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Un « plan fédéral pour l'économie circulaire » a été annoncé en Belgique. Comme l'explique RTL (13 janvier 2022), il est question, entre autres, de « favoriser la réparabilité via l'affichage d'un indice de réparabilité » et de « fournir de l'information sur le maintien de la compatibilité logicielle » ; à ce titre, « le consommateur sera informé de la durée pendant laquelle son appareil supportera les mises à jour successives ».
Ce concept Luna peut sembler séduisant : « Dell met […] l'accent sur le recours à un assemblage simple de ses composants, batterie comprise. Des vis classiques permettent de monter ou de démonter la machine. Pas de recours à de la colle pour fixer certains composants. […] Clavier, pavé tactile, batterie, écran, haut-parleurs et autres peuvent être remplacés. L'idée étant également de pouvoir employer à nouveau les pièces dans d'autres machines en cas de pépin. […] Il ne faut qu'une heure trente à un technicien pour désassembler totalement l'engin.
Autre aspect positif : « le recours à une batterie à longue durée de vie » ; « plus longues à recharger, plus chères, ces batteries peuvent durer jusqu'à deux fois plus longtemps qu'une batterie "moderne" ».
Mais voilà : « Le point sur lequel Dell ne s'appesantit pas est sur l'intégration complète de la carte mère. […] Mémoire vive et stockage sont soudés, inamovibles et indissociables de l'ensemble. On a certes un accès direct à tous ces composants mais il faudra bien les choisir au moment de l'achat puisqu'il sera impossible d'intervenir dessus dans un second temps. Cette carte mère, en cas de panne, sera bonne à recycler. Il faudra acheter à nouveau l'ensemble processeur, mémoire vive et stockage. »
De plus, il ne s'agit que d'un concept… Et de toute façon, l'émergence de standards, dans l'industrie du PC portable, semble difficile, et pas seulement parce que les fabricants sont tentés de garder la main sur la maintenance : « Si cela était possible cela uniformiserait totalement la production actuelle et il n'y aurait alors non seulement plus d'âme dans ces produits mais plus non plus d'innovation. Tout le monde ferait la même machine et le client choisirait la moins chère. Ce serait la fin assurée de cette industrie. Les châssis avec une charnière à 360 degrés seraient un standard différent, les écrans détachables en formeraient encore un autre. Non seulement la faisabilité diplomatique de ce concept nécessiterait une entente des différents acteurs du marché, mais elle imposerait que tout innovateur, s'il voulait introduire un nouveau produit, serait obligé de le partager avec les autres pour valider son idée… »
Et pourtant, un PC portable facilement réparable serait plus pertinent que jamais : « Les évolutions logicielles étant ce qu'elles ont été pendant des années, le passage d'une machine à une autre semblait nécessaire pour suivre l'appétit en ressources imposé par le software. Mais depuis quelques années, sur la majorité des usages de l'informatique, on assiste à une stagnation. Les machines milieu et haut de gamme de 2013-2014 sont toujours parfaitement aptes à exécuter les tâches quotidiennes d'un point de vue calcul pour peu qu'elles soient épaulées par suffisamment de mémoire vive et de stockage. […] Surf, bureautique ou multimédia ne sont pas un problème avec un Core I5 de quatrième ou cinquième génération. Les diagonales d'écran ont également fini par gagner en sagesse, on a recentré beaucoup de la production autour d'un standard Full HD et même si beaucoup des engins présentés par les marques proposent désormais un écran Ultra HD avec des technologies très évoluées comme le OLED ou des normes HDR avancées, cela ne reste qu'une frange de la production et des ventes. »
Autrement dit : « Le souci vient donc moins des compétences de la machine que des accessoires. Un écran qui lâche, une nappe qui, à force d'être trop manipulée en interne, finit par poser problème. Un port USB, HDMI ou jack qui ne tient plus, un connecteur d'alimentation hors-service, un ventilateur qui se désaxe, une batterie qui n'a plus d'autonomie ou des charnières qui finissent par se décrocher du châssis. Ces postes là sont réparables. Enfin seraient réparables. Facilement même si les pièces détachées nécessaires étaient disponibles à des prix acceptables. Réparables si la recherche d'une finesse extrême ne venait pas non plus rendre toute tentative difficile ou impossible. Le pire étant que cette finesse, qui n'a pas vraiment d'autre but que l'esthétique globale du produit, n'apporte que des ennuis aux machines mobiles : fragilité accentuée, recours à des composants qu'il faut coller et ouverture parfois impossible du châssis. »
Et c'est là que nous, consommateurs, comme on dit, avons une responsabilité : « ce sont également les acheteurs qui se plongent avec délice dans le piège du design des constructeurs. A préférer une solution plus fine dont aucun composant ne pourra être extrait, où la réparabilité est annihilée à grands coup de colle et de matériaux emboîtes plutôt qu’un engin souvent quelques millimètres plus épais mais totalement réparable. » D'ailleurs, ajouterons-nous, certains PC portables sont d'ores et déjà beaucoup plus réparables et évolutifs qu d'autres, sans qu'ils se vendent forcément mieux…
Autre aspect positif : « le recours à une batterie à longue durée de vie » ; « plus longues à recharger, plus chères, ces batteries peuvent durer jusqu'à deux fois plus longtemps qu'une batterie "moderne" ».
Mais voilà : « Le point sur lequel Dell ne s'appesantit pas est sur l'intégration complète de la carte mère. […] Mémoire vive et stockage sont soudés, inamovibles et indissociables de l'ensemble. On a certes un accès direct à tous ces composants mais il faudra bien les choisir au moment de l'achat puisqu'il sera impossible d'intervenir dessus dans un second temps. Cette carte mère, en cas de panne, sera bonne à recycler. Il faudra acheter à nouveau l'ensemble processeur, mémoire vive et stockage. »
De plus, il ne s'agit que d'un concept… Et de toute façon, l'émergence de standards, dans l'industrie du PC portable, semble difficile, et pas seulement parce que les fabricants sont tentés de garder la main sur la maintenance : « Si cela était possible cela uniformiserait totalement la production actuelle et il n'y aurait alors non seulement plus d'âme dans ces produits mais plus non plus d'innovation. Tout le monde ferait la même machine et le client choisirait la moins chère. Ce serait la fin assurée de cette industrie. Les châssis avec une charnière à 360 degrés seraient un standard différent, les écrans détachables en formeraient encore un autre. Non seulement la faisabilité diplomatique de ce concept nécessiterait une entente des différents acteurs du marché, mais elle imposerait que tout innovateur, s'il voulait introduire un nouveau produit, serait obligé de le partager avec les autres pour valider son idée… »
Et pourtant, un PC portable facilement réparable serait plus pertinent que jamais : « Les évolutions logicielles étant ce qu'elles ont été pendant des années, le passage d'une machine à une autre semblait nécessaire pour suivre l'appétit en ressources imposé par le software. Mais depuis quelques années, sur la majorité des usages de l'informatique, on assiste à une stagnation. Les machines milieu et haut de gamme de 2013-2014 sont toujours parfaitement aptes à exécuter les tâches quotidiennes d'un point de vue calcul pour peu qu'elles soient épaulées par suffisamment de mémoire vive et de stockage. […] Surf, bureautique ou multimédia ne sont pas un problème avec un Core I5 de quatrième ou cinquième génération. Les diagonales d'écran ont également fini par gagner en sagesse, on a recentré beaucoup de la production autour d'un standard Full HD et même si beaucoup des engins présentés par les marques proposent désormais un écran Ultra HD avec des technologies très évoluées comme le OLED ou des normes HDR avancées, cela ne reste qu'une frange de la production et des ventes. »
Autrement dit : « Le souci vient donc moins des compétences de la machine que des accessoires. Un écran qui lâche, une nappe qui, à force d'être trop manipulée en interne, finit par poser problème. Un port USB, HDMI ou jack qui ne tient plus, un connecteur d'alimentation hors-service, un ventilateur qui se désaxe, une batterie qui n'a plus d'autonomie ou des charnières qui finissent par se décrocher du châssis. Ces postes là sont réparables. Enfin seraient réparables. Facilement même si les pièces détachées nécessaires étaient disponibles à des prix acceptables. Réparables si la recherche d'une finesse extrême ne venait pas non plus rendre toute tentative difficile ou impossible. Le pire étant que cette finesse, qui n'a pas vraiment d'autre but que l'esthétique globale du produit, n'apporte que des ennuis aux machines mobiles : fragilité accentuée, recours à des composants qu'il faut coller et ouverture parfois impossible du châssis. »
Et c'est là que nous, consommateurs, comme on dit, avons une responsabilité : « ce sont également les acheteurs qui se plongent avec délice dans le piège du design des constructeurs. A préférer une solution plus fine dont aucun composant ne pourra être extrait, où la réparabilité est annihilée à grands coup de colle et de matériaux emboîtes plutôt qu’un engin souvent quelques millimètres plus épais mais totalement réparable. » D'ailleurs, ajouterons-nous, certains PC portables sont d'ores et déjà beaucoup plus réparables et évolutifs qu d'autres, sans qu'ils se vendent forcément mieux…
« L'un des avantages majeurs de ce produit et non des moindres, est sa promesse de non obsolescence. La batterie est facilement amovible, ce qui est très rare, même sur des appareils haut de gamme. Ce n'est pas tout, puisque la carte réseau peut également être retirée, ce qui permettra de la remplacer ou de l'upgrader si à l'avenir certains protocoles évoluaient. Il ne s'agit pas d'un système modulaire total, mais l'initiative mérite déjà d'être soulignée et gagnerait à se démocratiser. »
Ce produit tiendra-t-il ses promesses ? Sur le papier, en tout cas, cela semble séduisant.
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
« Les avantages de ce type d'éclairage sont nombreux puisqu'il serait moins énergivore et surtout sa durée de vie serait équivalente à celle de la voiture. […] Des avantages que ne [confirme] pas l'ADAC, l'automobile-club allemand qui […] démontre qu'une quinzaine d'années serait suffisante pour arriver à bout de ces projecteurs. […] En réalité, cela dépendrait […] beaucoup des modèles. En effet, certaines optiques seraient plus fragiles face à l'humidité et d'éventuels soucis électroniques. De la même manière, un compartiment moteur mal conçu, ou encore des ajustements de carrosserie mal réalisés, peuvent entraîner des défaillances prématurées, les diodes étant plus sensibles face à la chaleur par exemple. »
« Jusqu'ici, il n'y a rien de vraiment différent avec les halogènes, ceux-ci étant aussi parfois fragiles, à ceci près que leur remplacement n'était pas aussi coûteux par rapport à un phare à LED. S'il était encore possible, il y a quelques années, de changer son ampoule défaillante, c'est désormais quasiment mission impossible avec des feux à LED, ceux-ci étant "scellés". Il est aussi impossible de remplacer une diode ou un segment de diodes défaillant. Cela entraîne donc, purement et simplement, un remplacement complet du bloc optique. »
« L'ADAC précise que l'optique qui doit être changée coûte environ 700 euros pour un modèle basique, mais peut atteindre 4 800 euros si le phare comprend, par exemple, des projecteurs Matrix LED avec des faisceaux dynamiques. Pour les feux arrière, il faudra compter, en moyenne, environ 600 euros d'après l'ADAC. Un prix plus contenu, mais toujours plus élevé que les 15 euros réclamés auparavant pour changer une simple ampoule. La complexité de cette technologie joue aussi sur le prix des assurances, puisque les compagnies répercutent le renchérissement des réparations engendré en cas d'accident. »
« L'ADAC milite donc pour que les constructeurs trouvent un moyen de réduire la facture, tout en saluant les progrès, notamment concernant la sécurité. […] L'association allemande préconise, entre autres, d'installer des composants facilement remplaçables et éviter leur changement intégral à chaque dysfonctionnement. »
« Jusqu'ici, il n'y a rien de vraiment différent avec les halogènes, ceux-ci étant aussi parfois fragiles, à ceci près que leur remplacement n'était pas aussi coûteux par rapport à un phare à LED. S'il était encore possible, il y a quelques années, de changer son ampoule défaillante, c'est désormais quasiment mission impossible avec des feux à LED, ceux-ci étant "scellés". Il est aussi impossible de remplacer une diode ou un segment de diodes défaillant. Cela entraîne donc, purement et simplement, un remplacement complet du bloc optique. »
« L'ADAC précise que l'optique qui doit être changée coûte environ 700 euros pour un modèle basique, mais peut atteindre 4 800 euros si le phare comprend, par exemple, des projecteurs Matrix LED avec des faisceaux dynamiques. Pour les feux arrière, il faudra compter, en moyenne, environ 600 euros d'après l'ADAC. Un prix plus contenu, mais toujours plus élevé que les 15 euros réclamés auparavant pour changer une simple ampoule. La complexité de cette technologie joue aussi sur le prix des assurances, puisque les compagnies répercutent le renchérissement des réparations engendré en cas d'accident. »
« L'ADAC milite donc pour que les constructeurs trouvent un moyen de réduire la facture, tout en saluant les progrès, notamment concernant la sécurité. […] L'association allemande préconise, entre autres, d'installer des composants facilement remplaçables et éviter leur changement intégral à chaque dysfonctionnement. »
Son objectif ? « Rendre visibles et accessibles toutes les notes de réparabilité des appareils qui sont sur le marché » et « stocker et conserver les indices de réparabilité par modèle et par marque, dans le but de pouvoir s'y référer dans plusieurs années, par exemple au moment de la première panne ». C'est une initiative de Spareka, qui se présente comme le « leader de l'auto-réparation en France ».
« Il est difficile d'imaginer que des filières comme le textile ou l'électronique soient reconstituées dans le pays », prévient Jean-Baptiste Guillaume, associé chez IAC Partners. « Nous n'avons même plus les compétences ni les outils, ce sont des industries gourmandes en main-d'œuvre ou qui demanderaient des investissements démesurés », explique-t-il. « En revanche », poursuit-il, « il y a beaucoup d'articles pour lesquels on peut imaginer une production en France, mais adaptée de manière à rester compétitive ». Selon lui, « il faut jouer sur deux leviers ». Lesquels ? « Le coût matière, d'abord : il s'agit de réduire la quantité de matière nécessaire à chaque pièce, tout en en garantissant la fonction. Et le coût lié à la main-d'œuvre ensuite : le process de production doit être repensé, automatisé ou simplifié, pour qu'il demande moins de travail. » Autrement dit, « pour pouvoir fabriquer un mixeur en France à coût raisonnable, il faut ainsi réduire le nombre de pièces à assembler » car « quelques vis en moins, c'est plusieurs secondes gagnées sur des milliers d'articles ». Pas sûr que cela rende les produits plus faciles à réparer.
Le Luxman D-10X n'est pas un lecteur CD ordinaire. Il se distingue par sa « conception jusqu'au-boutiste » selon le titre choisi par On-Topaudio pour annoncer sa commercialisation. « Le point le plus fascinant reste sa structure tout en petits modules », est-il rapporté dans cet article : « ainsi les différents étages et circuits dédiés sont-ils séparés par des parois en aluminium, cela sur deux niveaux eux aussi dissociés par une paroi » ; « il y a fort à parier que le Luxman D-10X présente alors une grande réparabilité ». Mais cela a un prix : 17 000 euros.
Jadis, les appareils photo fonctionnaient de façon purement mécanique, sans le soutien d'aucun dispositif électronique. Faut-il regretter cette époque, quasiment révolue bien avant le passage au numérique ? La façon dont s'enclenchent les engrenages, cela procure une sensation « tout simplement magique », s'enthousiasme Aaron Gold sur le site DP Review. Entre autres avantages propres à ces appareils-là, il y a la possibilité de les faire fonctionner sans pile ni batterie – une qualité à relativiser étant donné la nécessité d'utiliser par ailleurs un posemètre. Ne craignant pas la défaillance d'un quelconque circuit imprimé, ils sont également plus réparables. Mais ils souffrent également d'une moindre fiabilité : parce qu'ils contiennent plus de pièces mobiles, et parce que leur obturateur est sujet à des dérèglements. Autrement dit, « si un appareil électronique de quarante ans fonctionne, il fonctionne probablement correctement – et prend sans doute des photos avec une meilleure précision qu'un vieil appareil mécanique qui n'a pas été entretenue ».
Voici un smartphone « étonnamment réparable au regard des standards actuels ». C'est en tout cas ce qu'affirme Notebookcheck à propos du Sony Xperia 10 II. « La prise casque et le port USB type C sont tous les deux remplaçables, par exemple », souligne Alex Alderson. « Pour accéder aux composants internes », précise-t-il, « il faut retirer le panneau arrière, mais PBK Reviews affirme qu'il n'est pas nécessaire de démonter l'appareil entier pour remplacer l'écran ». Par ailleurs, l'appareil dispose d'une languette pour faciliter le retrait de la batterie. Un exemple à suivre.
« On va passer outre les puristes qui ne jureront que par la mécanique des anciennes ou Jean-Michel Complotiste qui pense que l'obsolescence programmée s'est démocratisée et que Macron est forcément impliqué… Rien ne prouve qu'ils défendent une part de vérité. […] Il y a en réalité deux conséquences fortes qui découlent de l'augmentation de la technologie à bord, et qui touchent les automobilistes directement. »
« Aujourd'hui, impossible ou presque d'entretenir sa voiture "sans dépouiller" cette dernière, sortir son moteur pour changer une pièce avec plus de confort où être en possession d'une valise électronique. Dans un dossier sur les coulisses d'une concession et leurs marges, nous vous disions que l'Atelier est le seul service qui dégage une marge confortable. Il existe une corrélation connue entre la marge dégagée par ces ateliers, et la courbe d'évolution des technologies du marché automobile. Nous ne ferions pas notre travail de journaliste si nous tirions la conclusion que les deux sont liées et que les marques profitent des nouvelles technologies, mais il est indéniable qu'il est de plus en plus difficile d'entretenir sa voiture soi-même (si on n'est pas un professionnel). »
« Bien que le prix moyen d'une voiture depuis 2000 n'a pas autant augmenté qu'on pourrait nous le faire croire, l'arrivée de nouveaux systèmes de sécurité, d'aide à la conduite et de gestion moteur ont conduit à tirer le prix vers le haut. »
« Aujourd'hui, impossible ou presque d'entretenir sa voiture "sans dépouiller" cette dernière, sortir son moteur pour changer une pièce avec plus de confort où être en possession d'une valise électronique. Dans un dossier sur les coulisses d'une concession et leurs marges, nous vous disions que l'Atelier est le seul service qui dégage une marge confortable. Il existe une corrélation connue entre la marge dégagée par ces ateliers, et la courbe d'évolution des technologies du marché automobile. Nous ne ferions pas notre travail de journaliste si nous tirions la conclusion que les deux sont liées et que les marques profitent des nouvelles technologies, mais il est indéniable qu'il est de plus en plus difficile d'entretenir sa voiture soi-même (si on n'est pas un professionnel). »
« Bien que le prix moyen d'une voiture depuis 2000 n'a pas autant augmenté qu'on pourrait nous le faire croire, l'arrivée de nouveaux systèmes de sécurité, d'aide à la conduite et de gestion moteur ont conduit à tirer le prix vers le haut. »
L'I-Phone SE ressemble beaucoup à l'I-Phone 8, et c'est une bonne chose selon I-Fixit : « la plupart des composants sont modulaires et se remplacent individuellement » ; « ils sont en grande partie interchangeables avec les composants de l'iPhone 8 ». En revanche, même si « l'agencement général est plutôt favorable à la réparation », « il est toujours nécessaire d'avoir jusqu'à quatre tournevis différents » ; de plus, « la fragile coque arrière en verre n'est pas pratique du tout à remplacer ». Verdict : 6/10.
Comparant les PC portables proposés aujourd'hui par Lenovo et HP, Notebookcheck préfère la gamme "pro" de ce dernier. Entre autres avantages propres à plusieurs de ses modèles : la possibilité d'y connecter un chargeur sans passer par la prise USB. À première vue, celle-ci semble suffisante. Mais en cas de panne (ce qui arrive…), elle est apparemment très coûteuse à réparer.
Lenovo vient de lancer en Chine son modèle A7. Peut-être d'autres initiatives de ce genre suivront-elles !
Loin s'en faut ! Ifixit épingle le Huawei Mate XS, dont le démontage semble particulièrement délicat.