave 1 sur le site lego.com où ils sont bizarrement encore en vente. »
Les controverses sur le racisme, le féminisme, etc. n'épargnent pas la saga Star Wars. Cet ouvrage signé Rebecca Harrison (The Empire Strikes Back, BFI Publishing, octobre 2020), en apporte une nouvelle illustration.
L'auteur annonce la couleur, puisque son livre est « dédié aux fans transgenres, binaires, gays, lesbiennes, bisexuels, de couleur, handicapés, travailleuses du sexe, indigènes, survivants, ouvriers et femmes » ! Comme le rapporte Star Wars Universe, Rebecca Harrison précise, par ailleurs, « qu'elle est blanche, féministe, gauchère, lesbienne, et grande fan de Star Wars ».
Cela étant, selon la critique publiée sur ce site francophone le 15 janvier 2021, « au fur et à mesure des pages, on se demande ce que Rebecca Harrison veut bien nous raconter ». Il lui est reproché, en outre, de « toujours vouloir voir le verre à moitié vide » : « on part sur le fait qu'on a une Leia forte et leader dans ce film, et pendant ce temps-là, on n'a toujours pas de femmes qui vont dans l'espace » ; « on a Lando, oui mais où sont les femmes noires ».
Dans cette critique, on retient malgré tout quelques faits intéressants. D'une part, « peu de femmes sont créditées au générique » de L'Empire contre-attaque, « comme les assistantes caméra par exemple, alors qu'elles faisaient les boulots les plus pénibles ; autrement dit, « les femmes étaient présentes à tous les niveaux de la production, mais elles sont restées dans l'ombre ». D'autre part, « les premiers fanzines Star Wars ont été édités par des femmes » ; et « les tous débuts du fandom ont été gérés par des filles ».
Mais visiblement, l'auteur « part aussi dans des délires ». Exemples : « Leia n'est jamais vue comme dominante, une femme qui contrôle la situation. Pour preuve, quand elle donne ses directives pour l'évacuation de Hoth avec les pilotes autour d'elle, il y en a un qui lui demande "seulement deux chasseurs pour escorter" (un truc dans le genre) et bien en fait, il met à mal son autorité. […] Vador et l'Empereur sont probablement des "queers" car ils ne s'intéressent pas à Leia, seulement à Luke. […] Vador est effrayant car son armure évoque un monde dans lequel les Noirs possèdent le pouvoir sur les Blancs. » Convaincu ?
Quoi qu'il en soit, un autre ouvrage du même auteur est d'ores et déjà annoncé sous le titre Decoding Star Wars – Gender, race and power of code in a galaxy far, far away ; cela promet !
L'auteur annonce la couleur, puisque son livre est « dédié aux fans transgenres, binaires, gays, lesbiennes, bisexuels, de couleur, handicapés, travailleuses du sexe, indigènes, survivants, ouvriers et femmes » ! Comme le rapporte Star Wars Universe, Rebecca Harrison précise, par ailleurs, « qu'elle est blanche, féministe, gauchère, lesbienne, et grande fan de Star Wars ».
Cela étant, selon la critique publiée sur ce site francophone le 15 janvier 2021, « au fur et à mesure des pages, on se demande ce que Rebecca Harrison veut bien nous raconter ». Il lui est reproché, en outre, de « toujours vouloir voir le verre à moitié vide » : « on part sur le fait qu'on a une Leia forte et leader dans ce film, et pendant ce temps-là, on n'a toujours pas de femmes qui vont dans l'espace » ; « on a Lando, oui mais où sont les femmes noires ».
Dans cette critique, on retient malgré tout quelques faits intéressants. D'une part, « peu de femmes sont créditées au générique » de L'Empire contre-attaque, « comme les assistantes caméra par exemple, alors qu'elles faisaient les boulots les plus pénibles ; autrement dit, « les femmes étaient présentes à tous les niveaux de la production, mais elles sont restées dans l'ombre ». D'autre part, « les premiers fanzines Star Wars ont été édités par des femmes » ; et « les tous débuts du fandom ont été gérés par des filles ».
Mais visiblement, l'auteur « part aussi dans des délires ». Exemples : « Leia n'est jamais vue comme dominante, une femme qui contrôle la situation. Pour preuve, quand elle donne ses directives pour l'évacuation de Hoth avec les pilotes autour d'elle, il y en a un qui lui demande "seulement deux chasseurs pour escorter" (un truc dans le genre) et bien en fait, il met à mal son autorité. […] Vador et l'Empereur sont probablement des "queers" car ils ne s'intéressent pas à Leia, seulement à Luke. […] Vador est effrayant car son armure évoque un monde dans lequel les Noirs possèdent le pouvoir sur les Blancs. » Convaincu ?
Quoi qu'il en soit, un autre ouvrage du même auteur est d'ores et déjà annoncé sous le titre Decoding Star Wars – Gender, race and power of code in a galaxy far, far away ; cela promet !
En cause : son refus de réécrire sa biographie avec un langage dit inclusif ; son souhait de voir l'élection présidentielle américaine épargnée par la fraude ; et des réserves exprimées au second degré sur le port du masque.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
Voilà un terme familier des fans de Star Wars, qui s'impose désormais dans le monde industriel.
Valeo est un équipementier automobile de premier plan. Depuis quelque temps, il investit particulièrement dans l'électrification des véhicules et le développements des aides à la conduite. Mais « la mobilité, ce n'est pas seulement la voiture », a prévenu Jacques Aschenbroich, le patron de l'entreprise, lors de sa dernière assemblée générale, comme le rapporte le Journal de l'automobile le 26 juin 2020.
Selon lui, « l'usage de droïdes, pour la livraison, le nettoyage ou la désinfection, va se renforcer dans les années qui viennent » ; c'est pourquoi il lui semble « essentiel […] que Valeo, grâce à ses technologies, se positionne sur ces autres types de mobilité ». Y compris les vaisseaux spatiaux ?
Pour le moment, seul le vocabulaire est emprunté à La Guerre des étoiles, mais ce n'est sans doute qu'un début !
Valeo est un équipementier automobile de premier plan. Depuis quelque temps, il investit particulièrement dans l'électrification des véhicules et le développements des aides à la conduite. Mais « la mobilité, ce n'est pas seulement la voiture », a prévenu Jacques Aschenbroich, le patron de l'entreprise, lors de sa dernière assemblée générale, comme le rapporte le Journal de l'automobile le 26 juin 2020.
Selon lui, « l'usage de droïdes, pour la livraison, le nettoyage ou la désinfection, va se renforcer dans les années qui viennent » ; c'est pourquoi il lui semble « essentiel […] que Valeo, grâce à ses technologies, se positionne sur ces autres types de mobilité ». Y compris les vaisseaux spatiaux ?
Pour le moment, seul le vocabulaire est emprunté à La Guerre des étoiles, mais ce n'est sans doute qu'un début !
« C'est une drôle de banderole qui a été installée rue Valade, à deux pas de la place Saint-Pierre, haut lieu des fêtes étudiantes toulousaines », rapporte Le Parisien le 10 juin 2020.
« À l'entrée de la paroisse des étudiants, trône une photo de Dark Vador interpellant les passants : "Tu penches du côté obscur ? Regarde au dos !" Sur la face opposée, c'est Jésus-Christ qui tient un sabre-laser, tout en blanc tel un Jedi, surmonté de la légende : "Jésus est ressuscité. Viens à la lumière !" »
« Depuis son installation pour le carême », précise Julie Rimbert, « l'affiche fait beaucoup réagir » ; « jusqu'aux fans de Star Wars qui accusent la paroisse de blasphème envers le film culte » ! En tout cas, remarque-t-elle, « cette banderole, imaginée par les étudiants de la paroisse, a donc atteint son but ».
« À l'entrée de la paroisse des étudiants, trône une photo de Dark Vador interpellant les passants : "Tu penches du côté obscur ? Regarde au dos !" Sur la face opposée, c'est Jésus-Christ qui tient un sabre-laser, tout en blanc tel un Jedi, surmonté de la légende : "Jésus est ressuscité. Viens à la lumière !" »
« Depuis son installation pour le carême », précise Julie Rimbert, « l'affiche fait beaucoup réagir » ; « jusqu'aux fans de Star Wars qui accusent la paroisse de blasphème envers le film culte » ! En tout cas, remarque-t-elle, « cette banderole, imaginée par les étudiants de la paroisse, a donc atteint son but ».
Que dire de la Chiron Pur Sport présentée par Bugatti ?
« C'est la face arrière qui apparaît la plus impressionnante », selon Nicolas Meunier, « avec un aileron arrière large de 1,90 mètres, aux supports en X qui se prolongent dans la grille inférieure ». « Sans détour », précise-t-il dans Challenges (27 mai 2020), « les stylistes de la marque avouent avoir puisé leur inspiration dans les vaisseaux de science-fiction » ; « en l'occurrence, le fameux X-Wing de la saga Star Wars ». Vraiment ? Ces appareils-là sont réputés pour leur agilité. Ce qui n'est sans doute pas la qualité première d'une auto frisant les deux tonnes…
« C'est la face arrière qui apparaît la plus impressionnante », selon Nicolas Meunier, « avec un aileron arrière large de 1,90 mètres, aux supports en X qui se prolongent dans la grille inférieure ». « Sans détour », précise-t-il dans Challenges (27 mai 2020), « les stylistes de la marque avouent avoir puisé leur inspiration dans les vaisseaux de science-fiction » ; « en l'occurrence, le fameux X-Wing de la saga Star Wars ». Vraiment ? Ces appareils-là sont réputés pour leur agilité. Ce qui n'est sans doute pas la qualité première d'une auto frisant les deux tonnes…
Le critique de Satr Wars Universe a été enthousiasmé par The Art of Rebels, un livre richement illustré – où le texte viendrait presque à manquer ! – dévoilant quelques-un des coulisses de cette sympathique série d'animation.
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« L'Ascension de Skywalker va-t-il avoir un spin-off dont personne ne veut ? »
La question et posée par nos confrères d'Écran large (29 avril 2020). C'est une façon de moquer l'aveu de Naomi Ackie, qui ne cache pas son rêve d'incarner à nouveau le personnage de Jannah.
« Obtenir ce rôle dans Star Wars était surréaliste », raconte-t-elle. « J'ai adoré jouer Jannah parce qu'elle est forte et courageuse », explique-t-elle. « C'est l'une des premières femmes noires à entrer dans l'univers de Star Wars en quarante et un ans », souligne-t-elle, « et j'ai senti que ça avait de l'importance ». « Pour moi », précise-t-elle encore, « tout était important, de la texture naturelle des cheveux, au fait de parler librement de ce que l'industrie peut faire de plus ». Ce qu'elle peut faire de plus pour la représentation des Noirs au cinéma, évidemment.
Selon notre consœur Marion Barlet, « ce serait […] l'occasion de promouvoir un personnage féminin noir dans l'univers Star Wars, d'après Naomi Ackie, enjeu politico-social qu'on retrouve dans son refus d'une coiffure lisse, à l'occidentale ».
S'agirait-il alors d'instrumentaliser l'œuvre de George Lucas à des fins politiques ou communautaristes ?
La question et posée par nos confrères d'Écran large (29 avril 2020). C'est une façon de moquer l'aveu de Naomi Ackie, qui ne cache pas son rêve d'incarner à nouveau le personnage de Jannah.
« Obtenir ce rôle dans Star Wars était surréaliste », raconte-t-elle. « J'ai adoré jouer Jannah parce qu'elle est forte et courageuse », explique-t-elle. « C'est l'une des premières femmes noires à entrer dans l'univers de Star Wars en quarante et un ans », souligne-t-elle, « et j'ai senti que ça avait de l'importance ». « Pour moi », précise-t-elle encore, « tout était important, de la texture naturelle des cheveux, au fait de parler librement de ce que l'industrie peut faire de plus ». Ce qu'elle peut faire de plus pour la représentation des Noirs au cinéma, évidemment.
Selon notre consœur Marion Barlet, « ce serait […] l'occasion de promouvoir un personnage féminin noir dans l'univers Star Wars, d'après Naomi Ackie, enjeu politico-social qu'on retrouve dans son refus d'une coiffure lisse, à l'occidentale ».
S'agirait-il alors d'instrumentaliser l'œuvre de George Lucas à des fins politiques ou communautaristes ?
« Un stormtrooper qui contrôle la température d'un automobiliste à un barrage routier » ? C'est le genre de scènes auxquelles ont assiste aux Philippines. « Depuis vendredi », en effet, « des stormtroopers de la 501e garnison de Scarif de Cebu prêtent main-forte aux soldats et policiers déployés sur un barrage à Consolation, au nord de Cebu », comme le rapporte Le Petit Journal. « Alors que la quarantaine communautaire renforcée a été prolongée jusqu'au 15 mai à Cebu », précisent-ils, « cette initiative vise notamment à apaiser les tensions lors des contrôles ».
L'immixtion des personnages "non genrés" dans l'Univers étendu : un cas d'école.
Voilà que ce photomontage figure dans un manuel scolaire imprimé en Arabie saoudite ! On espère que les responsables de cette bourde subiront un châtiment moins sévère que les subordonnés du seigneur Vador…
Un personnage bisexuel dans le prochain Star Wars ? Pas tout à fait quand même. Tout en présentant une dimension politique, l'œuvre de Georges Lucas ne s'est jamais voulue militante, cultivant une certaine naïveté. Tant mieux.
La preuve avec Star Wars : le lancement de nouveaux produits dérivés, à l'approche de la sortie des Derniers Jedi, donnera lieu à une chasse aux trésors dans les magasins.
Quand Warner Bros tente de faire valoir ses droits sur la musique de Star Wars, bien que celle-ci ait été précisément retirée de la vidéo incriminée dès sa publication sur Youtube.
Qu'on propose le partage du travail ou qu'on dénonce le vol des emplois par des immigrés, on puise dans la même inspiration malthusienne. De ce point de vue, les propos prêtés ici au gouverneur Tarkin donnent à réfléchir.
Télérama brosse le portrait de cet universitaire américain (1904-1987), auteur d'un célèbre essai de mythologies comparées, dont George Lucas n'a jamais caché qu'il s'était grandement inspiré pour créer La Guerre des étoiles.
Quand Raphaël Enthoven se penche sur La Guerre des étoiles, en compagnie d'un philosophe attribuant à Yoda des propos empruntés à Nietzsche ou Spinoza – entre autres ! Saluons au passage le regard critique porté sur les Jedi.
Raphaëlle Peltier : « Leia est une femme qui bouscule les codes du patriarcat, mais elle est bien seule. Amidala, elle, a conquis un rôle politique important, mais sacrifie finalement sa vie publique à sa vie privée. »
Sur ce blog, on admire la princesse Leia, qui serait « inspirée par la figure féministe de la fin des années soixante-dix ». En revanche, on n'aime beaucoup moins Padmé, et l'on ne dit encore rien sur Rey, l'héroïne du Réveil de la Force.
Il était inévitable que l'UE soit balayé du "canon" officiel. Cependant, ajouterons-nous, cela rend d'autant plus regrettable que les scénaristes du Réveil de la Force en aient recyclé certains clichés parmi les plus éculés.