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« Après avoir testé un rayon occasion permanent dès février 2021 à Herblay […], Decathlon enfonce le clou. […] L'enseigne a déplacé l'espace seconde main, l'a implanté dès l'entrée et a plus que doublé sa surface, signe de son intérêt pour ce pan du commerce appelé à se développer. » Visite en images proposée par Olivier Dauvers.
« En 2018, Recommerce a levé 50 millions d'euros auprès des fonds Creadev et Capza qui entrent alors à son capital. Ce sont ces fonds qui aujourd'hui laissent leur place à United.b, un écosystème qui regroupe les magasins Boulanger, Electro Dépôt, Hifi International, Krëfel. United.b doit prendre 66 % du capital à l'occasion de cette nouvelle levée. […] Bouygues Telecom, qui était actionnaire depuis 2009 de Recommerce, garde ses parts. Ainsi que les fondateurs de Recommerce. »
« Recommerce a été fondée en 2009 par Pierre-Étienne Roinat, Benoît Varin, Cédric Maucourt, et Antoine Jeanjean. L'entreprise rachète, reconditionne et revend des équipements reconditionnés comme les smartphones, les montres ou les consoles de jeux. Boulanger s'est déjà rapproché de Recommerce en fin d'année dernière. L'entreprise spécialisée dans la vente d'appareil électronique a lancé une offre de reprise en collaboration avec Circular X, une plate-forme technologique Saas dédiée à l'économie circulaire lancée par Recommerce. »
« Recommerce a été fondée en 2009 par Pierre-Étienne Roinat, Benoît Varin, Cédric Maucourt, et Antoine Jeanjean. L'entreprise rachète, reconditionne et revend des équipements reconditionnés comme les smartphones, les montres ou les consoles de jeux. Boulanger s'est déjà rapproché de Recommerce en fin d'année dernière. L'entreprise spécialisée dans la vente d'appareil électronique a lancé une offre de reprise en collaboration avec Circular X, une plate-forme technologique Saas dédiée à l'économie circulaire lancée par Recommerce. »
L'occasion, c'est tendance ! « Le distributeur déploie la reprise de smartphones, tablettes, consoles dans cent quinze hypermarchés en s'appuyant sur Comprecyle », rapporte LSA (12 janvier 2022) ; « en échange de la reprise, les clients bénéficient d'un avoir ou d'un crédit sur leur carte de fidélité ».
« E. Leclerc qui a ouvert et testé son premier espace Occasion pendant l'été 2018 à Roques-sur-Garonne, non loin de Toulouse, revendique un peu plus de trois ans après cinquante espaces de ce type dans son réseau qui compte plus de sept cents magasins au total. Dans un communiqué l'enseigne […] indique viser une vingtaine d'ouvertures l'an prochain. […] Les produits achetés et vendus dans les E.Leclerc Occasion sont : les produits culturels, le multimédia, les consoles et jeux vidéo, l'électroménager, les articles de sport, les outils de bricolage, la bijouterie, l'or et la maroquinerie. »
« Dans le cadre du projet Re-Factory de Flins (Yvelines), Renault a inauguré la Factory VO dédiée au reconditionnement de véhicules d'occasion le 30 novembre 2021. Ivan Segal, directeur du commerce France, évoque pour L'Argus le rôle de ce nouveau centre dans la stratégie du groupe automobile. »
Un service offert aux concessionnaires – « La Factory VO propose à nos concessionnaires de se délester de l'activité de rénovation d'un véhicule d'occasion dans ses ateliers et qui plus est, à un coût plus bas, pour un délai plus rapide et un rendu de meilleure qualité. »
Des coûts en baisse de 10 à 15 % ? – « Nous ne sommes pas les premiers à détenir un centre de rénovation, mais notre premier atout est l'optimisation des coûts. […] Nous n'avons pas encore confirmé toutes les pistes, mais l'économie totale des FRE pourrait être de l'ordre de 10 à 15 %. Nous parvenons à baisser le coût poste par poste, comme par exemple la rénovation des jantes alu qui est souvent sous-traitée, nous y avons des personnes à temps plein. Idem pour le débosselage sans peinture.
Des véhicules remis en vente au bout d'une semaine en moyenne – « Le deuxième levier est la rapidité d'exécution. […] Et sur ce point, nous nous positionnons en leader de tout ce qui se fait en Europe car nous atteignons aujourd'hui sept jours en moyenne de rénovation sur une voiture, entre son arrivée et sa sortie du centre. À peine photographiée dans nos cabines à 360 degrés, la voiture est même déjà commercialisée par le concessionnaire, voire vendue alors qu'elle est encore chez nous. »
Une qualité proche du neuf ? – « Notre troisième atout repose sur la qualité. Toutes les zones de préparation finale et de contrôle technique s'appuient sur des standards d'usine et non pas que sur ceux des concessions. Ils sont poussés à l'ultime pour aller au summum de ce qu'il est possible de faire en termes de qualité. […] Nous essayons d'apporter la meilleure qualité d'un véhicule qui a déjà roulé pour se rapprocher le plus possible du neuf dans la perception du client. Il reste un véhicule d'occasion, mais nous essayons de tirer le maximum de valeurs sur un produit pour essayer de lui donner un maximum de cycle de vie. Comme un avion qui peut voler sous plusieurs compagnies dans sa vie. Nous donnons une vie additionnelle à une voiture et cela crée de la valeur. »
« Des investissements rentabilisés en un ou deux ans – « Nous avons les machines les plus chères du marché, et nous allons les amortir, nous sommes sereins. Nous planchons actuellement sur les calculs et ils prévoient un payback rapide, entre un et deux ans. »
« Un activité à l'échelle régionale seulement – « Aller chercher des concessionnaires à l'autre bout de la France n'est pas économiquement viable. Cette Factory VO fonctionne donc parce que nous œuvrons dans une zone isochrone de 200 kilomètres et mon travail est de faire de cette vitrine parisienne, via moult calculs et business plan, un exemple pour les régions où nous ne pouvons pas être présents. »
Un service offert aux concessionnaires – « La Factory VO propose à nos concessionnaires de se délester de l'activité de rénovation d'un véhicule d'occasion dans ses ateliers et qui plus est, à un coût plus bas, pour un délai plus rapide et un rendu de meilleure qualité. »
Des coûts en baisse de 10 à 15 % ? – « Nous ne sommes pas les premiers à détenir un centre de rénovation, mais notre premier atout est l'optimisation des coûts. […] Nous n'avons pas encore confirmé toutes les pistes, mais l'économie totale des FRE pourrait être de l'ordre de 10 à 15 %. Nous parvenons à baisser le coût poste par poste, comme par exemple la rénovation des jantes alu qui est souvent sous-traitée, nous y avons des personnes à temps plein. Idem pour le débosselage sans peinture.
Des véhicules remis en vente au bout d'une semaine en moyenne – « Le deuxième levier est la rapidité d'exécution. […] Et sur ce point, nous nous positionnons en leader de tout ce qui se fait en Europe car nous atteignons aujourd'hui sept jours en moyenne de rénovation sur une voiture, entre son arrivée et sa sortie du centre. À peine photographiée dans nos cabines à 360 degrés, la voiture est même déjà commercialisée par le concessionnaire, voire vendue alors qu'elle est encore chez nous. »
Une qualité proche du neuf ? – « Notre troisième atout repose sur la qualité. Toutes les zones de préparation finale et de contrôle technique s'appuient sur des standards d'usine et non pas que sur ceux des concessions. Ils sont poussés à l'ultime pour aller au summum de ce qu'il est possible de faire en termes de qualité. […] Nous essayons d'apporter la meilleure qualité d'un véhicule qui a déjà roulé pour se rapprocher le plus possible du neuf dans la perception du client. Il reste un véhicule d'occasion, mais nous essayons de tirer le maximum de valeurs sur un produit pour essayer de lui donner un maximum de cycle de vie. Comme un avion qui peut voler sous plusieurs compagnies dans sa vie. Nous donnons une vie additionnelle à une voiture et cela crée de la valeur. »
« Des investissements rentabilisés en un ou deux ans – « Nous avons les machines les plus chères du marché, et nous allons les amortir, nous sommes sereins. Nous planchons actuellement sur les calculs et ils prévoient un payback rapide, entre un et deux ans. »
« Un activité à l'échelle régionale seulement – « Aller chercher des concessionnaires à l'autre bout de la France n'est pas économiquement viable. Cette Factory VO fonctionne donc parce que nous œuvrons dans une zone isochrone de 200 kilomètres et mon travail est de faire de cette vitrine parisienne, via moult calculs et business plan, un exemple pour les régions où nous ne pouvons pas être présents. »
« Pour l'heure, Leroy Merlin et Boulanger utilisent Circular X. Le premier pour le petit outillage, le second teste dans son magasin d'Englos, dans le Nord, une offre de seconde vie autour des lave-linge, robots cuiseurs, consoles de jeux, smartphones... […] Cette nouvelle activité devrait fournir aussi de nouveaux revenus à Recommerce, le modèle économique étant fondé sur une commission sur le montant des transactions réalisées. »
« "Tu ne le portes plus ? Vends-le !", martèle à la télévision le slogan de Vinted, l'une des plus grandes plates-formes en ligne qui permet de revendre des vêtements et des accessoires de mode d'occasion. "Si tu ne le portes plus, garde-le !" préconise, au contraire, provocateur, Patrice Duchemin, sociologue de la consommation. Car, selon lui, le développement du marché de la seconde main entraîne de la surconsommation. C'est ce que montre d'ailleurs un sondage exclusif Kantar-CMI-Marianne réalisé en septembre auprès de cinq cents personnes âgées de vingt-cinq à soixante-cinq ans. »
« Nouvelle initiative d'Ikea sur le terrain de la seconde main. […] Du 10 au 28 novembre, les magasins mettront ainsi en avant une opération de reprise qu'Ikea veut à grande échelle. »
« Bien sûr, les grincheux y verront une manière de remplir les magasins à bon compte (alors que la pénurie guette). […] Mais l'essentiel n'est pas là… C'est la posture d'ensemble d'Ikea qui, peu à peu, change sur la seconde main. À l'origine, il n'y avait qu'un espace "La Bonne Trouvaille" (souvent mal tenu) et quelques affiches. Désormais, un concept plus abouti, baptisé Circular Hub, et, donc, cette campagne de reprise à grande échelle, avant l'ouverture d'un magasin dédié à la seconde main l'an prochain à Paris. »
« Illustration que les pratiques des clients s'imposent toujours aux commerçants… Dès lors que les consommateurs organisaient eux-mêmes la seconde vie des produits (via notamment les sites d'intermédiation comme Le Bon Coin), les enseignes ne pouvaient que suivre. Quitte à subir un phénomène […], mieux vaut en effet toujours feindre de l'organiser. C'est ce que font toutes les enseignes depuis quelques années. Et c'est ma conviction depuis longtemps, résumée en une phrase : toutes les enseignes d'équipement de la maison-de la personne devront organiser la seconde vie de leurs produits. »
« En sept ans, le nombre d'annonces de produits Ikea à vendre sur Le Bon Coin a été multiplié par plus de trois. Un indicateur qui ne pouvait ignorer l'enseigne… »
« Bien sûr, les grincheux y verront une manière de remplir les magasins à bon compte (alors que la pénurie guette). […] Mais l'essentiel n'est pas là… C'est la posture d'ensemble d'Ikea qui, peu à peu, change sur la seconde main. À l'origine, il n'y avait qu'un espace "La Bonne Trouvaille" (souvent mal tenu) et quelques affiches. Désormais, un concept plus abouti, baptisé Circular Hub, et, donc, cette campagne de reprise à grande échelle, avant l'ouverture d'un magasin dédié à la seconde main l'an prochain à Paris. »
« Illustration que les pratiques des clients s'imposent toujours aux commerçants… Dès lors que les consommateurs organisaient eux-mêmes la seconde vie des produits (via notamment les sites d'intermédiation comme Le Bon Coin), les enseignes ne pouvaient que suivre. Quitte à subir un phénomène […], mieux vaut en effet toujours feindre de l'organiser. C'est ce que font toutes les enseignes depuis quelques années. Et c'est ma conviction depuis longtemps, résumée en une phrase : toutes les enseignes d'équipement de la maison-de la personne devront organiser la seconde vie de leurs produits. »
« En sept ans, le nombre d'annonces de produits Ikea à vendre sur Le Bon Coin a été multiplié par plus de trois. Un indicateur qui ne pouvait ignorer l'enseigne… »
« Depuis le 1er janvier 2017, les professionnels de la réparation automobile sont obligés de proposer à leurs clients des pièces de rechange de seconde main. […] Problème : dans les faits, il est finalement très rare que les particuliers se voient ouvertement proposés des pièces de rechange d'occasion. […] Selon le SRA (Sécurité et réparation automobile), cité par nos confrères de Décisionatelier : "L'an passé, sur un marché de la carrosserie en recul, 3 % des pièces remplacées, réglées par les assureurs, sont des pièces de réemploi. C'était 2,7 % en 2017 et 2018 et 2,9 en 2019." »
« La start-up espagnole Wallapop, spécialisée dans les petites annonces entre particuliers, a annoncé ce jeudi 25 février avoir bouclé un tour de table de 191 millions de dollars, soit environ 157 millions d'euros. Mené par Korelya Capital, le fonds de capital-risque français créé par Fleur Pellerin et soutenu par le groupe coréen Naver, il fait également participer les partenaires historiques de Wallapop – Accel, Insight Partners, 14W, GP Bullhound et Northzone. Cette levée de fonds, qui valorise Wallapop à 690 millions d'euros, doit permettre à la pépite barcelonaise de poursuivre son développement, notamment en matière d'infrastructure, et de se lancer dans d'autres pays, dont l'Italie. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
« Longtemps considéré comme un phénomène marginal pour le commerce, le marché de l'occasion prend du poids chaque jour. Et intéresse au plus haut point un nombre grandissant d'enseignes. Mais ne s'improvise pas marchand d’occasion qui veut, tant le secteur est spécifique. »
« Vroomly a annoncé mardi 2 février 2021 avoir levé 5 millions d'euros pour numériser l'achat B2B de pièces de rechange dans l'automobile. […] Vroomly veut désormais renforcer son activité en proposant aux garagistes une marketplace sur laquelle ils puissent chercher la bonne pièce au meilleur prix. Son service, lancé à la fin de l'année 2020 sous le nom Vroomly Parts, a déjà séduit six cents garages clients. […] Vroomly veut presque doubler ses effectifs pour passer de trente-cinq à soixante salariés d'ici la fin de l'année. […] Ensuite, Vroomly entend lancer sa plateforme dans de nouveaux pays européens pour s'approprier une partie du marché de la pièce de rechange automobile. »
« Le monde de la Culture lorgne avec appétit les téléphones reconditionnés. L’idée ? Faire tomber ces secondes vies commerciales dans le périmètre de la redevance pour copie privée. […] Le Sénat tente de freiner ce rêve doré, soutenu par Cédric O. »
« Cette ponction, que prélèvent les sociétés de gestion collective comme la Sacem, vient compenser un préjudice : la possibilité pour chacun de réaliser des copies à titre privé d’œuvres protégées, sans le sacro-saint accord des titulaires de droits. L’acheteur paye donc une redevance lors de l'acquisition de ces supports, en contrepartie d'une liberté de copie. C’est une commission administrative, hébergée par le ministère de la Culture, qui décide des barèmes. Les ayants-droit y sont en force (douze représentants, face à six industriels et six autres consommateurs) pour voter les montants qu’ils vont donc percevoir. En 2019, les barèmes appliqués aux clés USB, tablettes, disques durs externes, cartes mémoire ou autres smartphones leur ont rapporté la bagatelle de près de 270 millions d’euros. Souci : le secteur sait ce trésor annuel menacé. » D'où l'idée de mettre à contribution les acheteurs de produits reconditionnés…
« Cette ponction, que prélèvent les sociétés de gestion collective comme la Sacem, vient compenser un préjudice : la possibilité pour chacun de réaliser des copies à titre privé d’œuvres protégées, sans le sacro-saint accord des titulaires de droits. L’acheteur paye donc une redevance lors de l'acquisition de ces supports, en contrepartie d'une liberté de copie. C’est une commission administrative, hébergée par le ministère de la Culture, qui décide des barèmes. Les ayants-droit y sont en force (douze représentants, face à six industriels et six autres consommateurs) pour voter les montants qu’ils vont donc percevoir. En 2019, les barèmes appliqués aux clés USB, tablettes, disques durs externes, cartes mémoire ou autres smartphones leur ont rapporté la bagatelle de près de 270 millions d’euros. Souci : le secteur sait ce trésor annuel menacé. » D'où l'idée de mettre à contribution les acheteurs de produits reconditionnés…
« Selon le site internet de statistiques écologiques Planetoscope, 2,5 millions d'ordinateurs seraient mis au rebut, chaque année, par les entreprises et organismes français , alors que la grande majorité peut encore servir. "Il s'agit d'obsolescence comptable ou des logiciels. Les ordinateurs sont amortis au bout de trois ou cinq ans. Alors, ils partent à la déchetterie", dénonce Martial Morvan, gérant de Samu Informatique, à Montigny-lès-Metz. »
« Avec le collectif Ecomédiance qui met en relation les acteurs de l'économie solidaire , il imagine un modèle : récupérer des ordinateurs donnés par des particuliers ou des entreprises et les reconditionner. […] Sur dix machines, deux ne peuvent être réparées et intègrent un circuit de recyclage, quatre ordinateurs sont vendus et les quatre restants sont donnés à des enfants de quartiers prioritaires ou des associations. »
« Avec le collectif Ecomédiance qui met en relation les acteurs de l'économie solidaire , il imagine un modèle : récupérer des ordinateurs donnés par des particuliers ou des entreprises et les reconditionner. […] Sur dix machines, deux ne peuvent être réparées et intègrent un circuit de recyclage, quatre ordinateurs sont vendus et les quatre restants sont donnés à des enfants de quartiers prioritaires ou des associations. »
C'est ce que propose Ecomatelas. « Aujourd'hui, l'enseigne revend près de vingt mille lits par an et entend fournir prochainement l'ensemble du territoire national avec de nouvelles implantations. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
« On connaissait Yes Yes pour ses smartphones reconditionnés, et voilà que le groupe se lance aussi dans le jeu vidéo. […] Ainsi, via le site Web YesYes, il est possible en quelques clics de revendre, ou d'acheter une PS4. Les consoles sont […] vendues avec une garantie d'un an. […] Concrètement, si vous souhaitez revendre une PS4 Pro avec une manette d'origine, le tout en bon état (et fonctionnel bien sûr), Yes Yes vous proposera 180 euros. Pour la PS4 Slim 500 Go, le prix s'élèvera à 140 euros. Côté revente, la PS4 Pro reconditionnée est affichée à 299 euros, quand la PS4 Slim est proposée à 249 euros. »
« Vinted facture aux acheteurs 5 % du prix d'achat plus 70 centimes de commission. Cette dernière apparaît sous le nom de "protection acheteurs" lors de la transaction. Un terme tendancieux selon l'UFC-Que Choisir, car elle ne concerne que "les services basiques d'un site de vente en ligne" et en aucun cas "une protection en cas de litige". […] Par ailleurs, Vinted annonce que cette commission est optionnelle. Ce qui est faux, car à aucun moment, il n'est possible de la refuser ni sur le site ni sur l'application. Il s'agit donc en réalité de frais d'utilisation, avance l'association de consommateurs, qui vient de mettre en demeure Vinted, lui demandant de faire preuve de transparence. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« Un site dédié […] et vingt-cinq corners ouverts en magasin, en France, Italie, Espagne et Belgique : Kiabi , après des tests menés l'été dernier, accélère sur la seconde main. »
« Cdiscount vient de lancer sa plateforme de vente d'articles d'occasion. […] Ll'e-commerçant français a noué un partenariat avec la start-up Place 2 Swap. "Toutes les catégories de produits seront représentées : high-tech, jeux vidéo, jouets, mode, bricolage, livres, décoration... Tout, sauf les gros produits tels que les meubles", explique le P-DG Emmanuel Grenier. Plus concrètement, cette plate-forme s'est clairement inspirée de Vinted. "Le commerce se fait de façon fluide et sécurisée grâce à un porte-monnaie virtuel et la livraison en points relais", poursuit le patron de Cdiscount. Tout comme sur l'application dédiée à la mode, les frais sont à la charge de l'acheteur : 0,70 euro par article et une commission de 5 % du prix. Pour les dépôts et la livraison des colis, tout transite par le réseau Mondial Relay. »
Le naufrage de Remade n'a pas découragé ses concurrents. Parmi eux, il y a Again, dont cet article assure visiblement la promotion : « Again est une filiale du groupe français Itancia. Elle s'est spécialisée dans le reconditionnement de produits de mobilité de la marque Apple, ce qui touche aussi bien le marché du smartphone que de la tablette et même des ordinateurs portables de la marque à la pomme. C'est dans son usine du Maine-et-Loire – qui emploie une centaine de techniciens – qu'Again redonne vie à l'ensemble de ces appareils. Le concept n'est pas nouveau, mais chez Again, il se double d'une mesure du DAS (Débit d'absorption spécifique) de chaque appareil. »