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Comme le rapporte Automobile propre (3 août 2024), « c’est sur quatre modèles que MG accorde désormais en Thaïlande la garantie à vie, qui porte sur la batterie, le groupe motopropulseur et l’électronique de puissance ».
Philippe Schwoerer ne cache pas son scepticisme : « Comment peut-on garantir à vie une voiture électrique ? Un bijou, encore, pourquoi pas, puisque qu’il est quasiment inusable. Facom le fait sur ses outils. […] Mais une voiture électrique ? On le sait bien que les batteries ne vont pas durer éternellement. Dans quinze ou vingt ans celles montée sur les MG4, Cyberster, Maxus 7 et Maxus 9 seront très certainement à remplacer. Le constructeur n’envisage certainement pas se ruiner à honorer sa promesse. Sur quoi MG compte-t-il pour ne pas mettre la caisse sur le trottoir ? L’usure de la structure ? Non couverte par la garantie illimitée elle pourrait solder l’engagement du constructeur si les véhicules étaient rendus inutilisables à cause d’elle. À moins que SAIC imagine déjà ne pas reconduire la marque aussi longtemps, ou table sur des événements qui rendraient caduque cette garantie. » Rendez-vous dans dix ou vingt ans !
Philippe Schwoerer ne cache pas son scepticisme : « Comment peut-on garantir à vie une voiture électrique ? Un bijou, encore, pourquoi pas, puisque qu’il est quasiment inusable. Facom le fait sur ses outils. […] Mais une voiture électrique ? On le sait bien que les batteries ne vont pas durer éternellement. Dans quinze ou vingt ans celles montée sur les MG4, Cyberster, Maxus 7 et Maxus 9 seront très certainement à remplacer. Le constructeur n’envisage certainement pas se ruiner à honorer sa promesse. Sur quoi MG compte-t-il pour ne pas mettre la caisse sur le trottoir ? L’usure de la structure ? Non couverte par la garantie illimitée elle pourrait solder l’engagement du constructeur si les véhicules étaient rendus inutilisables à cause d’elle. À moins que SAIC imagine déjà ne pas reconduire la marque aussi longtemps, ou table sur des événements qui rendraient caduque cette garantie. » Rendez-vous dans dix ou vingt ans !
« 7 français sur 10 savent qu’il y a des gestes d’entretien à réaliser sur les appareils électroménagers mais seulement 4 sur 10 les appliquent vraiment » : c’est ce que déplorait Anne-Charlotte Bonjean, représentante de l’Ademe, dans un communiqué de presse publié le 9 février 2024, citant une étude du Gifam. En partenariat avec plusieurs distributeurs, ceux-ci venaient de lancer une campagne de communication assurant qu’« un appareil c’est comme une relation, ça s’entretient ». De fait, « une panne sur deux est liée à un défaut d’entretien », était-il rappelé dans leur communiqué.
« Aux États-Unis, les clients d’Apple peuvent très facilement faire un diagnostic de leur I-Phone grâce à un logiciel spécifique similaire à celui utilisé en Apple Store. Celui-ci vise les bidouilleurs qui veulent effectuer une réparation sur leur appareil par l’intermédiaire du programme "Self Service Repair". »
« "Nous sommes prudemment optimistes quant à la nouvelle suite de diagnostics d’Apple. Le fait même qu’Apple l’ait conçue est un bon signe, et elle finira par être très utile", affirme Ifixit. »
« Le site note bien quelques bugs, comme lorsque le téléphone embarque une batterie non officielle. Là où on s’attendrait à voir une petite pastille verte ou jaune indiquant son état, l’outil n’affiche qu’une page blanche. Ifixit regrette aussi qu’Apple ne fasse que le minimum imposé par la loi quand elle pourrait aller plus loin. Le programme ne peut diagnostiquer que des I-Phone 12 ou plus alors que la version Apple Store de l’utilitaire fonctionne sur des appareils plus anciens. »
« Le programme de diagnostic d’Apple n’est pas encore disponible en Europe, mais Cupertino a prévu un déploiement sur le Vieux Continent dans l’année. »
« "Nous sommes prudemment optimistes quant à la nouvelle suite de diagnostics d’Apple. Le fait même qu’Apple l’ait conçue est un bon signe, et elle finira par être très utile", affirme Ifixit. »
« Le site note bien quelques bugs, comme lorsque le téléphone embarque une batterie non officielle. Là où on s’attendrait à voir une petite pastille verte ou jaune indiquant son état, l’outil n’affiche qu’une page blanche. Ifixit regrette aussi qu’Apple ne fasse que le minimum imposé par la loi quand elle pourrait aller plus loin. Le programme ne peut diagnostiquer que des I-Phone 12 ou plus alors que la version Apple Store de l’utilitaire fonctionne sur des appareils plus anciens. »
« Le programme de diagnostic d’Apple n’est pas encore disponible en Europe, mais Cupertino a prévu un déploiement sur le Vieux Continent dans l’année. »
Ce nouveau Mitsubishi ASX ne se distingue du Renault Captur que pas son logo. Les deux voitures sont en fait identiques. « Le SUV japonais profite d'une garantie contractuelle cinq ans - 100 000 kilomètres, contre deux ans - kilométrage illimité chez Renault » ; « voilà sans doute la plus grosse différence entre ces deux modèles », résume Automobile propre. C'est l'occasion de rappeler que la garantie relève avant tout d'un choix commercial (en plus d'une obligation légale) – et que ses modalités ne préjugent pas du jour où survient la panne, contrairement à ce qu'on s'imagine parfois
« L'utilisation obligatoire de vaisselle réemployable dans la restauration rapide n'est pas suffisamment respectée par les grands noms du secteur, déplore Zero Waste. "Après avoir visité près de 300 fast-foods, [l'ONG] constate que plus de la moitié des établissements ne respectent pas la nouvelle obligation de vaisselle réutilisable dans la restauration sur place de plus de vingt couverts." McDonald's applique le mieux la loi, alors que KFC et Quick l'ignorent complètement. »
« Pour rappel, la loi Anti-gaspillage et économie circulaire (Agec) prévoit que tous les restaurants servent les repas qu'ils proposent dans de la vaisselle réemployable. […] Le décret d'application impose cette mesure aux restaurants d'au moins vingt couverts. »
« Concrètement, du 9 au 22 janvier, une centaine d'activistes de Zero Waste ont inspecté 286 restaurants répartis dans 48 villes. "Plus de la moitié (57 %) des établissements visités continuent d'utiliser uniquement de la vaisselle jetable pour la restauration sur place", constatent l'ONG, ajoutant que "parmi ceux qui utilisent de la vaisselle réemployable, tous continuent de servir une partie des repas sur place, comme les sandwichs et les sauces, dans des emballages jetables". Sur ce dernier point, Zero Waste déplore que le ministère de la Transition écologique "tolère [en contradiction avec la loi] le fait de servir des sauces en portions individuelles, dans des emballages jetables, ou encore d'envelopper les sandwichs servis sur place dans du papier". »
« Pour rappel, la loi Anti-gaspillage et économie circulaire (Agec) prévoit que tous les restaurants servent les repas qu'ils proposent dans de la vaisselle réemployable. […] Le décret d'application impose cette mesure aux restaurants d'au moins vingt couverts. »
« Concrètement, du 9 au 22 janvier, une centaine d'activistes de Zero Waste ont inspecté 286 restaurants répartis dans 48 villes. "Plus de la moitié (57 %) des établissements visités continuent d'utiliser uniquement de la vaisselle jetable pour la restauration sur place", constatent l'ONG, ajoutant que "parmi ceux qui utilisent de la vaisselle réemployable, tous continuent de servir une partie des repas sur place, comme les sandwichs et les sauces, dans des emballages jetables". Sur ce dernier point, Zero Waste déplore que le ministère de la Transition écologique "tolère [en contradiction avec la loi] le fait de servir des sauces en portions individuelles, dans des emballages jetables, ou encore d'envelopper les sandwichs servis sur place dans du papier". »
« En général, les constructeurs ne s'embarrassent pas trop de leurs produits quand ils débranchent leurs services. On l'a vu récemment pour Arlo qui a annoncé l'abandon du suivi de sécurité de ses premières caméras mais les exemples sont légion. On se souvient de Sonos qui avait voulu rendre obsolète logiciellement des produits pour arranger ses chiffres de vente. La procédure est souvent toujours la même, le service est arrêté, les produits deviennent obsolètes voire dangereux. Certains constructeurs, trop rares malheureusement, décident de proposer une ouverture open source de leur code afin de permettre à d'éventuelles personnes intéressées d'adapter leurs matériels plutôt qu'il ne parte à la poubelle. Google a fait une démarche alternative en transformant la manette de sa solution en une Stadia Bluetooth. Une manette qui bascule d'un protocole orienté vers les produits de la marque en une manette compatible avec tous les produits employant un système de communication plus ouvert. »
« C'est évidemment une bonne chose mais c'est d'autant plus exemplaire que Google propose une mise à jour étape par étape de la manette avec un guide très clair. Cela permet vraiment à tout un chacun de profiter de la manette Stadia Bluetooth et n'est donc pas juste une excuse marketing de la part de la marque. J'ai vu de nombreux fabricants proposer des mises à jour réservées à une poignée d'utilisateurs tant les compétences techniques et logicielles en jeu étaient élevées. Si il faut savoir lancer des outils de programmation pour reprendre en main un produit vendu au grand public, c'est qu'il y a un problème quelque part. »
« La réaction de Google est exemplaire. Faire d'un fiasco comme son service de streaming de jeu, un modèle à suivre en terme de réhabilitation matérielle est a mettre à son crédit. […] Cette manette Stadia Bluetooth est un exemple a garder en tête lors de la future annonce d'un produit déclaré désormais "obsolète" par un fabricant. À la fin d'un service tout un chacun est en droit d'exiger le support de ses produits au travers d'une transition de cette qualité. Ce n'est pas inscrit dans la loi bien sûr mais c'est bien le moins que l'on puisse attendre d'une société qui va par ailleurs affirmer dans sa communication des actions écologiques en soutien à notre environnement. »
« C'est évidemment une bonne chose mais c'est d'autant plus exemplaire que Google propose une mise à jour étape par étape de la manette avec un guide très clair. Cela permet vraiment à tout un chacun de profiter de la manette Stadia Bluetooth et n'est donc pas juste une excuse marketing de la part de la marque. J'ai vu de nombreux fabricants proposer des mises à jour réservées à une poignée d'utilisateurs tant les compétences techniques et logicielles en jeu étaient élevées. Si il faut savoir lancer des outils de programmation pour reprendre en main un produit vendu au grand public, c'est qu'il y a un problème quelque part. »
« La réaction de Google est exemplaire. Faire d'un fiasco comme son service de streaming de jeu, un modèle à suivre en terme de réhabilitation matérielle est a mettre à son crédit. […] Cette manette Stadia Bluetooth est un exemple a garder en tête lors de la future annonce d'un produit déclaré désormais "obsolète" par un fabricant. À la fin d'un service tout un chacun est en droit d'exiger le support de ses produits au travers d'une transition de cette qualité. Ce n'est pas inscrit dans la loi bien sûr mais c'est bien le moins que l'on puisse attendre d'une société qui va par ailleurs affirmer dans sa communication des actions écologiques en soutien à notre environnement. »
« Comment les constructions romaines, par exemple les aqueducs ou le Panthéon de Rome, ont-elles si bien résisté au temps? […] Des chercheurs américains et européens pensent avoir enfin découvert le secret de longévité de ces merveilles d'architecture, vieilles d'environ deux mille ans : un béton capable de se réparer lui-même. »
« Jusqu'ici, la solidité du béton romain était attribuée à un ingrédient : des cendres volcaniques de la région de la baie de Naples, en Italie, qui étaient envoyées un peu partout dans l'Empire romain pour servir à la construction. Mais les chercheurs ont cette fois focalisé leur attention sur la présence d'une autre caractéristique: de tout petits morceaux blancs brillants, provenant de la chaux, un autre ingrédient utilisé pour la conception du béton. »
« Les experts pensaient jusqu'ici que ces minuscules morceaux résultaient d'un mauvais mélange de la mixture, ou de matières premières de mauvaise qualité. Mais en examinant, grâce à de techniques d'imagerie poussées, le béton d'un mur d'enceinte de la ville de Privernum en Italie, les chercheurs ont découvert que ces petits morceaux blancs étaient en réalité du carbonate de calcium, formé à de très fortes températures. Ils en ont conclu que la chaux n'était pas (ou pas seulement) incorporée en étant mélangée à de l'eau, comme on le pensait jusqu'ici, mais sous forme de chaux vive. »
« Selon les chercheurs, c'est ce "mélange à chaud" qui donne à ce béton son étonnante solidité. En effet, lorsque des fissures apparaissent, l'eau de pluie entrant en contact avec le béton produit une solution saturée en calcium, qui se recristallise ensuite en carbonate de calcium, permettant ainsi de combler les fissures. Pour vérifier cette hypothèse, l'équipe de scientifiques a réalisé des échantillons de béton selon le même procédé, qu'ils ont ensuite délibérément fissuré et sur lequel ils ont fait couler de l'eau. Résultat : au bout de deux semaines, le béton était complètement réparé. Un autre échantillon produit sans chaux vive est lui resté fissuré. »
« Une découverte qui a donné naissance à une start-up à Udine, DMAT, qui veut promouvoir du béton qui aurait une durée de vie 50 % plus longue que le béton traditionnel avec des émissions de CO2, 20 % plus basses . »
« Jusqu'ici, la solidité du béton romain était attribuée à un ingrédient : des cendres volcaniques de la région de la baie de Naples, en Italie, qui étaient envoyées un peu partout dans l'Empire romain pour servir à la construction. Mais les chercheurs ont cette fois focalisé leur attention sur la présence d'une autre caractéristique: de tout petits morceaux blancs brillants, provenant de la chaux, un autre ingrédient utilisé pour la conception du béton. »
« Les experts pensaient jusqu'ici que ces minuscules morceaux résultaient d'un mauvais mélange de la mixture, ou de matières premières de mauvaise qualité. Mais en examinant, grâce à de techniques d'imagerie poussées, le béton d'un mur d'enceinte de la ville de Privernum en Italie, les chercheurs ont découvert que ces petits morceaux blancs étaient en réalité du carbonate de calcium, formé à de très fortes températures. Ils en ont conclu que la chaux n'était pas (ou pas seulement) incorporée en étant mélangée à de l'eau, comme on le pensait jusqu'ici, mais sous forme de chaux vive. »
« Selon les chercheurs, c'est ce "mélange à chaud" qui donne à ce béton son étonnante solidité. En effet, lorsque des fissures apparaissent, l'eau de pluie entrant en contact avec le béton produit une solution saturée en calcium, qui se recristallise ensuite en carbonate de calcium, permettant ainsi de combler les fissures. Pour vérifier cette hypothèse, l'équipe de scientifiques a réalisé des échantillons de béton selon le même procédé, qu'ils ont ensuite délibérément fissuré et sur lequel ils ont fait couler de l'eau. Résultat : au bout de deux semaines, le béton était complètement réparé. Un autre échantillon produit sans chaux vive est lui resté fissuré. »
« Une découverte qui a donné naissance à une start-up à Udine, DMAT, qui veut promouvoir du béton qui aurait une durée de vie 50 % plus longue que le béton traditionnel avec des émissions de CO2, 20 % plus basses . »
« Après sept ans et demi sur le marché, Windows 10 va être petit à petit retiré des étals. Microsoft prévoit de ne plus vendre certaines éditions à partir de la fin janvier. […] Cette décision […] ne concerne pour le moment que les transactions sur le site officiel de Microsoft. […] Après la date du 31 janvier 2023, il sera possible de récupérer une licence sur n'importe quel autre site marchand ou en boutique. C'est toutefois une tendance qui va s'amplifier dans les mois et les années à venir, car cet OS commence à sérieusement dater. »
« Aujourd'hui, le support de Windows 10 est toujours actif. Le système d'exploitation est éligible aux mises à jour de sécurité jusqu'au 14 octobre 2025. Au-delà, la prise en charge de l'OS cessera, sauf dans des cas très particuliers, inaccessibles au grand public (pour les entreprises, Microsoft peut prévoir un support sur-mesure, mais payant, avec un surcoût année après année). Dès 2015, Microsoft avait anticipé l'arrêt de Windows 10 à cette date. Pourtant, sept ans plus tard, l'OS est encore présent sur plus de deux ordinateurs sur trois. »
« Aujourd'hui, le support de Windows 10 est toujours actif. Le système d'exploitation est éligible aux mises à jour de sécurité jusqu'au 14 octobre 2025. Au-delà, la prise en charge de l'OS cessera, sauf dans des cas très particuliers, inaccessibles au grand public (pour les entreprises, Microsoft peut prévoir un support sur-mesure, mais payant, avec un surcoût année après année). Dès 2015, Microsoft avait anticipé l'arrêt de Windows 10 à cette date. Pourtant, sept ans plus tard, l'OS est encore présent sur plus de deux ordinateurs sur trois. »
« Entreprise britannique spécialisée dans le rétrofit, Electra Commercial Vehicles vient de finaliser avec succès la phase d'essai de trois mois de son nouveau camion réfrigéré à pile à combustible. » Sans doute les expériences de ce types vont-elles se multiplier.
« Le gouvernement lancera fin janvier une concertation sur la mise en place éventuelle de consignes pour les bouteilles plastiques en France, initiative envisagée lors du vote de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire en 2020, avortée sous l'opposition des collectivités locales. […] La loi […] avait renvoyé une prise de décision sur le déploiement ou non de la consigne des bouteilles à juin 2023. Les objectifs européens de taux de collecte des bouteilles plastique sont de 77 % en 2025 et 90 % en 2029, quand la France plafonne à moins de 60 %. »
« Au gouvernement, on reconnaît que l'imposition d'une consigne sur les bouteilles en plastique en 2019-20 aurait eu pour effet de diminuer les flux d'emballages dans les bacs jaunes des déchets ménagers triés pour le recyclage, et donc de réduire les revenus des centres de tri sélectif pilotés par les collectivités locales. Or ceux-là ont investi massivement ces dernières années dans de coûteuses machines pour améliorer le tri et les volumes de matériaux à recycler. »
Attention toutefois aux effets pervers…
« Par consigne sauvage, le ministère désigne les automates de dépôt installés sur les parkings de supermarchés où les consommateurs peuvent ramener leurs bouteilles vides en échange d'une rétribution de quelques centimes, sur le modèle de ce qui se passe dans des pays voisins comme l'Allemagne. Dans certaines villes, "cela a conduit certains réseaux parallèles à mener des pillages de poubelles jaunes pour alimenter les automates" relève-t-on de même source. »
« Dans les pays où elle existe, la consigne permet néanmoins d'augmenter le taux de collecte, reconnaissent les professionnels du secteur. Mais elle aboutit aussi à une augmentation des prix de l'alimentaire, puisque chaque consommateur doit payer une "caution" sur sa bouteille à chaque achat, avant de récupérer quelques centimes en la rapportant dans un automate dédié. »
« Au gouvernement, on reconnaît que l'imposition d'une consigne sur les bouteilles en plastique en 2019-20 aurait eu pour effet de diminuer les flux d'emballages dans les bacs jaunes des déchets ménagers triés pour le recyclage, et donc de réduire les revenus des centres de tri sélectif pilotés par les collectivités locales. Or ceux-là ont investi massivement ces dernières années dans de coûteuses machines pour améliorer le tri et les volumes de matériaux à recycler. »
Attention toutefois aux effets pervers…
« Par consigne sauvage, le ministère désigne les automates de dépôt installés sur les parkings de supermarchés où les consommateurs peuvent ramener leurs bouteilles vides en échange d'une rétribution de quelques centimes, sur le modèle de ce qui se passe dans des pays voisins comme l'Allemagne. Dans certaines villes, "cela a conduit certains réseaux parallèles à mener des pillages de poubelles jaunes pour alimenter les automates" relève-t-on de même source. »
« Dans les pays où elle existe, la consigne permet néanmoins d'augmenter le taux de collecte, reconnaissent les professionnels du secteur. Mais elle aboutit aussi à une augmentation des prix de l'alimentaire, puisque chaque consommateur doit payer une "caution" sur sa bouteille à chaque achat, avant de récupérer quelques centimes en la rapportant dans un automate dédié. »
« Le mythe de la péremption des centrales reste tenace », déplore la rédaction de Transitions et Énergies. « En France », constate-t-elle, « c'est l'un des arguments favoris des anti-nucléaires » : « nos réacteurs auraient été conçus pour quarante ans, pas un de plus, et les prolonger poserait de gros problèmes de sécurité ». Cependant, rappelle-t-elle, « EDF étudie la possibilité de les faire fonctionner quatre-vingts ans, au lieu de soixante ans, avec toutes les garanties de sécurité ». Dans cette perspective, « le point clé est celui de la capacité des cuves (élément non remplaçable soumis à un flux neutronique constant) à supporter plusieurs décennies supplémentaires de fonctionnement » ; « or depuis les années 1990, de très grands progrès ont été réalisés pour réduire le flux neutronique lors de l'exploitation des réacteurs ». Voilà qui ne manquera pas de nourrir un débat passionnel.
« Auchan se lance sur le Bon Coin. Pour ce faire, l'idée est que chaque magasin dispose d'une page de "vendeur professionnel" et l'alimente. Après un test sur une poignée d'hypers, une vingtaine d'Auchan sont aujourd'hui actifs. […] Pour l'essentiel, les produits concernés sont les fins de série, des modèles d'expo ou encore des produits légèrement endommagés, vendus avec une décote de moitié a calculé Auchan sur les mille premiers produits proposés. »
« Pour parler d'une seule et même, plusieurs acteurs ont décidé de se regrouper en créer "Coalition Rétrofit H2". Présentée comme une "initiative d'entreprises et d'organisations désireuses d'industrialiser le rétrofit à hydrogène pour le transport routier lourd", la jeune entité vise à rassembler l'ensemble des acteurs de la chaîne de valeur du domaine du transport : spécialistes du rétrofit mais aussi chargeurs, transporteurs, équipements, sociétés de financements, politiques et administration publique. En rassemblant une diversité d'acteurs aux métiers très complémentaires, la coalition souhaite favoriser l'émergence d'une filière rétrofit "industrielle" capable de convertir plusieurs dizaines de milliers de poids lourds chaque année. »
« Comment pouvons-nous réduire ensemble les impacts environnementaux du numérique ? » Telle est la question lancée par Orange dans le cadre d'une consultation publique. Parmi les réponses recensées par Alexandre Boero pour Clubic (17 janvier 2023), certaines renvoient directement aux thématiques qui nous intéressent, dans le cadre de notre enquête sur l'obsolescence programmée.
« Il faut proposer aux employés de racheter les équipements (PC, écrans, etc.) et mobiliers (bureaux, chaises) plutôt que de les jeter », propose Évelyne (quarante-neuf ans). Cela se fait déjà ici ou là, et faciliter ce genre d'initiative semble effectivement souhaitable. Si les entreprises y trouvent leur compte, si des associations prennent les choses en main sans leur compliquer la vie par exemple, elles joueront certainement le jeu.
De son côté, Olivier (cinquante-cinq ans) veut « inciter […] les clients à conserver longtemps leurs mobiles », et même les « récompenser » à cet effet, regrettant manifestement qu'ils « renouvellent trop fréquemment » leurs smartphones. Mais suivant quelles modalités cela pourrait-il se faire ? Sans doute peut-on vérifier qu'un appareil a bien été conservé par un client. Cependant, comment s'assurer que vous n'en achetiez pas un autre par ailleurs, sinon au prix d'une surveillance très intrusive (surveillance de vos transactions bancaires, de vos communications, etc.) ? En outre, si les récompenses suggérées incitent les gens à conserver un appareil sans l'utiliser, alors qu'il aurait été donné ou revendu sans ça, on n'aura fait qu'aggraver les choses.
De son côté, Anouk (cinquante-trois ans) affirme qu'« il faut interdire les versions annuelles de nouveaux téléphones et passer à deux ans ». On se demande bien suivent quels critères les autorités pourraient identifier « les versions annuelles » de tel ou tel produit. Suivant leur nom souvent conservé d'une génération à l'autre, comme c'est le cas avec les I-Phone ? Il suffirait alors d'en changer… Les possibilités du marketing sont infinies !
Dernière proposition retenant notre attention : pour Daniel (vingt et un ans), « il faut que le remplacement de la batterie soit à prix accessible (5 % du prix du téléphone) pendant cinq ans ». En pratique, cela conduirait tout simplement à renchérir le prix des téléphones. Tout le monde en a-t-il conscience ?
« Il faut proposer aux employés de racheter les équipements (PC, écrans, etc.) et mobiliers (bureaux, chaises) plutôt que de les jeter », propose Évelyne (quarante-neuf ans). Cela se fait déjà ici ou là, et faciliter ce genre d'initiative semble effectivement souhaitable. Si les entreprises y trouvent leur compte, si des associations prennent les choses en main sans leur compliquer la vie par exemple, elles joueront certainement le jeu.
De son côté, Olivier (cinquante-cinq ans) veut « inciter […] les clients à conserver longtemps leurs mobiles », et même les « récompenser » à cet effet, regrettant manifestement qu'ils « renouvellent trop fréquemment » leurs smartphones. Mais suivant quelles modalités cela pourrait-il se faire ? Sans doute peut-on vérifier qu'un appareil a bien été conservé par un client. Cependant, comment s'assurer que vous n'en achetiez pas un autre par ailleurs, sinon au prix d'une surveillance très intrusive (surveillance de vos transactions bancaires, de vos communications, etc.) ? En outre, si les récompenses suggérées incitent les gens à conserver un appareil sans l'utiliser, alors qu'il aurait été donné ou revendu sans ça, on n'aura fait qu'aggraver les choses.
De son côté, Anouk (cinquante-trois ans) affirme qu'« il faut interdire les versions annuelles de nouveaux téléphones et passer à deux ans ». On se demande bien suivent quels critères les autorités pourraient identifier « les versions annuelles » de tel ou tel produit. Suivant leur nom souvent conservé d'une génération à l'autre, comme c'est le cas avec les I-Phone ? Il suffirait alors d'en changer… Les possibilités du marketing sont infinies !
Dernière proposition retenant notre attention : pour Daniel (vingt et un ans), « il faut que le remplacement de la batterie soit à prix accessible (5 % du prix du téléphone) pendant cinq ans ». En pratique, cela conduirait tout simplement à renchérir le prix des téléphones. Tout le monde en a-t-il conscience ?
« Fallait-il que nous trouvions une excuse pour éprouver ce service ? Toujours est-il que l'état de la batterie de l'I-Phone 12 d'un collègue nous en fournit une. Le "magasin de réparation en service interne" propose toutes les pièces nécessaires : la nouvelle batterie bien sûr, mais aussi une paire d'adhésifs pour recoller l'écran, et des vis de remplacement. Le tout coûte 77,11 euros, mais 26,26 euros peuvent être récupérés en renvoyant l'ancienne batterie. Les outils et accessoires nécessaires peuvent être achetés à l'unité, du couvercle de protection de l'écran à 0,56 euros jusqu'à l'"équipement de démontage à chaud" à 263,62 euros, en passant par le plateau de réparation à 51,60 euros. Plus simplement, le "kit d'outils" complet peut être loué pour 59,95 euros… et 1 200 euros de caution. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
On-Mag présente cinq modèles recommandés par Ecoustics : Thorens TD-125, VPI HW-19, Technics SL-1700, Yamaha YP-701 et Dual 701. « Cette sélection se cantonne à des modèles d'occasion dont les marques existent toujours en 2023 et dont les pièces détachées seraient a priori disponibles. »
Celui-ci « propose un "kit de nettoyage pour Airpods" qui promet de venir restaurer le revêtement en maille, pour retrouver […] une performance acoustique maximale », comme le rapporte Stéphane Ficca. « Concrètement », précise-t-il sur Clubic, « le kit est fourni avec un liquide à venir déposer sur les grilles des Airpods, qu'il faudra laisser agir durant soixante secondes » ; « dès lors, on utilise une petite brosse pour déloger les impuretés, puis on utilise un gel spécifique pour venir recueillir ces mêmes impuretés ».
Les équipes de BFM ont visité la Laverie des Sneakers située à La Valette (Var). Une boutique sœur est présente également à Six-Four-les-Plages (même département). Les clients y sont accueillis avec la promesse qu'une « seconde vie » sera donnée à leurs baskets et sacs à main. En pratique, visiblement, il s'agit surtout de rafraîchir les couleurs. En revanche, aucun ressemelage n'est apparemment proposé ; sans doute ces chaussures-là s'y prêtent-elles trop difficilement.
C'est un conseil donné par Caradisiac : « Pour la bonne santé de votre voiture, mieux vaut faire fonctionner la clim le plus souvent possible et au minimum […] dix minutes tous les mois, été comme hiver afin d'éviter que le système en entier ne finisse par en pâtir. »
« Depuis le 1er janvier, les réparateurs ont la possibilité de remplacer une pièce endommagée sans passer obligatoirement par le constructeur du véhicule. Cette loi s'applique aux pièces détachées appelées "visibles", comme les phares, les pièces de carrosserie, les rétroviseurs, les vitres ou encore le pare-brise. »
« Concernant les pièces de vitrage comme les pare-brises ou les vitres, la fin du monopole est totale, puisque dans ce cas, n'importe quel équipementier fera l'affaire. […] Pour les rétroviseurs, les phares et les autres pièces de carrosserie, seuls les équipementiers qui ont fabriqué les pièces d'origine pour les constructeurs seront autorisés à les vendre. »
« "Les pièces détachées qui ne sont pas fabriquées par des constructeurs peuvent être entre 15 et 30 % moins chères en moyenne", selon Mathieu Séguran, délégué général de la Fédération de la distribution automobile. »
« Concernant les pièces de vitrage comme les pare-brises ou les vitres, la fin du monopole est totale, puisque dans ce cas, n'importe quel équipementier fera l'affaire. […] Pour les rétroviseurs, les phares et les autres pièces de carrosserie, seuls les équipementiers qui ont fabriqué les pièces d'origine pour les constructeurs seront autorisés à les vendre. »
« "Les pièces détachées qui ne sont pas fabriquées par des constructeurs peuvent être entre 15 et 30 % moins chères en moyenne", selon Mathieu Séguran, délégué général de la Fédération de la distribution automobile. »