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Les chiffres Nielsen IQ cités par Olivier Dauvers :
« Sur la foi de huit cas de produits récemment concernés, l’opération est en moyenne positive si l’on s’en tient au seul CA : + 3 %. En apparence, c’est donc clairement une bonne affaire : nette amélioration de la marge industrielle (puisque c’était le but premier) sans perte de CA au code. Voilà pour le côté pile. »
« Côté face, + 3 % reste une progression symbolique pour des articles dont le prix au kilo a progressé… de plus de 30 %. Et pour cause, aussi bien les enseignes que les clients ont sanctionné assez violemment la perte de compétitivité de l’offre : diffusion en baisse de 34 % pour les premiers et VMH [ventes moyennes hebdomadaires] en recul de 18 % pour les seconds. Sans parler du risque, non chiffrable, d’image en général et de vindicte en particulier, dans un contexte pour le moins éruptif. Car la shrinkflation reste vécue comme une arnaque aux yeux du consommateur. »
« Sur la foi de huit cas de produits récemment concernés, l’opération est en moyenne positive si l’on s’en tient au seul CA : + 3 %. En apparence, c’est donc clairement une bonne affaire : nette amélioration de la marge industrielle (puisque c’était le but premier) sans perte de CA au code. Voilà pour le côté pile. »
« Côté face, + 3 % reste une progression symbolique pour des articles dont le prix au kilo a progressé… de plus de 30 %. Et pour cause, aussi bien les enseignes que les clients ont sanctionné assez violemment la perte de compétitivité de l’offre : diffusion en baisse de 34 % pour les premiers et VMH [ventes moyennes hebdomadaires] en recul de 18 % pour les seconds. Sans parler du risque, non chiffrable, d’image en général et de vindicte en particulier, dans un contexte pour le moins éruptif. Car la shrinkflation reste vécue comme une arnaque aux yeux du consommateur. »
« Auchan se lance sur le Bon Coin. Pour ce faire, l'idée est que chaque magasin dispose d'une page de "vendeur professionnel" et l'alimente. Après un test sur une poignée d'hypers, une vingtaine d'Auchan sont aujourd'hui actifs. […] Pour l'essentiel, les produits concernés sont les fins de série, des modèles d'expo ou encore des produits légèrement endommagés, vendus avec une décote de moitié a calculé Auchan sur les mille premiers produits proposés. »
« Souvenez-vous… Il y a quasiment un an, sur le plateau de BFM, Michel-Édouard Leclerc (sentant la peur de l'inflation avant les autres) annonce bloquer le prix de la baguette à 29 centimes. […] Le 15 avril […], un boulanger de Nice (indépendant mais sous enseigne Paul) attaque l'enseigne devant l'Autorité de la Concurrence. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
« Après avoir testé un rayon occasion permanent dès février 2021 à Herblay […], Decathlon enfonce le clou. […] L'enseigne a déplacé l'espace seconde main, l'a implanté dès l'entrée et a plus que doublé sa surface, signe de son intérêt pour ce pan du commerce appelé à se développer. » Visite en images proposée par Olivier Dauvers.
L'occasion, c'est tendance ! « Le distributeur déploie la reprise de smartphones, tablettes, consoles dans cent quinze hypermarchés en s'appuyant sur Comprecyle », rapporte LSA (12 janvier 2022) ; « en échange de la reprise, les clients bénéficient d'un avoir ou d'un crédit sur leur carte de fidélité ».
« E. Leclerc qui a ouvert et testé son premier espace Occasion pendant l'été 2018 à Roques-sur-Garonne, non loin de Toulouse, revendique un peu plus de trois ans après cinquante espaces de ce type dans son réseau qui compte plus de sept cents magasins au total. Dans un communiqué l'enseigne […] indique viser une vingtaine d'ouvertures l'an prochain. […] Les produits achetés et vendus dans les E.Leclerc Occasion sont : les produits culturels, le multimédia, les consoles et jeux vidéo, l'électroménager, les articles de sport, les outils de bricolage, la bijouterie, l'or et la maroquinerie. »
« Aux Pays-Bas, la dernière étude du Bureau central de la statistique (CBS) a révélé récemment qu'un tiers des plus de 75 ans se sentaient seuls. C'est pour lutter contre ce fléau que la chaîne de supermarchés Jumbo a annoncé il y a quelques jours qu'elle allait créer dans le pays deux vents "caisses de bavardage" ("kletskassa" en néerlandais), après avoir reçu des retours très positifs sur le dispositif pilote mis en place il y a deux ans.
« Des installations apparaîtront prochainement en fonction des zones du territoire les plus touchées par ce phénomène. Les clients qui ne sont pas pressés pourront donc prendre le temps de discuter avec le caissier et d'entretenir ce qui constitue pour certains leur seul lien de sociabilité. Jumbo compte aussi ouvrir un nombre encore indéterminé de "coins de discussion confortables" où les clients pourront prendre une tasse de café, discuter, et même faire don d'ingrédients à Oma's Soep, une initiative qui rassemble des personnes âgées et des étudiants universitaires. »
« Des installations apparaîtront prochainement en fonction des zones du territoire les plus touchées par ce phénomène. Les clients qui ne sont pas pressés pourront donc prendre le temps de discuter avec le caissier et d'entretenir ce qui constitue pour certains leur seul lien de sociabilité. Jumbo compte aussi ouvrir un nombre encore indéterminé de "coins de discussion confortables" où les clients pourront prendre une tasse de café, discuter, et même faire don d'ingrédients à Oma's Soep, une initiative qui rassemble des personnes âgées et des étudiants universitaires. »
« Le site de vente en ligne d'ameublement (canapés, bureau, literie…) vient d'annoncer qu'il ne vendra plus de produits qui ne sont pas fabriqués en Europe. »
« Pour les produits dont il n'existe plus de fabrication en Europe, Camif a cessé de les vendre, à l'exemple des fours micro-onde. En fait, deux secteurs ont été "particulièrement impactés" par cette relocalisation de l'approvisionnement, le jardin (mobilier et luminaires extérieurs, parasols…) et l'électroménager (réfrigérateurs, aspirateurs robots…), précise l'entreprise. »
« Résultat de cette stratégie […], aujourd'hui, 78 % de l'offre du site est française, et le reste vient en majorité de pays limitrophes. […] Le marché du meuble est en plein boum en France depuis la pandémie. […] Le site veut en profiter. D'ici à cinq ans, son objectif est de doubler son chiffre d'affaires (50 millions d'euros en 2020, en hausse de 44 % sur un an), avec 80 % de produits fabriqués en France, le reste (20 %) uniquement en Europe. »
« Pour les produits dont il n'existe plus de fabrication en Europe, Camif a cessé de les vendre, à l'exemple des fours micro-onde. En fait, deux secteurs ont été "particulièrement impactés" par cette relocalisation de l'approvisionnement, le jardin (mobilier et luminaires extérieurs, parasols…) et l'électroménager (réfrigérateurs, aspirateurs robots…), précise l'entreprise. »
« Résultat de cette stratégie […], aujourd'hui, 78 % de l'offre du site est française, et le reste vient en majorité de pays limitrophes. […] Le marché du meuble est en plein boum en France depuis la pandémie. […] Le site veut en profiter. D'ici à cinq ans, son objectif est de doubler son chiffre d'affaires (50 millions d'euros en 2020, en hausse de 44 % sur un an), avec 80 % de produits fabriqués en France, le reste (20 %) uniquement en Europe. »
« Monoprix a ouvert l'un de ses "dark stores" parisiens à une journaliste du Monde. Fier de partager une organisation au cordeau pour répondre aux commandes qui seront ensuite livrées par Amazon. Mais révélant au passage quelle est désormais sa réelle position par rapport au géant américain de l'e-commerce : sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
Régis Schultz (Al Futtaim Retail) : « Walmart a pris le digital, il a mis le moyens. Et aujourd'hui, on voit bien qu'il reste une guerre qui n'a pas été gagnée, qui n'a pas été perdue, c'est l'alimentaire – et Amazon n'y a pas été. Le pari de Walmart, c'est de dire : si je capture l'alimentaire je regagnerai le non-alimentaire. Pourquoi ? Parce qu'on on achète de l'alimentaire toutes les semaines ; et donc je connaîtrai mieux mon client qu'Amazon, et je vais le reprendre. Ce qui se joue aujourd'hui aux États-Unis, c'est cette guerre-là. »
« Sur les 18 368 points de vente alimentaires recensés par GTR Suite (et pour lesquels existent des fiches Google My Business), près de trois sur quatre sont ouverts le dimanche, généralement le matin. Et, ce, hors période exceptionnelle comme le mois de décembre. »
« Sans surprise, ce sont les magasins de proximité qui sont le plus majoritairement ouverts. […] Mais le mouvement le plus marquant ces dernières années a été l'ouverture des hypers, des drives et même des discounters (un quart des Lidl sont ouverts et trois Aldi sur dix, selon GTR Suite).
« Parmi les hypers, Auchan a été la première enseigne à lancer le mouvement. Probablement car […] Auchan était à la traîne en termes de chiffre d'affaires. […] Reste que dès lors que le mouvement devient localement significatif, tous les concurrents se doivent de suivre. Voilà ce qui a entraîné ce phénomène d'ouverture quasi généralisé. »
« Une exception néanmoins : les hypers des indépendants ! Guère plus d'un Leclerc sur trois et un Hyper U sur quatre sont ouverts. Une minorité donc mais qui se développe (il y a trois ans, moins de 20 % des Leclerc étaient ouverts) car il est plus que jamais difficile de demeurer fermés lorsque tous les magasins de la zone sont accessibles. »
« Pour autant, le dimanche demeure une journée de modeste affluence. Il compte pour environ 5 % des ventes hebdomadaires selon Nielsen mais avec d'importants écarts selon les circuits : 2 % pour le drive, 3 % pour les hypers, 6 % pour les supermarchés et 10 % pour la proximité. »
« Sans surprise, ce sont les magasins de proximité qui sont le plus majoritairement ouverts. […] Mais le mouvement le plus marquant ces dernières années a été l'ouverture des hypers, des drives et même des discounters (un quart des Lidl sont ouverts et trois Aldi sur dix, selon GTR Suite).
« Parmi les hypers, Auchan a été la première enseigne à lancer le mouvement. Probablement car […] Auchan était à la traîne en termes de chiffre d'affaires. […] Reste que dès lors que le mouvement devient localement significatif, tous les concurrents se doivent de suivre. Voilà ce qui a entraîné ce phénomène d'ouverture quasi généralisé. »
« Une exception néanmoins : les hypers des indépendants ! Guère plus d'un Leclerc sur trois et un Hyper U sur quatre sont ouverts. Une minorité donc mais qui se développe (il y a trois ans, moins de 20 % des Leclerc étaient ouverts) car il est plus que jamais difficile de demeurer fermés lorsque tous les magasins de la zone sont accessibles. »
« Pour autant, le dimanche demeure une journée de modeste affluence. Il compte pour environ 5 % des ventes hebdomadaires selon Nielsen mais avec d'importants écarts selon les circuits : 2 % pour le drive, 3 % pour les hypers, 6 % pour les supermarchés et 10 % pour la proximité. »
« Des acteurs de la mode (Galeries Lafayette, Groupe Etam, Petit Bateau...), réunis en collectif, ont annoncé jeudi souscrire à douze engagements pour une mode plus responsable, à l'issue d'une consultation citoyenne organisée avec l'association Paris Good Fashion. » Entre autres promesses à concrétiser d'ici 2024 : promouvoir la seconde main.
« Vroomly a annoncé mardi 2 février 2021 avoir levé 5 millions d'euros pour numériser l'achat B2B de pièces de rechange dans l'automobile. […] Vroomly veut désormais renforcer son activité en proposant aux garagistes une marketplace sur laquelle ils puissent chercher la bonne pièce au meilleur prix. Son service, lancé à la fin de l'année 2020 sous le nom Vroomly Parts, a déjà séduit six cents garages clients. […] Vroomly veut presque doubler ses effectifs pour passer de trente-cinq à soixante salariés d'ici la fin de l'année. […] Ensuite, Vroomly entend lancer sa plateforme dans de nouveaux pays européens pour s'approprier une partie du marché de la pièce de rechange automobile. »
« Vinted facture aux acheteurs 5 % du prix d'achat plus 70 centimes de commission. Cette dernière apparaît sous le nom de "protection acheteurs" lors de la transaction. Un terme tendancieux selon l'UFC-Que Choisir, car elle ne concerne que "les services basiques d'un site de vente en ligne" et en aucun cas "une protection en cas de litige". […] Par ailleurs, Vinted annonce que cette commission est optionnelle. Ce qui est faux, car à aucun moment, il n'est possible de la refuser ni sur le site ni sur l'application. Il s'agit donc en réalité de frais d'utilisation, avance l'association de consommateurs, qui vient de mettre en demeure Vinted, lui demandant de faire preuve de transparence. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
Le partenariat entre Loop et Carrefour s'est concrétisé dernièrement dans quelques magasins. Olivier Dauvers a visité l'un d'entre eux : on y trouve vingt-cinq produits différents vendus dans des emballages consignés. Le prix affiché comprend à chaque fois le montant de la consigne. À savoir : 10 centimes pour une petite bouteille de Coca-Cola, 1 euro pour un pot de Nutella, 4 euros pour une boîte de Nesquik. Le retour des emballages peut se faire via l'usage d'un smartphone et d'un automate, ou bien en caisse. Actuellement, leur nettoyage se fait en Angleterre, mais cette opération devrait bientôt être rapatriée en région parisienne. Affaire à suivre.
« Un site dédié […] et vingt-cinq corners ouverts en magasin, en France, Italie, Espagne et Belgique : Kiabi , après des tests menés l'été dernier, accélère sur la seconde main. »
« Cdiscount vient de lancer sa plateforme de vente d'articles d'occasion. […] Ll'e-commerçant français a noué un partenariat avec la start-up Place 2 Swap. "Toutes les catégories de produits seront représentées : high-tech, jeux vidéo, jouets, mode, bricolage, livres, décoration... Tout, sauf les gros produits tels que les meubles", explique le P-DG Emmanuel Grenier. Plus concrètement, cette plate-forme s'est clairement inspirée de Vinted. "Le commerce se fait de façon fluide et sécurisée grâce à un porte-monnaie virtuel et la livraison en points relais", poursuit le patron de Cdiscount. Tout comme sur l'application dédiée à la mode, les frais sont à la charge de l'acheteur : 0,70 euro par article et une commission de 5 % du prix. Pour les dépôts et la livraison des colis, tout transite par le réseau Mondial Relay. »
Peut-être certains trouveront-ils cela incongru : « Depuis fin octobre, un corner dédié à cette offre a été installé dans le magasin rénové de Montparnasse dans le 14e arrondissement de Paris. Sextoys, huiles de massage, lubrifiants, bougies, jeux coquins… une trentaine de produits ont été référencés. L'offre de Passage du désir sera aussi prochainement proposée sur le site e-commerce de Monoprix et au Monop' Beauty des Abbesses. »
« Eurelec […] indique qu'elle "prend acte" de l'amende "imposée le 28 août par l'administration française pour non-respect allégué de la réglementation française relative au formalisme des négociations entre fournisseurs et distributeurs". Revendiquant opérer "en pleine conformité avec la législation belge et les principes de droit européen", elle se veut "l'exemple même de ce que l'Union européenne doit susciter". Elle "conteste vigoureusement la position de l'administration française qui, par une application erronée de la législation française à l'égard d'Eurelec, impose une mesure protectionniste contraire au droit européen". »
« Les canettes 33 cl de Carlsberg sont vendues en lot de dix chez Monoprix dans leur plus simple appareil ! Un premier pas pour les brasseries Kronenbourg vers la suppression des suremballages plastique. Les six canettes sont désormais maintenues entre elles grâce à l'usage d'une colle recyclable (snap pack). Pour faciliter le transport une simple poignée est fixée par adhésif. Une initiative qui rappelle Evian qui, depuis 2016, toujours chez Monoprix, commercialise le pack de 4 x 1,25 l de sa référence Prestige sans film plastique. Et c'est réussi ! Le sans plastique appuyant une bouteille au design très épuré. Comme pour Carlsberg, les quatre unités sont solidaires entre elles grâce à des points de colle et une poignée permet de manipuler le pack. »