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« La licorne française souhaite réduire ses effectifs globaux de 13 %. […] Sont concernés un total de 93 salariés sur un effectif global de 715 salariés. […] Back Market a confirmé l'information auprès de l'AFP, en précisant que le plan de départs volontaires en France concerne 63 salariés. La licorne a ajouté bien se porter mais vouloir mettre l'accent sur la rentabilité. »
« Médiamétrie nous indique tout d'abord que les sites d'occasion attirent 63 % de visiteurs en plus par rapport à il y a seulement quatre ans. […] La catégorie la plus scrutée par les consommateurs reste la mode. […] Bien évidemment, c'est le site d'occasion Vinted qui remporte la palme. […] Deuxième marché de l'occasion le plus en vogue : l'ameublement. […] Sans surprise, Le Bon Coin domine le secteur de la tête et des épaules. […] La dernière catégorie à monter sur le podium est le high-tech reconditionné, avec les très célèbres Backmarket et Certideal. »
« Après avoir testé un rayon occasion permanent dès février 2021 à Herblay […], Decathlon enfonce le clou. […] L'enseigne a déplacé l'espace seconde main, l'a implanté dès l'entrée et a plus que doublé sa surface, signe de son intérêt pour ce pan du commerce appelé à se développer. » Visite en images proposée par Olivier Dauvers.
Le reconditionnement a la cote. Notamment dans l'automobile. Aramis vient d'ouvrir un second site en France dédié à cette activité. Les véhicules traites sont toutefois relativement récents : « en moyenne de moins de cinq ans ». Trois jours au plus sont nécessaires pour les remettre à neuf. Marge moyenne : 2 400 euros par véhicule.
Ce mois-ci (juin 2022), les Formule 1 marquées du A fléché arboreront les couleurs du militantisme LGBT. Un engagement fièrement revendiqué par la filiale sportive de Renault, dont la direction sombre dans la caricature woke.
Quoique cela semble en passe de devenir la norme !
« Alpine travaille avec Racing Pride pour comprendre les défis auxquels est confrontée la communauté LGBTQ+ dans le sport, pour combattre les préjugés et faire d'Alpine un lieu de travail sûr et accueillant, quelle que soit l'orientation sexuelle, l'expression de genre ou l'identité de genre. »
« La première étape a consisté à consulter tous les secteurs clés de l'entreprise, du sommet à la base, pour connaître les défis et les préjugés sur le lieu de travail d'Alpine. Racing Pride a procédé à un examen approfondi des politiques existantes de l'équipe et a travaillé avec différents départements pour orienter les politiques futures afin d'améliorer la diversité et l'inclusion de l'équipe bien au-delà du mois des fiertés. »
« Un indicateur précoce se trouve dans une enquête menée auprès du personnel d'Alpine à la fin de l'année 2021, qui a identifié que si la majorité du personnel se sentait respecté, valorisé et apprécié dans son environnement, un certain nombre[…] ont identifié une forte culture hétéronormée avec une certaine propension aux commérages. »
« Des initiatives sont désormais en place pour commencer à contrer ce phénomène et encourager l'empathie en aidant les membres de l'équipe à comprendre et à apprécier les expériences des différentes communautés. »
« Au début de cette année, l'équipe a également mis en place un comité de diversité et d'inclusion, composé d'un éventail de membres du personnel issus de différents milieux, notamment la communauté LGBTQ+, les communautés noires et ethniques diverses, les femmes et les familles monoparentales, afin de reconnaître l'importance des individualités pour offrir un lieu de travail ouvert et accueillant. »
« L'objectif est d'identifier les principaux domaines de progrès nécessaires à la création et au maintien d'un lieu de travail positif et inclusif et de veiller à ce que les générations futures aient accès à l'égalité des chances dans le sport automobile. »
« Alpine profitera du Mois des Fiertés pour reconnaître et célébrer les contributions des membres de son personnel qui sont LGBTQ+. Les cadres supérieurs de l'entreprise ont déjà participé à une série de réunions de formation pour s'informer sur les défis et les conversations autour de l'inclusion, tandis que le département RH de l'équipe est guidé par Racing Pride dans l'adoption de politiques d'inclusion qui aident les membres de la communauté LGBTQ+ à se sentir valorisés et capables d'apporter toute leur personne à leur travail. »
Quoique cela semble en passe de devenir la norme !
« Alpine travaille avec Racing Pride pour comprendre les défis auxquels est confrontée la communauté LGBTQ+ dans le sport, pour combattre les préjugés et faire d'Alpine un lieu de travail sûr et accueillant, quelle que soit l'orientation sexuelle, l'expression de genre ou l'identité de genre. »
« La première étape a consisté à consulter tous les secteurs clés de l'entreprise, du sommet à la base, pour connaître les défis et les préjugés sur le lieu de travail d'Alpine. Racing Pride a procédé à un examen approfondi des politiques existantes de l'équipe et a travaillé avec différents départements pour orienter les politiques futures afin d'améliorer la diversité et l'inclusion de l'équipe bien au-delà du mois des fiertés. »
« Un indicateur précoce se trouve dans une enquête menée auprès du personnel d'Alpine à la fin de l'année 2021, qui a identifié que si la majorité du personnel se sentait respecté, valorisé et apprécié dans son environnement, un certain nombre[…] ont identifié une forte culture hétéronormée avec une certaine propension aux commérages. »
« Des initiatives sont désormais en place pour commencer à contrer ce phénomène et encourager l'empathie en aidant les membres de l'équipe à comprendre et à apprécier les expériences des différentes communautés. »
« Au début de cette année, l'équipe a également mis en place un comité de diversité et d'inclusion, composé d'un éventail de membres du personnel issus de différents milieux, notamment la communauté LGBTQ+, les communautés noires et ethniques diverses, les femmes et les familles monoparentales, afin de reconnaître l'importance des individualités pour offrir un lieu de travail ouvert et accueillant. »
« L'objectif est d'identifier les principaux domaines de progrès nécessaires à la création et au maintien d'un lieu de travail positif et inclusif et de veiller à ce que les générations futures aient accès à l'égalité des chances dans le sport automobile. »
« Alpine profitera du Mois des Fiertés pour reconnaître et célébrer les contributions des membres de son personnel qui sont LGBTQ+. Les cadres supérieurs de l'entreprise ont déjà participé à une série de réunions de formation pour s'informer sur les défis et les conversations autour de l'inclusion, tandis que le département RH de l'équipe est guidé par Racing Pride dans l'adoption de politiques d'inclusion qui aident les membres de la communauté LGBTQ+ à se sentir valorisés et capables d'apporter toute leur personne à leur travail. »
« Quand, en 2013, Maïlys Cantzler cède son groupe de crèches privées Crèche Attitude (aujourd'hui Liveli) à Sodexo, elle l'a hissé parmi les premiers acteurs de la garde d'enfants, avec 100 établissements, 1 200 salariés et 45 millions d'euros de chiffre d'affaires. […] Pourtant, un an après, elle inaugure à La Croix-Valmer (Var) un premier habitat innovant qui permet à six adultes handicapés voulant s'émanciper du giron familial de se bâtir un projet de vie au sein d'une collectivité. Depuis, huit autres ont ouvert, une quinzaine est en construction et autant "en négociation", précise la quadra qui a créé plusieurs sociétés (regroupées sous la marque Homnia) pour donner corps à son concept inédit d'"inclusion par le cohabitat". Son groupe emploie aujourd'hui 90 personnes et sa société de services a dégagé un chiffre d'affaires de 1,6 million d'euros en 2021. »
« Ce "projet de cœur" est né d'une tragédie familiale. En 1999, après un accident de la route, sa jeune sœur reste lourdement handicapée. […] D'où l'idée d'une colocation d'un genre nouveau, où l'on partage un espace de vie, mais aussi "des services d'aide humaine" dans un cadre sécurisé. L'astuce ? La mise en commun des heures d'assistance auxquelles les colocataires ont droit. Chaque "Club des six" (association de colocataires) bénéficie ainsi des services d'auxiliaires de vie à plein-temps, qui se relaient sur place vingt-quatre heures sur vingt-quatre. »
« Quand l'idée germe, en 2010, la législation n'autorise pas cette mutualisation. Qu'importe : Maïlys Cantzler fonce. Pour réduire le poids des loyers, elle imagine un immeuble abritant, en plus de l'appartement en colocation, six ou sept logements sociaux. Nouvel obstacle. "Ni les promoteurs ni les bailleurs sociaux n'étaient intéressés par mon projet, jugé trop petit." Elle décide "de tout gérer elle-même" et de financer sur fonds propres le bâtiment de La Croix-Valmer. […] Elle monte même son entreprise de services à la personne, faute d'avoir trouvé une solution locale. »
« Les "progrès extraordinaires des colocataires" l'incitent à poursuivre. D'autant que l'équilibre financier est atteint dès la première année. Depuis 2016, un partenariat avec le fonds d'investissement solidaire d'Amundi, numéro 1 européen de la gestion d'actifs, lui permet de voir grand. L'évolution réglementaire, aussi. "D'ici dix ans, l'objectif est d'avoir lancé 100cohabitats inclusifs en France", souligne l'entrepreneuse, qui associe capital et social. "Le cohabitat inclusif revient à l'Etat deux fois moins cher que l'hébergement en institut", estime-t-elle. Surtout, 64adultes handicapés sont sortis de l'isolement. A terme, ils seront 600. »
« Ce "projet de cœur" est né d'une tragédie familiale. En 1999, après un accident de la route, sa jeune sœur reste lourdement handicapée. […] D'où l'idée d'une colocation d'un genre nouveau, où l'on partage un espace de vie, mais aussi "des services d'aide humaine" dans un cadre sécurisé. L'astuce ? La mise en commun des heures d'assistance auxquelles les colocataires ont droit. Chaque "Club des six" (association de colocataires) bénéficie ainsi des services d'auxiliaires de vie à plein-temps, qui se relaient sur place vingt-quatre heures sur vingt-quatre. »
« Quand l'idée germe, en 2010, la législation n'autorise pas cette mutualisation. Qu'importe : Maïlys Cantzler fonce. Pour réduire le poids des loyers, elle imagine un immeuble abritant, en plus de l'appartement en colocation, six ou sept logements sociaux. Nouvel obstacle. "Ni les promoteurs ni les bailleurs sociaux n'étaient intéressés par mon projet, jugé trop petit." Elle décide "de tout gérer elle-même" et de financer sur fonds propres le bâtiment de La Croix-Valmer. […] Elle monte même son entreprise de services à la personne, faute d'avoir trouvé une solution locale. »
« Les "progrès extraordinaires des colocataires" l'incitent à poursuivre. D'autant que l'équilibre financier est atteint dès la première année. Depuis 2016, un partenariat avec le fonds d'investissement solidaire d'Amundi, numéro 1 européen de la gestion d'actifs, lui permet de voir grand. L'évolution réglementaire, aussi. "D'ici dix ans, l'objectif est d'avoir lancé 100cohabitats inclusifs en France", souligne l'entrepreneuse, qui associe capital et social. "Le cohabitat inclusif revient à l'Etat deux fois moins cher que l'hébergement en institut", estime-t-elle. Surtout, 64adultes handicapés sont sortis de l'isolement. A terme, ils seront 600. »
« En 2018, Recommerce a levé 50 millions d'euros auprès des fonds Creadev et Capza qui entrent alors à son capital. Ce sont ces fonds qui aujourd'hui laissent leur place à United.b, un écosystème qui regroupe les magasins Boulanger, Electro Dépôt, Hifi International, Krëfel. United.b doit prendre 66 % du capital à l'occasion de cette nouvelle levée. […] Bouygues Telecom, qui était actionnaire depuis 2009 de Recommerce, garde ses parts. Ainsi que les fondateurs de Recommerce. »
« Recommerce a été fondée en 2009 par Pierre-Étienne Roinat, Benoît Varin, Cédric Maucourt, et Antoine Jeanjean. L'entreprise rachète, reconditionne et revend des équipements reconditionnés comme les smartphones, les montres ou les consoles de jeux. Boulanger s'est déjà rapproché de Recommerce en fin d'année dernière. L'entreprise spécialisée dans la vente d'appareil électronique a lancé une offre de reprise en collaboration avec Circular X, une plate-forme technologique Saas dédiée à l'économie circulaire lancée par Recommerce. »
« Recommerce a été fondée en 2009 par Pierre-Étienne Roinat, Benoît Varin, Cédric Maucourt, et Antoine Jeanjean. L'entreprise rachète, reconditionne et revend des équipements reconditionnés comme les smartphones, les montres ou les consoles de jeux. Boulanger s'est déjà rapproché de Recommerce en fin d'année dernière. L'entreprise spécialisée dans la vente d'appareil électronique a lancé une offre de reprise en collaboration avec Circular X, une plate-forme technologique Saas dédiée à l'économie circulaire lancée par Recommerce. »
« Supprimer le gaspillage de matériaux neufs dans le BTP. Telle est l'ambition de la start-up Stockpro créée en 2018. Ce spécialiste de la gestion de stocks et du réemploi des invendus et des retours-chantiers vient de lever 4 millions d'euros pour accélérer sa croissance. »
Parmi les entreprises en quête de fonds citées le mois dernier (novembre 2021) par Les Horizons, il y en a deux qui retiennent notre attention : d'une part, Olover, qui « récupère […] les équipements électriques et électroniques invendus des fabricants afin de les réparer, les reconditionner et les remettre en circuit via sa plate-forme ou des revendeurs partenaires » ; et d'autre part, Patine, qui « se veut l'étendard "d'une mode à porter longtemps" ».
« Au cours de leur vie étudiante, Achim Sebti et Guillaume Klein constatent que dans un cursus d'enseignement supérieur, la mobilité est forte, avec une moyenne de quatre déménagements. Fréquemment, pour ne pas organiser et financer un déménagement, les meubles sont jetés. […] En réponse à cette problématique, les deux jeunes diplômés de l'ESC Saint-Étienne créent Eco-Loc en 2016, un service de location de mobilier et électroménager sur les métropoles de Saint-Étienne et Lyon. […] Les clients réservent leurs produits en ligne […] : lit, frigo, machine à laver, table, ou encore mobilier de bureau, qu'ils vont louer au mois. La start-up se charge ensuite de la livraison, de l'installation et de la mise en service, puis vient récupérer les produits à la fin de la location. Eco-Loc gère aussi le SAV, et répare le mobilier ou l'électroménager endommagé. »
« Nouvelle initiative d'Ikea sur le terrain de la seconde main. […] Du 10 au 28 novembre, les magasins mettront ainsi en avant une opération de reprise qu'Ikea veut à grande échelle. »
« Bien sûr, les grincheux y verront une manière de remplir les magasins à bon compte (alors que la pénurie guette). […] Mais l'essentiel n'est pas là… C'est la posture d'ensemble d'Ikea qui, peu à peu, change sur la seconde main. À l'origine, il n'y avait qu'un espace "La Bonne Trouvaille" (souvent mal tenu) et quelques affiches. Désormais, un concept plus abouti, baptisé Circular Hub, et, donc, cette campagne de reprise à grande échelle, avant l'ouverture d'un magasin dédié à la seconde main l'an prochain à Paris. »
« Illustration que les pratiques des clients s'imposent toujours aux commerçants… Dès lors que les consommateurs organisaient eux-mêmes la seconde vie des produits (via notamment les sites d'intermédiation comme Le Bon Coin), les enseignes ne pouvaient que suivre. Quitte à subir un phénomène […], mieux vaut en effet toujours feindre de l'organiser. C'est ce que font toutes les enseignes depuis quelques années. Et c'est ma conviction depuis longtemps, résumée en une phrase : toutes les enseignes d'équipement de la maison-de la personne devront organiser la seconde vie de leurs produits. »
« En sept ans, le nombre d'annonces de produits Ikea à vendre sur Le Bon Coin a été multiplié par plus de trois. Un indicateur qui ne pouvait ignorer l'enseigne… »
« Bien sûr, les grincheux y verront une manière de remplir les magasins à bon compte (alors que la pénurie guette). […] Mais l'essentiel n'est pas là… C'est la posture d'ensemble d'Ikea qui, peu à peu, change sur la seconde main. À l'origine, il n'y avait qu'un espace "La Bonne Trouvaille" (souvent mal tenu) et quelques affiches. Désormais, un concept plus abouti, baptisé Circular Hub, et, donc, cette campagne de reprise à grande échelle, avant l'ouverture d'un magasin dédié à la seconde main l'an prochain à Paris. »
« Illustration que les pratiques des clients s'imposent toujours aux commerçants… Dès lors que les consommateurs organisaient eux-mêmes la seconde vie des produits (via notamment les sites d'intermédiation comme Le Bon Coin), les enseignes ne pouvaient que suivre. Quitte à subir un phénomène […], mieux vaut en effet toujours feindre de l'organiser. C'est ce que font toutes les enseignes depuis quelques années. Et c'est ma conviction depuis longtemps, résumée en une phrase : toutes les enseignes d'équipement de la maison-de la personne devront organiser la seconde vie de leurs produits. »
« En sept ans, le nombre d'annonces de produits Ikea à vendre sur Le Bon Coin a été multiplié par plus de trois. Un indicateur qui ne pouvait ignorer l'enseigne… »
« Début 2021, SEB a ouvert à Paris, porte de la Chapelle, Répare SEB, un lieu dédié à l'économie circulaire », rapporte L'Usine nouvelle. « Des personnes éloignées de l'emploi y sont formées au métier de réparateur, en remettant en état des produits électroménagers, ensuite vendus à un prix "solidaire" », expliquent nos confrères. Mais ce n'est, semble-t-il, qu'un début, puisque « le groupe, qui a démarré ce projet avec six personnes, vise une trentaine de réinsertions par an et l'ouverture d'autres lieux de réparation ». Affaire à suivre !
Témoignage édifiant de Léonidas Kalogeropoulos (Médiations et Arguments), lors d'un entretien avec Stéphane Soumier diffusé le 24 mars 2021 :
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« La Boîte Concept et Micromega, ce sont deux entreprises françaises qui ont chacune un savoir-faire audiophile spécifique : les haut-parleurs et les enceintes pour La Boite Concept ; les électroniques pour Micromega. En réunissant ces expertises par le rachat de Micromega, La Boite Concept promet de développer des produits audio tout-en-un encore plus poussés. C'est aussi une manière de conserver de précieuses compétences dans l'Hexagone. » Espérons-le.
On trouve désormais des appareils neufs chez Back Market. En l'occurrence, des Fairphone. De quoi donner un peu plus de visibilité à ces produits, tout en confortant l'image plus ou moins écologique que la plate-forme cherche à se donner.
« Vroomly a annoncé mardi 2 février 2021 avoir levé 5 millions d'euros pour numériser l'achat B2B de pièces de rechange dans l'automobile. […] Vroomly veut désormais renforcer son activité en proposant aux garagistes une marketplace sur laquelle ils puissent chercher la bonne pièce au meilleur prix. Son service, lancé à la fin de l'année 2020 sous le nom Vroomly Parts, a déjà séduit six cents garages clients. […] Vroomly veut presque doubler ses effectifs pour passer de trente-cinq à soixante salariés d'ici la fin de l'année. […] Ensuite, Vroomly entend lancer sa plateforme dans de nouveaux pays européens pour s'approprier une partie du marché de la pièce de rechange automobile. »
C'est ce que propose Ecomatelas. « Aujourd'hui, l'enseigne revend près de vingt mille lits par an et entend fournir prochainement l'ensemble du territoire national avec de nouvelles implantations. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
Le naufrage de Remade n'a pas découragé ses concurrents. Parmi eux, il y a Again, dont cet article assure visiblement la promotion : « Again est une filiale du groupe français Itancia. Elle s'est spécialisée dans le reconditionnement de produits de mobilité de la marque Apple, ce qui touche aussi bien le marché du smartphone que de la tablette et même des ordinateurs portables de la marque à la pomme. C'est dans son usine du Maine-et-Loire – qui emploie une centaine de techniciens – qu'Again redonne vie à l'ensemble de ces appareils. Le concept n'est pas nouveau, mais chez Again, il se double d'une mesure du DAS (Débit d'absorption spécifique) de chaque appareil. »
Voici un « tour d'horizon non exhaustif des réponses des sociétés à la pression de la rue et des réseaux contre le racisme systémique « (sic). À noter : même « le Japonais SoftBank Group va créer un fonds de 100 millions de dollars pour les startups fondées par des entrepreneurs noirs ».
L'économie circulaire, c'est un fétiche qu'on agite à tout va, souvent sans trop réfléchir. Cette réserve mise à part, on approuve l'essentiel des propos tenus ici par Rémy Le Moigne.
Deux passages retiennent plus particulièrement notre attention :
« Si les services hospitaliers et les industriels ont utilisé pendant des années des masques FFP2 à usage unique, il aura fallu attendre la pandémie de la Covid-19 pour concevoir, en seulement quelques semaines, un masque réutilisable dont le coût est moins élevé, l'impact environnemental plus faible et qui est produit localement. Pour faire face à une pénurie d'approvisionnement dans les hôpitaux, les industriels se sont appuyés sur l'économie circulaire pour concevoir des masques réutilisables. Mais ils se sont également appuyés sur l'économie circulaire pour prolonger la durée de vie des masques à usage unique, remettre à neuf des ventilateurs, donner accès à leurs manuels de réparation internes et imprimer des pièces de rechange pour réparer les équipements médicaux. »
« Quelques entreprises parviennent à valoriser leurs stocks de déchets industriels et d'invendus. Le fabricant de produits de consommation P&G par exemple, a réduit ses coûts de 1,8 milliards d'euros en mettant en place une équipe spécifique, chargée de trouver des débouchés à ses déchets industriels et ses invendus. D'autres entreprises se sont appuyées sur des plateformes digitales qui, grâce au big data ou à l'intelligence artificielle, facilitent la mise en relation des entreprises qui possèdent des ressources avec celles qui pourraient les utiliser. »
Deux passages retiennent plus particulièrement notre attention :
« Si les services hospitaliers et les industriels ont utilisé pendant des années des masques FFP2 à usage unique, il aura fallu attendre la pandémie de la Covid-19 pour concevoir, en seulement quelques semaines, un masque réutilisable dont le coût est moins élevé, l'impact environnemental plus faible et qui est produit localement. Pour faire face à une pénurie d'approvisionnement dans les hôpitaux, les industriels se sont appuyés sur l'économie circulaire pour concevoir des masques réutilisables. Mais ils se sont également appuyés sur l'économie circulaire pour prolonger la durée de vie des masques à usage unique, remettre à neuf des ventilateurs, donner accès à leurs manuels de réparation internes et imprimer des pièces de rechange pour réparer les équipements médicaux. »
« Quelques entreprises parviennent à valoriser leurs stocks de déchets industriels et d'invendus. Le fabricant de produits de consommation P&G par exemple, a réduit ses coûts de 1,8 milliards d'euros en mettant en place une équipe spécifique, chargée de trouver des débouchés à ses déchets industriels et ses invendus. D'autres entreprises se sont appuyées sur des plateformes digitales qui, grâce au big data ou à l'intelligence artificielle, facilitent la mise en relation des entreprises qui possèdent des ressources avec celles qui pourraient les utiliser. »